AccueilDernières imagesRechercherMembresS'enregistrerConnexion

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
[CLOS] Le Chant des Sirènes (Feat Apophis)
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.

Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

T'as été d'une humeur de chien pendant trois jours. Trois longs jours avant de savoir si Apophis était tiré d'affaire. Cette fois là il avait beaucoup trop tiré sur la corde. Il était passé à un cheveu de la Grande Faucheuse. Parce que oui, aujourd'hui tu savais que le Dieu de la Mort, ton Shinigami personnel, pouvait se faire faucher. Quand tu l'avais vu là, adossé au mur, le cul par terre, baignant dans son sang, ça t'avait fait un tel choc que tu n'avais pas pu dormir pendant 4 jours. Le temps de le veiller, de le soigner. Tu l'as veillé chaque minute, refusant de quitter son chevet ou de te faire relayer. Personne n'a pu ni te faire décoller, ni te faire dormir. A peine acceptais tu de manger tant tes tripes étaient nouées.

Puis au bout de quatre jours, il s'était réveillé. Tu avais prié tous les dieux marins que tu connaissais et il s'était réveillé. Faible d'abord, puis terriblement têtu. Maël avait préféré le remettre dans un sommeil artificiel pour qu'il reste tranquille et récupère. Tu avais été on ne peut plus d'accord. Et avec la complicité de ton fils, tu avais fait discrètement embarqué Apophis à bord du "Williams", ton navire personnel. Tu avais bouclé tes affaires pour les trois prochains mois. Tu laissais Banshee au port pour qu'il se charge des urgences avec Maël et qu'il se repose surtout. Tu l'avais retrouvé en meilleur état que ton compagnon mais bien amoché quand même. Du coup des vacances sur la terre ferme ne lui ferait que du bien. Ton comptable prenait le relais pour les affaires courantes. Une vraie équipe de choc.

Tu avais avec toi une dizaine d'hommes. Juste ce qu'il fallait pour faire fonctionner le navire. Et un médecin. Tu voulais être sûr qu'il ne courait aucun risque là où tu l'emmenais. Tu avais mis le cap sur l'Océan Atlantique, direction le Brésil et plus précisément Ilha Rata. Une petite île au large du Brésil. Tu y avais une petite maison directement sur le sable et de quoi abriter tes hommes pour des vacances. Personne ne vivait sur ce bout d'île. Vous serez tranquille. Et vous vous approvisionnerez à Ilha Fernando de Noronha. Tu voulais pour lui du calme, de la verte, des plages et du soleil. Dans un endroit où personne ne viendrait vous déranger. Vous aviez quelques jours de navires.

Tu savais qu'il allait se réveiller au milieu du voyage. Mais vous aviez de la chance, la mer était clémente et vous aviez un peu d'avance sur le programme. Tu étais donc dans ta cabine, à côté de lui. Tu attendais qu'il se réveille. Tu avais un livre à la main et tu avais chaussé tes petites lunettes rondes de lecture. Et quand enfin il ouvre les yeux tu lui souris. " Bonjour Amour. Comment tu te sens?" Tu sais qu'il ressent pas la douleur. Mais tu veux savoir s'il se sent reposé, s'il a faim, soif, le mal de mer... N'importe quoi.
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Mar 25 Aoû - 1:09
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.
Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

Tu ne te souviens pas de grand-chose. Tu as glissé le long du mur sentant que tu ne pourrais plus avancer, Banshee t’a filé une arme à feu, tu as gardé ton épée dans ton autre main et tu as attendu. Tu as continué d’entendre des coups de feu puis le silence s’est fait. Tu ne sais pas si c’était réel ou si tu as décroché mais tu as réouvert les yeux seulement en entendant la voix de Rackham. Tu avais tenu jusqu’à là car tu avais besoin de savoir où il était. Si tu étais là et Banshee aussi il pouvait être dans cette prison aussi le voir devant toi, flamboyant comme toujours, en vie et sans blessure te tira juste un petit sourire avant que tu ne sombres complètement. Il allait bien, tu pouvais décrocher, il n’y avait plus d’inquiétude pour te raccrocher à la réalité.

Les jours ont passé. Tu ne te rends pas compte de combien. Tu as oscillé entre éveil et inconscience. Tu sais juste que ton pirate était toujours à tes côtés à chaque réveil à te murmurer des paroles rassurantes à l’oreille. Tu n’en avais pas besoin, tu n’as jamais été inquiet de mourir mais tu les as écouté, tu as dormi d’un sommeil plein de nouveaux combats que tu avais encore l’impression de mener dans cette arène et pourtant quelque chose… Une présence... Une lumière était présente, veillait sur toi. La mort que tu es n’en était pas gêné, comme si elle n’était pas néfaste pour toi, juste présente à éclairer cette scène, l’empêcher de plonger dans de profonds cauchemars, révélant juste que ce n’était qu’un combat de plus. Rien d’autre. Et ça tu sais faire, c’est même toute l’essence de ta vie.

Quand tu t’éveilles de nouveau, tu respires profondément, gêné par ton bandage au ventre mais tu n’y fais pas attention. L’odeur de la pièce t’indique tout de suite que tu es a bord d’un bateau, tu as l’habitude de te fier à tes sens. Tu écoutes le bruit ambiant, tu serres les draps entre tes mains et ouvres enfin tes yeux pour les poser sur Rackham qui est à tes côtés comme toujours. « Comme quelqu’un qui a trop dormi » Ta voix est rauque et pâteuse aussi tu grimaces en cherchant un verre d’eau pour te sentir mieux, cherchant à te redresser contre les oreillers. « Vous m’avez shooté combien de temps ? » T’es pas idiot, tu sais très bien la technique de ton pirate pour que tu ne bouges pas quand tu es trop blessé et tu étais vraiment à la limite cette fois ci. Tu respires de nouveau longuement avant de le regarder, allant passer ta main bandée sur sa joue quand même, content de voir qu’il a l’air bien, ce n’était pas juste un rêve. Tu l’attires vers toi pour l’embrasser rudement, sans faire attention. « Mieux. Pourquoi sommes-nous en mer ? »
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Sam 29 Aoû - 0:09
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.

Repos
Fin Août 2025.
Au large de l'Atlantique.

Il t’a fait peur. T’as jamais autant eu peur. C’est la première fois que tu vas le chercher la boule au ventre. Avec cette peur te saisissant aux tripes, te broyant les entrailles, te comprimant la poitrine. Tu n’avais jamais poussé autant ton bâtiment. Tu n’étais jamais arrivé aussi vite en Ecosse. Et quand tu l’avais trouvé, tu n’avais jamais été aussi en colère. Si le commanditaire de tout cela n’était pas mort d’une balle, tu l’aurais surement poursuivi jusqu’au bout du monde pour ce qu’il avait osé faire. On ne s’en prend pas à tes hommes, on ne s’en prend pas à ton clan, on ne s’en prend tout simplement pas à ta famille. Heureusement Banshee était dans un état moins grave et il avait su te faire redescendre dans ta colère, même si, soyons tout à fait honnête, faire sauter tout l’endroit dans un joli feu d’artifice t’avait apaisé les nerfs. Mais une question subsistait et il faudra que tu la règles avec Tim à ton retour.


En attendant, ton mercenaire émerge doucement de son long sommeil de Belle au Bois Dormant. Tu t’es posé à côté de lui, passant doucement ta main sur le haut de ses cheveux pour qu’il se réveille en douceur. Tu positionnes mieux les oreillers derrière lui quand il cherche à se redresser et lui tends un verre d’eau. « Tiens ça va te faire du bien. Tu dois avoir la gorge sèche. » Tu le laisses boire avant de répondre. « Une bonne grosse semaine, presque deux. Tu étais gravement blessé et tu avais perdu beaucoup trop de sang. J’ai bien cru te perdre cette fois-ci. » Tu as toujours une pointe de détresse dans la voix quand tu en parles. Tu n’as pas encore surmonté cette peur que tu as eue pendant toute une semaine. Tes hommes en ont un peu bavé d’ailleurs de ta peur de perdre et Banshee et Apophis.


Tu t’approches un peu plus quand il tend la main pour caresser ta joue. Tu en embrasses l’intérieur doucement. Puis tu te glisses tout proche de lui comme il t’attire et tu réponds à son baiser tout en fougue. Dieu qu’il t’a manqué. Tu l’embrasses avec un peu plus de douceur que lui avant de lui répondre. « On est en mer parce que je nous prends des congés forcés. On est en vacances. Et NON je ne ferais pas demi-tour, NON tu n’es pas en état de te lever parce que tu n’as pas encore récupéré assez de tonus et OUI là où on va on ne sera que toi et moi. Et si tu t’inquiètes de savoir quand je te ramène au port, on part en tout et pour tout 2 mois. Ordre du médecin. Et je ne fais que suivre l’ordonnance. Et presque une semaine est passée. Nous arriverons à quai demain matin si les vents nous sont cléments. » Tu ne lui laisses pas le choix de toute façon. Il est têtu mais tu peux te montrer encore plus têtu quand la situation l’exige. Et il le sait. D’habitude c’est toi qui cèdes à ce qu’il demande ou veut faire, mais il a appris à reconnaitre la détermination dans tes yeux, celle qui fait que tu ne flancheras pas parce que c’est pour son bien.

(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Mar 22 Sep - 19:30
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.
Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

Tu te redresses doucement. Pas que tu aies mal tu connais plus cette sensation mais tu es gêné par les bandages et tu bois une bonne gorgée d’eau en grimaçant parce que la sensation n’a rien d’agréable. T’as la bouche pâteuse à cause des médocs et c’est plus que désagréable mais tu te contentes juste de le montrer sur ton visage, t’es pas du genre à te plaindre. Tu sais très bien vu ton état dans l’arène qu’on ne t’a pas posé la question et qu’on t’a shooté, c’était le meilleur moyen pour suivre tes constantes comme tu n’es pas capable de dire si tu as mal ou pas et tu bouges trop. Ça te plait pas mais quand il le faut il le faut. « Je suis pas si facile à tuer. » Tu réponds à ton pirate en l’attirant contre moi. Ok t’as pris cher et t’as aussi pensé qu’on avait enfin réussi à te buter, depuis le temps que tu te dis que cela va t’arriver, mais finalement les mecs ont réussi à arriver jusqu’à César et les secours sont arrivés. T’sais pas si c’est une bonne chose ou pas mais c’est comme ça, c’est pas encore la fin.

Tes lèvres s’écrasent sans douceur contre les siennes et tu passes la main dans ses cheveux en le gardant contre toi, mélangeant vos souffles, te moquant un peu qu’il trouve ce baiser trop rude ou pas agréable, t’en as juste besoin parce que tu as eu peur qu’il soit dans ce bordel et mort. Là tu sais que c’est pas juste un rêve il est bel et bien vivant et sembles aller bien, ce qui est une bonne chose. Autant tu te moques de mourir, autant tu n’aimes pas qu’on touche à ce qui t’appartient. Tu sens son changement pour plus de douceur aussi tu réalises que tu y vas peut être un peu fort et calmes le jeu, l’attirant à se mettre sur toi. Pas sur tes côtes t’as bien compris qu’il y avait un soucis mais au moins sur tes cuisses pour sentir son corps.

Tu hausses un sourcil à l’explication complète. Petit malin… Il te file toutes les informations pour que tu puisses pas lui faire à l’envers et que tu n’aies qu’à râler sans pouvoir rien y faire. Mouais… T’as pas l’air convaincu par l’histoire de l’ordonnance du médecin quand même. « Ça t’arrange bien cette histoire tiens. » Depuis le temps qu’il veut que vous preniez du temps tous les deux, il va pas mentir sur le fait qu’il agrandit peut être un peu l’ordre du médecin. « Toi et moi hein ? » Tu l’attires de nouveau contre tes lèvres pour l’embrasser, ayant toujours une certaine faiblesse pour ton pirate quand il est dans tes bras. « Comment va Banshee ? » Pour le reste tu t’en branles mais Banshee fait parti de la famille de Rackham. Tu sais qu’il n’est pas mort, ton pirate ne sera pas dans cet état mais il avait pris aussi pas mal cher avec les clebs. « Dis-moi ce qui s’est passé à la fin. » Car tu ne sais plus trop ce que tu as halluciné ou pas comme tu avais perdu trop de sang. Par automatisme ta main se porte à ton torse, cherchant tes colliers.
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Lun 5 Oct - 10:44
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.

Repos
Fin Août 2025.
Au large de l'Atlantique.

Il grimace et tu peux comprendre pourquoi. Vous l’avez mis dans le coltar un petit moment pour son bien. Il est plus aussi jeune qu’avant et son corps a besoin d’un peu plus de temps pour récupérer et comme tu as cru le perdre, tu n’as pas hésiter à l’embarquer en repos forcé. Tu sais que ton ange de la mort n’est pas facile à tuer. C’est le mec le plus fort que t’aies jamais vu mais ça t’empêche pas de pas avoir envie de le rendre à Dieu tout de suite. C’est pour cela que tu te loves contre lui en évitant avec soin les divers bandages que tu connais par coeur. Tu te presses contre lui quand il t’embrasse à te faire mal. Tu as compris depuis un moment que ces baisers là étaient le reflet de l’inquiétude qu’il avait pu se faire pour toi. Tu lui caresses la joue, doucement. Le temps qu’il se rende compte de la force qu’il met dans le baiser.


Doucement, sans quitter ses lèvres, tu viens t’asseoir sur ses cuisses qui ont été épargnées tu ne sais comment par les affrontements. Et tu lui expliques le pourquoi du comment on en est arrivé là. Tu souris. « Bien sûr que cela m’arrange. Cela fait longtemps pour ne pas dire jamais qu’on a pas pris de vacances. Donc deux mois c’est pas cher payé sachant qu’il y a quelques jours en mer et que je pourrais profiter pleinement de toi que dans une ou deux semaines.Et on a retrouvé tes colliers... Ils sont à ton cou. » Tu lui souris et te penches pour l’embrasser avec une douceur toute amoureuse, caressant son cou du bout des doigts comme si tu avais peur de le briser. Tu redeviens un peu sérieux. « Banshee a eu légèrement plus de chance que toi mais il va garder une trace des morsures. Ils lui ont carrément bouffer de la chair ces chiens. Il se console en se disant que ses tatouages ne sont pas touchés. Il a dormi comme toi une semaine, le doc dit qu’il devrait récupérer l’entier usage de sa main. Arthur veille sur lui comme un chien de garde. On peut pas l’approcher sans qu’il grogne. Ça va peut être faire avancer son couple. »


Tu t’arrêtes pour respirer. Tu as dit ça d’une traite et avec de l’énervement dans la voix. Alors tu stoppes pour respirer. Il te demande ce que tu as fait à la fin. Tu penches la tête savoir si tu dois tout lui dire ou pas. Et puis finalement tu te dis que tu n'as aucun secret pour lui. Tu lui as toujours répondu franchement à chaque fois qu'il t'a posé une question. Et ce depuis le début. Tu l'embrasses une dernière fois avant de te redresser un peu sur ses cuisses. "Alors... Comment t'expliquer ça simplement... Disons que quand toi et Banshee n'avez pas donné de news pendant 24heures on a commencé à s'inquiéter. Taran a remonté, traqué ou je sais plus quel terme, les informations sur le darkweb. Et il est tombé sur ta face en grand écran en train de dérouiller un autre gars. Alors on a tout fait pour vous retrouver. J'ai suivi tous tes combats en direct. J'ai prié Poséidon pour que tu aies la vie sauve. J'ai eu peur pour toi, j'ai été fier de toi. Et j'étais tellement en colère... Quand on est arrivé avec les gars, on vous a récupéré. Vous aviez déjà presque fait le taf. On est pas arrivé seul. Les russes étaient là aussi. On vous a récupéré, récupéré deux gars et Banshee avait flingué le "César". On a récupéré quelques PC et téléphone que Taran décortique. Et puis... J'ai tout fait péter au C4. Il en reste plus rien. Des ruines. Ahah tiens ça fait joli dans le paysage. Et on est rentré. Je suis resté à ton chevet tous les jours et toutes les nuits. J'arrivais pas à te quitter. Même maintenant j'aurais du mal..." Tu lui souris en caressant sa joue.

(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Ven 13 Nov - 22:22
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.
Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

« Pas d’excuses » Franchement il n’a pas besoin d’expliquer pourquoi il en profite, tu le sais très bien. Ce besoin de parler autant... Rack a toujours été comme ça mais tu sens que l’inquiétude de toute cette histoire renforce sa parlotte habituelle parce que son débit est plus rapide. T’es pas empathe mais tu le connais à force de vivre avec. Ta main se porte à ton torse pour toucher tes colliers. T’as ta médaille militaire, le seul vestige de ta véritable identité, mais aussi diverses breloques que tu as accumulé avec le temps y compris un ou deux colliers que Rack t’a offert. T’es pas sentimental ou matérialiste mais ça t’aurais fait chier de les perdre, surtout parce que égarer tes plaques auraient été bien chiant. Tu sais que tu joues avec le feu à les porter mais c’est ainsi, tu ne peux te résoudre à les ôter. « Merci » T’y tiens. Et tu réponds avec plus de douceur à son baiser.

T’essaies de rassembler tes esprits et penses à Banshee. C’est bien s’il est remis. « Ouais ces clebs étaient de vrais tueurs » Et tu sais ce que c’est d’en être un. Tu as certainement quelques bouts en moins aussi. A la main si tu te souviens. Quoique… Tout ça est un peu flou, tu verrais bien quand tu ôteras tout tes bandages. Quant aux considérations sur la vie de couple de Banshee alors là ça te passe clairement au dessus, tu sais qu’il se tape le mec qui s’appelle Arthur mais de là à imaginer un couple ou autre c’est très loin de tes préoccupations. Tu te dis juste que c’est bien qu’il ne soit pas seul, le reste tu t’en moques, et si Arthur le couve autant que ton pirate le fait c’est pas mal mais t’espères qu’il a plus de patience que toi car Rack se doute bien que tu n’écouteras pas ce qu’il dira. Tu vas vite vouloir bouger dès que tu le pourras et tu le feras.

« Respires Rack. On n’est pas mort tout est ok. » Tu viens l’embrasser de nouveau parce que tes paroles sont toujours plus froides que tes gestes. Tu passes ta main bandée dans ses cheveux en essayant de comprendre ce qui s’est passé. T’as besoin de savoir pour passer à autre chose. De toute façon si tout le monde est crevé t’es tranquille. « Tout dans la subtilité. » Tu reconnais bien là une sortie théâtrale et énervée de ton pirate tiens mais ce n’est pas un reproche, tu es aussi peu subtile. Et puis autant qu’il ne reste pas grand-chose. « Ça me fait chier cette histoire de retransmission. Ça veut dire qu’on m’a vu et si on m’a vu on peut remonter à mon identité. » Ce qui veut dire que ton dossier peut ressortir des archives de l’armée et ça t’emmerde. Faut que tu passes le mot quand vous serez de retour pour savoir si quelqu’un a des infos là-dessus. Tu sors de tes pensées à ses dernières phrases et l’attires contre toi. Oui t’es blessé et oui tu t’en branles. « C’est bon j’ai émergé tu peux dormir Rack » Tu ne vas pas crever. Si t’avais du ce serait déjà fait. « T’as vu les autres « gladiateurs » ? Tu sais qui s’était ? »
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Sam 5 Déc - 0:23
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.

Repos
Fin Août 2025.
Au large de l'Atlantique.
Tu lui souris. Tu sais que ses colliers lui importent même s'il ne l'exprime pas vraiment. Tu restes contre lui, l'embrassant de temps en temps, tout en lui racontant ce qu'il n'a pas pu vivre. Tu profites tant que tu peux de sa "docilité" parce que tu sais que cela ne va pas durer et qu'il va faire comme il l'entend très très vite. Oui tu sais qu'il est pas mort mais cela n'empêche que tu as eu peur pour lui et que le résultat immédiat a été la réduction en charpie de l'endroit où ils avaient été détenus.

Tu lui rends son baiser parce que tu as bien cru que le dernier que tu lui donnais était celui qu'il a reçu avant de sombrer dans le coma. Tu souris contre ses lèvres. " Bien sûr. Tu me connais je suis quelqu'un de très subtil et pas du tout tape à l'oeil... " Tu reprends ton sérieux. " Mais la vérité c'est que j'étais dans une colère monstre et que c'était un message envoyé à ceux qui auraient encore le malheur de vouloir s'en prendre à mes hommes... Le Colisée qui s'effondre, en miette, devrait en être un suffisant. Et en plus il fallait que j'efface vos traces et rien n'est plus efficace que le feu dans ces cas là. Tout est en petits morceaux, avec un peu de chance, ils trouveront des bouts de cadavres des gardes qui étaient là pour vous contenir et des autres participants morts. Mais en aucun cas ils ne pourront retrouver de traces vous concernant. Tout est soit en poussière soit cramé. "

C'était important que la police ne puisse pas remonter jusqu'à vous. Trop de questions délicates, trop de non dits, trop de secrets aussi. Tu ne savais pas tout du passé de l'Homme que tu aimes mais tu en savais bien assez pour savoir qu'il avait eu un passé militaire qu'il valait mieux ne pas déterrer. " Taran a tout nettoyé. Bon on est pas à l'abri d'un truc qu'il aurait pas pu effacé mais avec les disques durs et les connexions qu'il a pu chopper, il a tout nettoyé. Et apparemment c'était que du direct, pas d'enregistrement à la source. Et en ce qui te concerne, j'ai déjà quelqu'un sur l'affaire. " Tu ne voulais pas qu'il s'inquiète pour cela maintenant. Il devait se reposer et non pas se biller pour ça.

Tu te poses contre lui quand il t'attire. Tu passes tes doigts sur les parties de son torse à découvert en réfléchissant à ce que tu allais dire. " Je suis pas bien sûr... Ce que je vais te dire ne sont que des suppositions de ma part. Mais je ne pense pas que la personne qui avait organisée ça, savait qui elle enlevait. Y a eu toi et Banshee, mais y a aussi eu des Russes. Mais pas que. La petite fouine était là aussi et je pense qu'elle ne travaille pas pour un clan étranger. Elle est bien plus haut placée que ce que je pensais. Donc pour moi, vous avez été enlevés sur le physique. Ils ont du vous observer un peu parce qu'il n'y avait que des combattants. Des anciens militaires, des civils, des mafieux... Pas de flics par contre... En parallèle de vous, y eu une chasse à l'homme avec ceux qui avaient pas le physique de se battre. Des petits jeunes, des femmes, deux fliquettes, des nobles... C'était vraiment aléatoire. Alors je pars sur un mégalo qui a eu envie de se prendre pour le grand César... Toi et Banshee était là au mauvais endroit, au mauvais moment. "

Tu hésites avant d'enchaîner. " On a fait appel au cirque... Comment t'expliquer... Notre petit Taran est un personnage singulier... Il est tombé amoureux du Wicca du cirque et il semblerait que cela soit réciproque et assez fort... Le cirque l'aime bien et ils nous sont venus en aide en nous envoyant la Wicca pour des prédictions puis quand on vous a retrouvé, ils nous ont envoyé leur soigneuse, surtout pour toi. " Il sait que tu es un peu superstitieux, comme tous les marins au final. " On accoste dans une heure. Tu te sens de te lever pour aller sur le pont respirer un peu l'air du large? " Tu sais qu'il aime pas rester sans rien faire.

(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Sam 2 Jan - 18:18
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.
Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

Pas subtil et pas du tout tape à l’œil. Tout le portrait de ton pirate en effet mais il a raison c’était le meilleur moyen de brouiller les pistes et d’envoyer un message. Toi tu vois surtout le fait qu’il sera difficile de faire la différence dans tout le sang, la cendre et la pierre qu’ils vont analyser. Ce n’est pas un mal vu comment vous avez pissé le sang dans l’arène car en ayant été militaire il y a absolument tout de toi dans ton dossier et tu n’as pas du tout envie que ça ressorte. Comme ces plaques autour de ton cou qui trahissent ce que tu as été et es certainement encore un petit peu. Rackham le sait même s’il ne connait pas toute l’histoire car tu n’as jamais voulu le mettre dans la confidence. Pas que tu n’aies pas confiance en lui, il est un des rares à qui tu confierais ton dos sans le moindre doute mais tout simplement parce que moins il en sait mieux il se porte. Le jour où tout ressortira tu aura le temps de lui expliquer. Il n’y a rien de bien terrible, juste un passé que tu as enterré il y a de nombreuses années.

Tu hoches la tête à son explication sur le nettoyage de Taran. Tu vas quand même en parler à tes contacts. « Taran a pu me récupérer un téléphone ? » Car tu te doutes que le tien est en petits morceaux sous une grosse pierre donc tu as besoin d’un neuf. Le hacker sait que tu détestes la technologie, tu ne veux pas d’un smartphone tout équipé pour être intraçable tu veux un vieux téléphone sans même gps avec des touches qui ne fait qu’appel et sms. Pas la peine de chercher à te convaincre tu ne veux que ça et tout le monde le sait dans le clan. Une fois que tu l’auras de nouveau en main et que vous serez arrivés tu pourras envoyer des messages à tes contacts pour te tenir au courant de possibles sorties de vidéos. On ne sait jamais. Pas que tu ne fais pas confiance au petit, juste que tu ne vois pas pourquoi personne n’aurait pu filmer les retransmissions. T’es parano mais ça t’a toujours servi. « Qui as-tu sur le coup ? » Que tu saches un peu qui s’occupe déjà de cette affaire à part Taran.

« La fouine de ton fils ? » Tu demandes pour bien comprendre. « Oui il travaille pour quelqu’un d’autre mais je n’ai pas trouvé encore. Maël m’a demandé de ne pas m’en occuper mais je garde un œil quand même. » Faut pas déconner, tu protèges la famille et si la fouine fout la merde il finira au fond de la tamise avec d’autres. Tu ne réponds pas au reste mais tu écoutes, analysant ce qu’il te dit, trouvant l’explication correcte aussi tu n’as rien à rajouter, tu te contentes de le laisser parler pour deux. Voir bien plus d’ailleurs. « On en doit une au cirque donc. » C’est bon à savoir. Tu n’es pas superstitieux toi mais tu sais qu’il l’est et puis, par défaut, on ne feinte pas avec des gens qui sont capables de parler avec des gens ou des choses qu’on ne voit pas alors autant leur rendre s’ils ont aidé.

« Oui. » T’as besoin de bouger. Tu le laisses descendre de tes jambes pour pouvoir te déplacer doucement vers le bord du lit. Tu n’as pas mal, loin de là puisque tu ne sens rien, mais tu sens bien que la tête te tourne et que tu es faible donc tu y vas doucement, gêné aussi par les bandages. Tu t’appuies sur lui pour te redresser, faisant une pause avant de marcher lentement le temps de retrouver tes repaires. Tu as déjà un pantalon aussi tu sors de la cabine d’un pas tranquille, saluant d’un signe de tête les mecs que tu croises. Tu respires profondément et putain ça fait du bien. Le dernier air que tu as respiré c’était dans ce colisée et ça sentait plus le sang, la poudre et la poussière. « Tu nous emmènes où ? » Tu ne sais plus s’il l’a déjà dit. Tu continues ton chemin en respirant profondément, toujours gêné par les bandages. « Profites. Dès que je me sens moins faible je vais reprendre les entrainements et le sport. » Tout type de sport. « Tu as été imbuvable avec ton équipage non ? » Tu le connais à force et l’attires contre toi. « T’as prévu quoi pour ces vacances à part du repos ? » Car il te connait, tu vas être insupportable s’il n’a prévu que ça. Tu n’aimes pas tourner en rond.
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Sam 16 Jan - 22:41
Revenir en haut Aller en bas
Invité



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.

Repos
Fin Août 2025.
Au large de l'Atlantique.
Quoi? Tu vois bien dans ses yeux qu'il est amusé... Mais on ne touche pas au Port. Et tu frapperas toujours de manière disproportionnée si on s'en prend à lui. Et surtout si on s'en prend à tes proches. Banshee était bon pour une chirurgie reconstructrice et une rééducation. Quant à ton homme... Inutile d'en parler les bandages le faisaient à ta place.  Tu te penches sur le côté en faisant attention à ne pas appuyer là où il est blessé. Tu viens appuyer sur un relief à peine visible sur la table de chevet et un tiroir s'ouvre. Dedans une enveloppe craft que tu lui montres. " Dedans se trouve un nokia trente-trois dix. Un vieux machin mais avec une batterie quasi increvable. Il m'a dit que si tu t'en servais bien tu pouvais même tuer quelqu'un avec parce qu'il était résistant. Et tu as mon numéro pré enregistré dedans. Touche 0. Tu appuies longtemps dessus et ça m'appelle. "

Tu poses l'enveloppe sur la table de chevet en refermant le tiroir. Tu ne veux pas qu'il y touche de suite. " Twayn et quelques gamins bien placés, un inspecteur et un contact chez les nobliaux. " Tu n'as pas besoin d'en dire plus. C'est suffisant. Tu as déjà les noms des personnes impliquées dans l'affaire ne serait ce que parce que trois d'entre eux sont des amis de Maël. mais pour l'instant il n'avait pas besoin de le savoir. REPOS. Puis tu lui parles de comment tu as récupéré ses plaques. " Lui même. Oui je sais qu'il ne veut pas qu'on fouille de trop. Il ne veut pas savoir. Je crois qu'il a peur de devoir faire des choix en sachant. Mais un jour, forcément, ils devront en faire... Merci de le tenir à l'oeil. " Et tu lui as dit à Tim que tu n'hésiterais pas à te débarrasser de lui s'il portait du tort à ton fils.

Oui c'est ça... Vous en devez une au cirque... Mais c'est comme tout. Ton monde fonctionne avec des dettes et des paroles honnêtes. Qui ne tient pas parole finit mort et personne n'y retrouve à dire parce que c'est la règle. Comme il te dit qu'il veut bouger, tu te redresses et tu es là en appui s'il a besoin. Mais tu ne fais pas de gestes, t'attends qu'il te demande. Ton homme est du genre fier. Donc tant qu'il ne te demande pas tu restes là en support et tu surveilles que les points ne sautent pas. Quand il s'appuie sur toi pour se redresser tu tiens ferme. Le roulis d'un bâtiment peut être traitre même si tes navires sont bien équilibrés. Tu grimpes avec lui à la poupe du bateau où se trouve le poste d'observation du capitaine -oui parce que chez toi, ton navire est profilé comme un bateau pirate - et tu le laisses respirer les embruns marins chargé en iode et en air pur. " Je t'emmène au large de l'équateur. Une petite île où il fait bon tous les jours que Dieu fait. " Lui réponds tu en marchant à ses côtés. Tu souris, malicieux, quand il te dit que tu y auras droit quand il ira mieux. A vrai dire tu ne demandes que cela... qu'il aille mieux.

"HANNN je vois pas ce qui te permet de dire ça... Je suis TOUJOURS un ange avec mon équipage..." Faux! Tu sais être tyrannique quand tu t'emportes. Ce n'est pas souvent. Mais tu n'es pas le boss pour rien et ils l'avaient tous sentis quand vous aviez grimpé l'Ecosse pour aller les chercher, prenant de vitesse la plupart des équipes. et puis en faisant tout explosé et surtout le retour... T'avais tellement d'angoise que le premier qui te contredisait passait par dessus bord sans aucun état d'âme de ta part. Mais maintenant tout va très bien. Tes colères sont aussi célèbres que courtes. Tu viens te caller dans ses bras, nichant ton nez dans son cou. " Du tourisme... Du sexe, beaucoup de sexe, à profusion... Et des activités sportives pour que tu te remuscles et que cela cicatrise bien. Et peut être un tour chez un fournisseur si tu te fais trop chier. Tu pourras jouer au vilain tueur sans froid ni peur. " Petit souvenir de leur première rencontre quand il lui servait de transport entre deux missions. " Maintenant que tu es debout, allons manger sur le pont. T'as besoin de reprendre des forces mais ne te force pas trop à manger, ton estomac est peut être encore endormi. " Tu le diriges vers le pont. Tu as hâte d'arriver, deux  petites heures et vous aurez les pieds dans de l'eau douce de lagon pur, pas de touriste et surtout la paix. Et puis votre petite maison est vraiment charmante. Une grande et unique pièce qui sert de salon, lit, cuisine et une grande douche ouverte... De quoi bien s'amuser... Tu avais même embarquer de quoi lui prodiguer des massages sur les conseils de ton fils. Tu savais pas si tu étais doué pour mais c'était l'occasion rêvée d'apprendre...

(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Mar 16 Fév - 14:18
Revenir en haut Aller en bas
Invité


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le Chant des Sirènes

Rackham et Apophis

«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.
Repos
Fin Août 2025.
Au large du Pacifique.

Tu te contentes d’hocher la tête à l’explication sur le téléphone. C’est très bien, Taran sait ce qu’il te faut de toute façon donc tu lui fais confiance. Le geste de Rackham te fait comprendre que l’utiliser maintenant n’est pas une possibilité mais de toute façon il sera difficile de communiquer alors que vous êtes en pleine mer, surtout que tu n’es pas encore totalement réveillé de ce long sommeil. Quand tu auras toutes les informations qu’il te manque et pleinement repris tes esprits tu reprendras contact avec ceux que tu connais. Tu as certainement tes carnets ici, Rackham est le seul à y avoir accès et tu es sûr qu’il les a pris avec lui pour que tu puisses récupérer toutes les données dont tu as besoin. Avoir un vieux téléphone est pratique mais ne permet pas de tout récupérer facilement, tu es donc resté à la vieille méthode qui te convient particulièrement bien.

« Dit l’homme qui ne sait pas la moitié de ma vie » T’observes Rackham intensément. Tu comprends qu’il veuille protéger son fils, Maël fait parti de tes rares proches sur qui tu garderas toujours un œil mais il ne peut pas lui reprocher de se mettre des œillères et de ne pas vouloir savoir alors qu’il fait exactement la même chose avec toi. « Le tenir à l’œil est la seule chose à faire. S’ils sont comme nous deux il n’y a pas à s’en faire mais il faudra qu’il le prouve. » C’est simple. Vous auriez pu avoir des missions qui vous opposaient mais cela n’est jamais arrivé et aujourd’hui vous êtes trop vieux pour vous emmerder avec ça. Maël et Tim restent jeunes et fougueux, cela change pas mal de choses et surtout cela demande d’attendre avant de juger si la fouine est une personne sur qui compter ou à éliminer. Il sait qui tu es, il te méfie de toi, c’est déjà une bonne chose.

Tu te lèves doucement, t’appuyant sur lui pour marcher. Si tu ne ressens pas la douleur, tu sens que cela tire sur ta peau et surtout tu détectes ton état de faiblesse. Même si tu n’es pas du genre à faire très attention à toi tu sais que tu as trop tiré sur la corde aussi tu y vas lentement, laissant Rakcham corriger si jamais tu t’appuies mal. Tu l’écoutes te dire où il vous emmène, tu sais que ton pirate apprécie les petites îles perdues avec le soleil toute l’année. Si lui est du genre solaire, toi tu es du genre nocturne mais tu le laisses vous mener où il le désire, tu te réveilles bien trop tard pour pouvoir donner ton avis de toute façon. Tu l’observes, lui demandant s’il a été horrible avec son équipage comme tu sens que tout le monde a l’air tendu et hausse un sourcil à sa réaction. « A ce point là donc. » Pas besoin de traduction tu vois très bien l’état dans lequel il était et dans lequel il les a mis. Tu vas pas les plaindre mais t’étais bien dans les vapes.

Tu passes la main dans ses cheveux, allant mordre le lobe de son oreille. Ce programme te convient. Tu auras besoin de voir du monde car tu auras besoin de tuer, tu le sais, ton être et ton esprit sont composés de ça. Si tu ne veux pas être dangereux pour l’équipage, il vaut mieux que tu puisses agir un peu au cours de ses mois. Au moins une fois pour tenir, ensuite tu reprendras tes habitudes sur Londres. Tu le suis pour aller manger, ne te nourrissant pas énormément avant de retourner te reposer. Quelques heures après vous êtes à quai, tu marches de nouveau doucement pour aller découvrir cette fameuse maison et commencer le début de ces vacances imposées. Quelques jours de repos encore et ensuite tu reprendras tes entrainements.
(c) DΛNDELION
Invité
avatar
Invité
Mer 3 Mar - 18:02
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: