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[CLOS] Une petite soirée tranquille? Ft... Sasha!
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Invité
Helen & Sasha

Je frotte un peu mes yeux pour essayer de chasser les dernières larmes qui ont séché. J’oscille entre la terreur et la peur bien souvent. Anxiété aussi. Mon esprit ne sait pas ce qu’il désire vraiment. J’ai peur de sa présence, peur de sentir de nouveau son souffle et voir ses yeux et en même temps cela m’énerve de n’être pas capable de passer au dessus de cela. Et surtout de n’avoir pas été capable de faire grand chose. Impuissant je me rends compte que si cet homme n’était pas passé par là, je serais mort à l’heure qu’il est. J’aurais eu zéro chance de m’en sortir. Et c’est une sensation étrange de se rendre compte qu’on est vivant grâce à une coïncidence, au passage de quelqu’un dans le coin. Ce n’est pas ma vie est importante c’est juste que, coup de bol, quelque chose à déranger le tueur et qu’il n’a pas eu le temps de finir.

Des frissons parcourent mon corps quand tu me prends la main, encore assez réactif vu les souvenirs que je viens d’avoir mais je te laisse faire car j’ai confiance en toi. « Je suis désolé pour Mike. J’essaierai de le saluer demain matin. » Ou dans quelques heures, je me rends pas compte de l’heure qu’il est. « C’est gentil à lui. » Parce que je me rends compte que oui j’ai faim et mon estomac va répondre à ta question avant mes paroles. J’en souris légèrement avant d’hocher la tête. Plus besoin de dire quoi que ce soit. Cela fait deux semaines que j’ai été attaqué aussi j’ai repris un semblant d’appétit. Je n’ai jamais été un gros mangeur donc je mange encore moins depuis mon attaque mais cela ne me dégoute pas. C’est juste que je suis dans une constante inquiétude qui parfois me fait oublier de manger mais là ça fait trop longtemps que j’ai l’estomac vide.

Je m’installe dans le canapé, tirant sur un plaid qui s’y trouve pour pouvoir le mettre sur moi. J’ai tendance à avoir facilement froid aussi depuis l’attaque, comme si une partie de mon être s’était gelée. « Merci beaucoup. » J’ai l’impression de dire que depuis que je suis arrivé… Je picore deux ou trois petites choses avant de te regarder de nouveau. « Je fais aller » Parce que non ça ne va pas. Je vis dans l’inquiétude de me faire attaquer de nouveau et je viens de fuir littéralement de ma famille pour me réfugier chez toi. Soyons clair je vais avoir la bratva sur le dos dans pas longtemps histoire de se débarrasser du témoin gênant : moi. Faut vraiment que je vois avec Tim comment fuir du pays ou trouver une solution viable. Enfin j’y penserais quand j’aurais l’esprit plus tranquille. « De quoi ? » Parce qu’il y en a des choses à dire. « De ma vie ? De mon attaque par Jack ? De ma fuite ? A vrai dire je ne saurais même pas par où commencer. » J’en ris légèrement. « Dire que je pensais que ma vie serait meilleure en Angleterre… »

*En russe dans le texte
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“J'aimerais savoir peindre un cri comme Bacon, ou bien la peur, ce quelque chose qui me fige et me rend si vulnérable. Peindre la peur si précisément que je puisse la toucher, et ainsi la rendre inopérante, l'effacer, l'annuler de ma vie. ”(Tahar Ben Jelloun // beerus)
Une petite soirée tranquille
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Invité
24.02.20 14:42
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Helen Richards
A l'évocation de Mike, Sasha arriva encore à se sentir coupable de l'avoir manqué. C'était assez récurrent chez son invité ce genre de sentiment visiblement.
- Ne t'en fais pas, il ne l'a absolument pas mal pris. Et il l'a d'autant moins fait quand je lui ai expliqué.

L'épouse avait tout raconté quasiment de A à Z. Et c'était de fait une homme très compréhensif. Du coup, le qualificatif qu’évoqua Sasha fit écho.
- Gentil? C'est son deuxième prénom.

Ca le résumait parfaitement. Mais pas dans le sens péjoratif du terme bien entendu. C'était un vrai gentil, un amour faillit-elle rajouter.

Quelques secondes plus tard, un grondement caractéristique confirma à Helen qu'une certaine personne devait en effet avoir un petit creux.
- Ok, j'ai ma réponse. Viens.

Une fois en bas et installés, l'aînée regarda Sasha picorer. On ne pouvait pas dire que c'était un appétit d'ogre. Compréhensible. Helen trouvait même sa silhouette encore plus affinée qu'à leur rencontre. Elle se retint toutefois d'en faire le commentaire, même si cela la minait.
Pour autant, elle n'avait pas pût s'empêcher de lui demander si ça allait, et la réponse lui serra un peu plus le coeur. Helen espérait dans son geste lui montrer son soutien et à quel point cela pouvait la toucher.

Un instant, Helen crut que Sasha allait se refermer quand elle lui répondit à sa question par une autre question, d'une manière qui lui parut un rien ironique. La façon dont elle commença fit d'abord penser à Helen que la conversation risquait de tourner court, ce qu'elle aurait compris au demeurant. Mais non, Sasha semblait surtout désabusée. On pouvait le comprendre.

Helen se rapprocha un peu plus voulait lui confirmer tout son soutien, et attrapa sa main entre les deux siennes.
- Hey! Fit-telle d'une voix douce pour avoir son attention. C'est normal de ne plus savoir où tu en es avec ce que tu viens de vivre,et même avec ce qui tu vis depuis un moment d'ailleurs. Et je me doute qu'à cet instant c'est encore très dur de penser pouvoir trouver une solution à cette spirale infernale qui t'a attrapé. Mais je te garantie que tu vas y arriver! Crois-moi.

Tout restait à faire! Mais il y avait assurément certains aspects qu'Helen pouvait assurer sans problème. Pour couper court au premier argument que Sasha allait immanquablement opposer, Helen décida d'être claire.
- J'ai un peu réfléchi de mon côté. Déjà matériellement, je voudrais que tu ne te soucis de rien. Ah, Ah, je finis, et après tu objectes, ok? La procureure sourit tendrement à son vis à vis avant de continuer. Il y a longtemps avec Mike, on a fait un choix. On a décidé de vivre pour nous. Déjà, j'ai eu la chance de naître dans un environnement béni, et lui comme moi, on a toujours bien gagné notre vie en faisant le métier qu'on a toujours voulu faire. Et si aujourd'hui on pouvait t'offrir un peu de ce que le destin t'as refusé, tu ferais de moi la plus heureuse des femmes. C'était sincère assurément.

Pas de contre-partie, pas de compte à rendre, juste une volonté d'aider, gratuitement. Ou alors éventuellement une façon, somme toute à bon compte, de se donner bonne conscience, là où des donations, des mécénats, etc, n'avaient jamais réussi à lui donner vraiment bonne conscience.

Ensuite, Helen enchaina sur quelque chose de plus simple qui pouvait être mis en place facilement pour quelques jours ou même bien plus.
- Si tu veux disparaître un temps, il y a un moyen assez facile, et personne ne te trouvera là-bas. Je suis certaine que tu t'entendrais très bien avec mon père, même si vue la taille de la maison tu peux aussi facilement l'éviter si tu préfères! Je savais que ce domaine servirait un jour à quelque chose, il fait parti du package "vie bénie"! Tu vois le genre?

Quelques dizaines d'hectares totalement isolés du reste du monde ou presque. Une battisse immense, certes d'un autre âge, mais bien entretenue, et dont une bonne partie était plutôt bien aménagée, avec tout le confort moderne.

Ca pourrait à moindre coût permettre à Sasha de réfléchir, de se reconstruire, imaginer tranquillement la suite, sans pression, et l'organiser...
Helen Richards
Helen Richards
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24.02.20 22:21
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Invité
Helen & Sasha

Ça me fait sourire la façon dont tu parles de ton mari. Au moins on voit que tu l’aimes. Et cela me fait penser à quelqu’un dont je pourrais parler moi aussi ainsi mais je chasse cette pensée de mon esprit aussi vite qu’elle est apparue. J’ai tellement de choses à penser et ça ce n’est clairement pas la bonne. De toute façon nous nous sommes d’accord sur ce qu’on pense l’un de l’autre, on s’est tout dit à l’hôtel Rosewood juste avant que je sorte et que je sois remis sur le trottoir, soit avant-hier. Pas besoin de revenir sur ce sujet. Je préfère te suivre en bas car oui j’ai faim. Je mange rarement beaucoup mais cela me fera quand même du bien de prendre un peu de temps pour me nourrir. Je suis en effet encore plus maigre que je ne le suis déjà. L’attaque de Jack a eu raison de mon peu d’appétit et cela ne va pas en s’arrangeant. J’ai clairement besoin de prendre un peu soin de moi.

Je m’installe sur le canapé et grignote légèrement ce que tu m’amènes. Si je mange trop vite ou trop ça ne passe pas de toute façon. Je ne suis pas fermée à la conversation. Je ne dirais rien sur ma « famille » c’est clair mais je pense que tu me connais assez bien pour le savoir. Pour ce qui est du reste, ça n’a rien de secret ce qui peut tourner dans ma petite tête. Moi qui pensais que ma vie serait plus belle ici, loin des tensions entre membres de la bratva... Je sais survivre au milieu de ce genre de choses car je suis presque née dans un bordel mais de là a penser se faire attaquer par un tueur en série. Rien que d’y penser je frissonne de nouveau et me met mieux sous le plaid même si le froid que je ressens est surtout à l’intérieur de mon corps et de mon esprit.

Je te souris faiblement. Oui je vais y arriver. On verra. Là ça commence à faire beaucoup de menaces sur mes épaules. Je suis du genre malin mais je cumule un peu entre Jack et la bratva. Manque plus que les flics et on est bon je pense. Mais non je ne vais pas accepter que tu me paies tout mais je me tais comme tu m’y invites jusqu'à avoir de nouveau droit à la parole. « Helen… » Oui en effet nous n’avons pas du tout eu la même vie, pas la même naissance. Mon père a fait des dettes lui là où tu n’as jamais eu à t’en soucier. C’est comme ça qu’on s’est retrouvé ma mère et moi à devoir payer ses dettes de notre corps. Parfois j’ai l’impression que c’est tellement loin alors que ça a quoi… Dix ans ? « Je ne peux pas accepter et tu le sais très bien. De toute façon j’ai surtout besoin de me faire oublier pour le moment et après je verrais. Je partirais certainement. Le bratva ne me suivra pas à travers le pays, ils ont largement assez à faire. » Par contre si je reste sous leur nez je vais me faire buter.

Je te regarde quand tu me proposes de me mettre à l’abri chez ton père. « Comment peux-tu être sûre que je ne vais pas être trouvé là bas ? Tu sais ils ont des moyens chez moi et je ne veux pas que ton père ait de soucis. » Ils ne se poseront aucune question pour le buter. Enfin ça reste le père d’une procureur mais je doute que ça les arrête si facilement. « Je te remercie de m’aider à ce point mais je préfère pas te mêler encore plus à ça. Je… Je vais me reposer un peu chez toi si tu me le permets, c’est déjà énorme comme demande. » Enfin je trouve… « Et après je te laisserais tranquille, j’ai peut être une personne qui peut m’aider si j’arrive à réfléchir un peu. » Là j’ai l’esprit totalement à l’envers et j’ai du mal à aligner des pensées très cohérentes mais une chose est sure : je ne veux pas mettre ta famille dans les ennuis pour moi. C’est hors de question. J’ai perdu assez, je ne désire pas que tu connaisses ce que ça fait de se faire rayer sa famille de l’existence par la Bratva.

*En russe dans le texte
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“J'aimerais savoir peindre un cri comme Bacon, ou bien la peur, ce quelque chose qui me fige et me rend si vulnérable. Peindre la peur si précisément que je puisse la toucher, et ainsi la rendre inopérante, l'effacer, l'annuler de ma vie. ”(Tahar Ben Jelloun // beerus)
Une petite soirée tranquille
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06.03.20 11:21
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Helen Richards
Quand quelque chose lui tenait à coeur, outre le fait qu'elle faisait tout pour arriver à son but, Helen détestait qu'on lui mette des bâtons dans les roues. Et pourtant à cet instant, elle sentait bien qu'elle risquait d'être contrariée. Bien sûr elle était tout à fait consciente que les choses étaient plus que compliquées. Les forces en présence étaient loin d'être sans importance. La magistrate était d'autant mieux placée pour le savoir d'ailleurs.

Bien entendu, Sasha avait des arguments massues, mais Helen savait aussi d'expérience qu'il y avait maintes options possibles, dont bien d'autres non évoquées encore. Restait maintenant à trouver le juste équilibre entre les choses pouvant être mises en oeuvres rapidement et celles à plus long terme. Le souci étant de mettre les bonnes bases pour construire l'avenir de l'androgyne russe.

Les objections fusèrent, mais Helen laissa couler. Au demeurant, Sasha n'avait pas tort pour l'éventuel danger qu'une telle invitation comportait. Mais si elle n'insista pas c'est aussi qu'elle n'en avait pas parler à son père. Certes, elle était quasi certaine de l'en convaincre facilement, le vieil homme ayant un haut sens des valeurs, il aurait fait son possible pour aider.

La procureure acquiesça d'un signe de tête à sa demande ouverte.
- Bien sûr. Encore une fois, tu es ici chez toi. Il n'y a aucune chance qu'on vienne te chercher ici. Mais en disant cela, Helen mesura qu'au regard des évènements récents, même elle n'était pas en parfaite sécurité où que ce soit.

Helen fut contente d'entendre que Sasha avait sans doute un plan B. Il était tout de même assez clair à ses yeux qu'il serait peu discret pour cette paire là d'oeuvrer ensemble maintenant. Ce qui la rendait un peu triste, même si elle se doutait que les occasions de se croiser à l'avenir auraient de toutes manières été plutôt rares. A présent, il était quasi certains qu'elles ne se recroiseraient plus. Cette idée arracha un soupir à la magistrate, qui aussitôt s'en voulu d'autant de pessimisme.

L'aînée se ressaisit immédiatement, frappant de ses deux mains sur ses cuisses avant de se lever.
- Si tu es comme moi, je réfléchie bien mieux devant une tasse de thé fumante. Ca te dit?

Peut-être un peu cliché, mais Helen assumait parfaitement. Elle commença à prendre la direction de la cuisine, en précisant toutefois.
- A moins que tu préfères quelque chose de plus fort, auquel cas tu devrais trouver ton bonheur dans le meuble sur la droite de la cheminée. Fais comme chez toi.

Comme à son habitude, Flintstone s'était levé en même temps que son humaine, et après s'être étiré il trottina à la suite d'Helen jusque dans la cuisine où il gratta à la porte pour sortir dans la cour intérieure. Sa maîtresse déverrouilla la chatière pour le laisser vivre sa vie cinq minutes, avant de mettre la bouilloire à chauffer. Pendant l’attente réglementaire, appuyée sur le rebord de l'évier, elle regardait par la fenêtre le cabot s'amuser tout seul dehors.

Eclairé par les spots disposés au sol ça et là dans le jardinet, les ombres par moment démesurées qui dansaient autour du chien ramenèrent quelques démons à l'esprit de la magistrate qui frissonna à l'idée de ce qu'avait pu ressentir Sasha lors de son agression par Jack. Surement encore en dessous de la vérité, elle mesurait l'effroi qui devait l'habiter en permanence après ça.
Helen Richards
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24.03.20 22:43
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Helen & Sasha

Je suis plutôt heureux que tu ne reviennes pas sur cette histoire d’aller chez ton père. Je n’ai aucune envie de te créer de soucis. Je sais déjà que le fait de m’avoir chez toi peut te créer des problèmes autant à cause de la Bratva que ton propre travail alors c’est suffisant. Tu as ouvert ta porte à un prostitué un soir où il en avait besoin et rien que pour ça je te suis éternellement reconnaissant, je n’ai pas besoin de plus. Tu ne te rends peut être pas compte que tu es la première personne à vraiment me tendre la main quand j’en ai besoin. Parfois j’ai été aidé dans ma vie, j’ai la carte de certains flics qui ont fermé les yeux quand il y a eu besoin pour que je ne finisse pas au trou mais je ne leur fais pas confiance comme je te fais confiance à toi. C’est étrange quand même comme parfois des liens peuvent se créer de façon étrange.

Cependant je pense aussi que l’avenir ne va pas nous permettre de nous recroiser. Le seul moyen désormais de m’échapper de tout ça est de partir et de ne jamais remettre les pieds dans cette ville. Il n’y a pas d’autre choix et si je peux au moins prendre le temps de reprendre des forces a tes côtés il faut que je prévois mon plan de repli. « Je veux bien du thé. » Vu mon état il ne serait pas raisonnable de boire autre chose et puis j’ai pris l’habitude de boire du thé depuis que je suis en Angleterre. C’est déjà quelque chose que j’appréciais en Russie quand ma mère préparait le samovar aussi je retrouve tout cela avec plaisir depuis que je suis ici. Cela me fera du bien et je reste pensif, essayant de réorganiser mes pensées.

Je récupère ton thé avec plaisir, restant ensuite assez silencieux. Pas un de ces silences pesants, juste un qui permet de se ressourcer et d’apprécier d’être dans un cocon protecteur où on a besoin de se ressourcer. Je suis bien chez toi et pour la première fois depuis quelques temps je me pose confortablement. Ce n’est pas comme le Rosewood où j’étais entouré tout le temps de médecins, ni dans mon appartement. Ici je suis tranquille et je peux penser. « Merci encore Helen » Je te souris avec douceur avant de déposer un léger baiser sur ta joue et monter me reposer de nouveau. Mes nuits suivantes ne seront pas les plus parfaites mais entre ta présence et les médications de Liam je pourrais reprendre un peu de calme avant d’élaborer mon plan pour m’enfuir d’Angleterre. Enfin… Essayer…

//FIN//
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30.03.20 0:58
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