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Obscurité - [PV JB]
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Marlon Lynch
Une fois leurs supérieurs informés, la Strike avait vu les renforts débarquer à une vitesse quasi hallucinante, prouvant s'il en était besoin, que tout le monde était solidaire de JB. Cela réchauffa le coeur du Tank, et le galvanisa un peu plus à ce qui allait suivre, car nul doute que ça "allait chier" d'ici peu.

Tout le monde s'était armé et protégé pour un assaut qui s'annonçait imminent. Même si Marlon avait bien émis quelques objections face au responsable des sections d'assaut, il suivrait le plan initial de celui-ci. Au pire, il improviserait sur place s'ils se retrouvaient bel et bien devant des para-militaires à l'intérieur. Hypothèse qui avait été rejetée un peu vite à son gout. Pour la plupart ces gars étaient d'anciens militaires, et ils devaient savoir qu'enlever le chef de la Strike risquait de déclencher les hostilités. S'ils s'étaient préparés en conséquence en face, ça allait VRAIMENT chier!

Le trio restant de la Strike se positionna selon les ordres, et attendait le top. Zac, et il n'était pas le seul, était un brin nerveux. Alors qu'il râlait, Marlon le recadra posément.
- Junior, t'occupe pas d'eux, et concentre-toi, tu veux? On n'a pas le droit à l'erreur aujourd'hui.

L'enjeu était aussi important que la dernière fois. Mais techniquement surement plus ardu. Alors que Zac posait sa question, le Tank hocha simplement la tête, déterminé. Il n'avait jamais été aussi prêt qu'à cet instant.

Au top, l'assaut fut donné, et comme un seul homme les forces de l'ordre entrèrent dans la place forte. Ils n'avaient fait que quelques mètres à l'intérieur que les premiers coups de feu partirent, et l'alerte fut donnée dans la foulée par l'adversaire. Tous les réflexes de l'armée remontèrent en un instant chez l'ex militaire. Gardant un oeil sur ses collègues pour les couvrir au maximum, Marlon avançait méthodiquement, prenant le temps d'ajuster ses tirs.
Dans son angle mort, un mouvement attira son attention, il pivota en tirant pour ralentir l'adversaire. Jugeant que sa collègue était mieux placée, Marlon lui cria.
- Rylee, à 3h!

Il tira une salve dans la direction, juste pour s'assurer que le gars n'allait pas ajuster son tir avant que Rylee ne puisse tirer elle-même.

A cet instant, Marlon rejeta une pensée pour JB et Louisa. Il n'aimait pas que les hostilités soient parties aussi tôt. Il y avait un vrai risque à ce que les Albanais réagissent en tuant directement leurs otages. Une nouvelle giclée d'adrénaline pulsa dans les veines du Tank. Il pressa le pas, prenant un peu plus de risques pour avancer plus vite, essayant de tirer avec mesure mais pour tuer.

[HRP, et un lancer de dé, un!]
Marlon Lynch
Marlon Lynch
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02.03.20 18:23
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Obscurité
Strike Team
Mon regard se pose sur les bleus un peu plus loin. « T’étais aussi con quand t’as démarré. » Je me souviens des premières actions avec toi ou des premières planques où tu m’as rendu ouf à ne jamais fermer ta grande gueule. Chacun son tour. T’as été aussi con y’a pas longtemps d’ailleurs mais ça je le garde pour moi et me reconcentrer sur le plan qu’on vient de nous donner. J’ai bien vu que tu n’étais pas particulièrement d’accord avec Marlon mais ce n’est pas nous qui donnons les ordres et, sans JB, autant dire qu’on n’a pas notre mot à dire. Je note cependant tes réticences. Généralement tu as de bonnes intuitions donc autant ne pas les oublier. Les bleus j’en ai trop rien à foutre, quand ça va commencer à tirer de tous les côtés ils vont vite se remettre dans la réalité des choses. Je pense qu’on a tous été comme ça au début.

Nous sommes prêts, il est temps d’y aller. Clairement toutes les forces de police sont là donc on est loin d’être discret. Si Jb et Louisa sont encore en vie il est clair qu’ils ne leur restent pas beaucoup de temps car l’alerte sera rapidement donnée. « Ouais » Je vous suis dans le hangar, les premiers coups de feux s’échangent contre les albanais et nous. On sait qui est derrière tout ça maintenant et on sait que c’est loin d’être un enfant de cœur. A partir du moment où l’alerte vient d’être donnée il nous reste quelques minutes, pas plus. Tuer ne m’a jamais dérangé aussi j’avance sans état d’âme. « J’sais qu’il faut qu’on avance mais te mets pas à découvert » C’est l’hôpital qui se fout de la charité on est ok mais ça sert à rien de se faire buter quelques mètres avant de retrouver les prisonniers donc j’essaie de calmer Marl’ avant de repérer un mec en embuscade. « Junior ! 9h » Car je suis bien trop loin pour le toucher correctement sans manquer de vous blesser et je réalise rapidement que des mecs sont aussi en embuscade de notre côté. « Marl, baisses toi ! » Je bute celui qui arrivait sur ton côté et vous fais signe de prendre à droite parce que plus on va dans ce sens plus il y a des portes flingues donc on ne doit plus être loin d’eux.
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03.03.20 9:57
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Dice Master

Obscurité

Louisa Lorca & JB Lemoine & Equipes intervention



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Dragan Zapavalić Bras droit du Parrain de la mafia Albanaise

Le hangar fût pris d’assaut. Ce à quoi ils s’étaient plus ou moins préparés. Certainement pas aussi vite à les retrouver. Mais, ils ne fuiraient pas car ici on était chez eux.

_“ALERTE !” L’Albanais donnait l’ordre de faire évacuer les quelques filles en attente de leur transfert vers une autre ville. Un des hommes s’échappait pour aller retrouver le groupe de filles et tenter de faire leur évacuation. Le chaos pourrait peut-être les couvrir.

Les hommes, dans la première salle, étaient des hommes morts. Ils le savaient tous. Ils étaient disposés à être chair à canon pourvu que le reste soit sauvé. Aussi, allaient-ils à l’affrontement avec les forces de l’Ordre avec une rage déterminée. Nombre tombaient sous les balles.

En une fraction de seconde les hommes présents autour d’eux allèrent prendre leur position de défense. Ils étaient calmes, organisés. Sur un hochement de tête de Zapavalić, le Préparateur se plaça à la droite de Lemoine. Il tendit le bras pour le mettre en joue de son arme à feu. Quant au Boxeur, il opéra de même avec la petite Lorca. Ce serait l’élément de “négociation”.

Dans un même temps, Dragan s’était dirigé vers l’armoire dans laquelle était entreposée l’artillerie lourde. Il attrapa un fusil à pompe. Les trois autres hommes présents se postait à des angles de la salle, à couvert, embusqués pour tirer à vue.

_“CESSEZ LE FEU!” Il avait crié assez fort pour être entendu par les policiers les plus proches de la salle. “CESSEZ LE FEU OU ILS FINISSENT AVEC LA CERVELLE SUR LE SOL!” De sa place, Dragan visa le premier uniforme dans son viseur et tira. C’était une jeune femme, une nouvelle, la force de l’impact avait déchiré son corps de part en part et son corps tombait au sol comme une poupée en tissu.

_“ LYNCH ! ” Somma-t-il d'un ton présomptif. Les hommes du Français étaient obligatoirement présents. C'étaient eux qui allaient leur donner ce qu'ils voulaient en échange de la vie de leur coéquipier.

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MJ
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04.03.20 0:13
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Jean-Baptiste Lemoine
Obscurité
Leur petite discussion avait droit à un terme un peu abrupt et heureusement pour nos deux prisonniers. Lemoine comprenait que la Strike était dans les parages. Les bruits qu'il entendait, il les reconnaissait entre mille. Des coups de feu, des voix, la cavalerie n'arrivait donc pas en retard pour aujourd'hui. Un fin sourire marquait ses traits, finalement, les Albanais n'auraient pas ce qu'ils souhaitaient. Bien entendu, l'équipe de la salle, se doutait qu'une telle situation pouvait arriver et rapidement, se mettait en place. Ils auraient pourtant bien du mal à se défendre contre son équipe, encore plus s'ils étaient accompagnés.

Avec un peu de bol, d'autres équipes d'intervention seraient de la partie et après quelques flashes bangs, Louisa et lui seraient dehors. Enfin, ça, c'était si tout se passait bien. Même s'il commençait à trembler de froid dû aux pieds dans la flotte et que tout son corps lui faisait mal, le français tentait de rester de marbre. Il était important de faire comprendre à ses assaillants, qu'ils n'auraient pas le dessus sur lui, qu'ils ne lui faisaient pas peur. Et le fait de savoir les siens pas loin, décuplait ce besoin de leur montrer qu'ils avaient eu plus que tort de l'attaquer.

Le flingue face à lui, lui tira une légère moue, mais ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait avec un canon d'arme à feu face à lui. Une situation qui lui était plus familière que de se faire torturer, en effet. Il fixa alors celui qui le tenait en joue.

- Fais pas de connerie... lâche ton arme et tu pourras t'en sortir vivant...

Ils étaient en position de force, même si les mafieux pouvaient croire le contraire. Bien que JB doutait sincèrement que l'homme ne l'écoute qu'un peu. Mais rien ne l'empêchait d'essayer. Voir même de le déconcentrer un peu. Si cela arrivait, il obtenait pour son équipe, encore un peu de temps. Il espérait que Louisa n'allait pas tourner de l'oeil maintenant.

- Laissez au moins filer la demoiselle les gars....

Y en avait bien un qui allait finir par craquer, non?

Mais le chef, ne manqua pas d'augmenter la haine que les flics auraient pour lui. Abattre ainsi de sang-froid une bleue... Lemoine eu un mouvement de colère sur sa chaise, son braqueur lui fit comprendre qu'il n'avait pas intérêt à faire un mouvement de plus. Le nom de Marlon sonna dans le demi-silence qu'avait créer l'abattage en règle de la flic. Il voulait négocier? C'était un peu tard pour le coup.

*En français dans le texte
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05.03.20 10:40
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Louisa Lorca
Louisa était tremblante, la peur la dévorait mais elle commençait à avoir de nouveau espoir. Ils n'étaient pas seuls. Des secours arrivaient. Le pire pouvait peut-être être évité. Peut-être. Les Albanais se mirent en mouvement. Le boxeur posant un flinguer contre le tempe de l'adolescente. Louisa se raidit, étant seulement concentré sur cet objet de mort posé sur sa tête. A l'extérieur, les coups de feu rythmaient la scène. Ils approchaient, toujours de plus près. Louisa avait l'impression qu'il y en avait des centaines. C'était une véritable guerre.

Une flic entra. Un flash. Un bruit assourdissant. Le corps déchiré de part en part. Le cadavre tomba mollement au sol. L'agent de police était morte. Morte. Louisa s'était arrêtée de respirer. Des larmes coulaient sous ses yeux. L'albanais se mit à hurler, aboyant le nom de quelqu'un. Un acouphène vrillait les oreilles de la jeune femme, tendit que le monde semblait perdre ses couleurs. Au delà du noir et blanc, seul le rouge du sang ressortait. La peau très pâle, Louisa avait le goût de la bille dans la bouche. Sentant qu'elle était en train de s’étouffer, le jeune femme réussit à reprendre quelques précieuses goulées d'air. Elle était en état de choc.

La perception du monde de Louisa ne se résumait plus qu'à ce flingue et au corps sans vie qui se trouvait devant elle.
Louisa Lorca
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05.03.20 20:53
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Zac Sanders

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Obscurités
Louisa Lorca, Les Albanais, La Strike Team

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[Dé 7 = blessure grave. Balle dans les côtes gauches. ]

Le cri de Rylee sauva la peau de Junior.
La balle ne touche pas l’organe vital du coeur, mais ses côtes gauche. Zac a l’adrénaline qui crève le plafond. Il ne réfléchit pas plus que ce qu’il sait d’instinct. Il plaque sa main gauche, sur la blessure et se replie sur le côté. La douleur est mordante c’est vrai. Il connaît cette souffrance physique. Les Strike ont tous été blessés pendant leur temps de service. Il s’accroupit contre le mur. Lentement il lève sa main gantée pour recharger son arme.
Le sang presque noir coule de l’habit.

* PHASE 2. Maintenant ! * L’ordre est lancé dans le circuit des oreillettes des policiers.
L’ordre pour passer les lunettes infrarouge aux agents. Sanders lève la main fébrile sur son front pour baisser les siennes. Il prend une profonde inspiration. Voilà, il est de nouveau debout.

1. 2.3. Trois secondes et le réseau électrique du hangar est coupé. L’espace se retrouve plongé dans la plus totale des OBSCURITÉ. Les tirs des Albanais s’arrêtent tout de suite. Ils sont devenus aveugles dans leur propre maison. Ils commencent à parler fort, entre eux, pendant qu’ils essayent de trouver une solution.
Junior observe les signatures thermiques. Heureusement leurs hommes sont identifiables par leurs postures et leurs emplacements dans l’espace.

Au profit de ces quelques secondes de trouble, l’équipe d’intervention se rapproche des cibles. Une première balle arrive dans le front du Préparateur avant qu’il puisse réagir. Mort instantanée du géant qui tombe en arrière, arrosant en même temps JB au passage.
Le Boxeur attrape Louisa par les cheveux pour la menacer de façon plus concrète. Mais, c’est trop tard maintenant, les hommes en noirs envahissent l’espace. L’un d’eux le vise.

* Chopez moi Zapavalić. * Dit le coordonnateur aux hommes présents en renfort de la Strike.

Sanders est ralenti par la blessure. Il ne se bat pas contre son corps. Il reste sur la ligne arrière. Il aide à éliminer les quelques hommes de main albanais qui tentent vainement de s’échapper.

* Oubliez pas le toit. * Déjà la deuxième équipe a intercepté le vanne dans lequel se trouvent les filles. Le conducteur est mis en respect. Il va finir derrière les barreaux pour longtemps.
Les jeunes femmes sont descendues du véhicules pour être écartées de la zone de danger. Elles sont au nombre de 6. Toutes sont mineurs. Toutes sont des filles venues des foyers de la ville. Parmi elle, il y a une demoiselle qui se prénomme Emily. La peur, la faim, le froid, l’ont métamorphosée.






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Zac Sanders
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05.03.20 23:42
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Marlon Lynch
Même s'ils se chahutaient et amputée d'un de ses membres, la Strike fonctionnait parfaitement. Ils éliminaient les obstacles un à un et avançaient efficacement. Mais comme toute mécanique bien huilée, il y avait parfois des ratages, et le premier ne fut pas des moindres. Sur l'indication de Rylee, Zac se décala, mais pas assez et se prit une bastos. Marlon grimaça, avant de se baisser sur la nouvelle indication de sa collègue. Le Tank sentit la balle siffler à son oreille. Ce n'était pas passé loin!

La team partit donc sur la droite pour chercher un passage plus sécurisé, car ça devenait franchement dangereux dans le coin. C'est là qu'en face quelqu'un demanda de cesser le feu en menaçant de tuer leurs otages. Marlon reconnut de suite la voix, pour l'avoir entendue plus d'une fois dans un autre temps. Le pseudo silence qui s'était fait autour d'eux fut briser par un tir du tortionnaire. Marlon revit tomber un de ses frères d'armes quand la flic s'écroula au sol, réveillant un vieux cauchemar que l'anglais faisait encore périodiquement. D'ailleurs son nom fusa juste derrière signe que le gars n'était pas plus dupe que lui.

Tout le monde se retrouva alors dans le noir, mais du côté de la justice, ils avaient un avantage, ils y voyaient. Après avoir abaissé ses lunettes à infra-rouge, Marlon mit le turbo et se trouva un endroit pour se poser et tenter d'ajuster un tir sur cette vermine de Zapavalić qui cherchait à faire feu une nouvelle fois. Les fusils à pompe ne sont peut-être pas très précis, mais relativement efficaces quand on cherche à tirer dans le tas.

Le flic hésitait à se manifester, car il perdrait un avantage, celui de sa position. Pourtant il prit le risque pour détourner son vieil ennemi des otages. Car il était certain à présent à l'esprit de tous que les Albanais n'avaient aucune chance de s'en sortir.
- Dragan! Viens donc me chercher sale fils de pute kosovarde!* Injure suprême s'il en était qu'il avait eu tout le loisir d'apprendre dans ses trop nombreuses années de conflit dans les Balkans. Le Tank s'applatit derrière son abri de fortune car il était certain qu'un nouveau coup allait fuser.

Le tout était de gagner juste un peu de temps pour que quelqu'un arrive à ajuster son tir sur ce criminel patenté!

*en albanais de texte
Marlon Lynch
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07.03.20 23:42
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Invité
Obscurité
Strike Team
Je ne suis pas surprise de voir la jeune bleue tomber à terre. Ce sont les mêmes qu'on a attaqué il y a peu, ce sont aussi les même qui font subir des atrocités aux femmes, il ne faut pas s'attendre à de la diplomatie avec eux et ils savent bien ce qui est en train de leur tomber dessus. Chopper un flic c'est se mettre toutes les unités sur le dos. Après il avait peut être pensé qu'on agirait comme on l'avait fait la première fois : comme des cowboys mais, fort de la première expérience, c'était totalement débile de faire cela. On en avait bien assez chié et en plus difficile de passer sous le radar avec la disparition d'un flic, aimé ou pas.

Mais leur chef fait de la merde sous la pression. Quand on demande à pouvoir parler à un agent on évite d’en buter un autre dans la même minute. Déjà que Clayton voulait se le faire mais là c’est juste servi sur un plateau d’argent. La lumière se coupe, les lunettes se placent sur nos nez, l’air se sature de poudres et de sang alors qu’on est bien trop nombreux pour qu’ils puissent agir avant nous. Il y aura des tirs certainement, possiblement des blessures et des tués par des balles perdues mais ils n’ont aucune chance de s’en sortir et alors que Marlon distrait l’attention du chef pendant que les autres sont butés, je passe derrière lui pour lui coller un grand coup de cross de révolver histoire de le coller dans les vapes. Y’a un boss qui est plutôt partant pour se le faire ce n’est pas le peine de lui coller une balle, on se retrouverait très vite à devoir des comptes.

« C’est bon ! » Je te crie Marl’ histoire que tu puisses nous rejoindre et toutes les autres équipes font rapidement le même compte rendu que moi. Quelques tirs un peu plus loin mais ici tout est sous contrôle. On nous communique qu'on a trouvé des femmes et qu'elles sont en sécurité. Je m’approche rapidement de toi, JB, pour voir ton état et te libérer de tes entraves, te soutenant si tu as besoin. « T’as vraiment une sale gueule » Façon de dire que je suis contente de te revoir quoi. Tu me connais.
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09.03.20 13:46
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Jean-Baptiste Lemoine
Obscurité
La réponse finalement ne tarda pas. Le noir, complet, pour éviter de se faire repérer. Bien entendu, les tirs se firent entendre de partout, voilà que c'était bien le bordel. Et lui qui ne pouvait rien faire pour aider. Il sentait du sang couler sur son visage, mais ce n'était clairement pas le sien. Par contre, il sentit très nettement la balle qui vint se planter dans son bras, lui tirant un grognement de douleur. C'était jamais agréable de se prendre une balle, mais mieux valait une balle dans le bras, qu'une balle dans la tête.

La délivrance n'était sans doute plus très loin, mais il fallait que les copains le fassent bien. Vu comment c'était parti, ce serait encore un nouveau carnage pour les Albanais. Autant dire qu'ils risquaient, encore, d'avoir la haine. Mais ce n'était pas à cela que pensait encore JB, il était plutôt concentré sur sa survie et les différentes douleurs qui le tenaient suffisamment éveillé pour le moment.

Le calme retombait enfin, la lumière même revenait, il soufflait, grognant toujours, alors qu'une voix amie se faisait entendre. Il eut un petit sourire.

- Ha... j'ai failli attendre.... fit-il avec humour avant de prendre appui sur Byrd, pour se relever, difficilement. Il avait tellement froid au pied qu'il n'était pas certains de pouvoir faire un pas normal.

Son regard se porta alors sur Louisa.

- Et la petite? Inquiet qu'elle aussi, ait prit une balle perdue, au pire endroit possible.

Les flics n'avaient clairement pas fait dans la dentelle. Les corps étaient étalés par terre, on aurait pu croire à un vrai terrain en guerre, est-ce que cet enlèvement valait vraiment tout ce qu'il venait de se passer? Il grogna encore en posant un pied à terre, alors qu'il se redressait péniblement.

Une vraie tête de mule, qui pourrait bien attendre que les ambulanciers débarquent afin de prendre soin de lui, mais il préférait qu'on mette d'abord l'accent sur Louisa, elle avait sans doute plus besoin d'aide que lui. En tous les cas, de savoir comment gérer ce genre de situation. Il faisait avec les douleurs, jusqu'à se sentir en sécurité, en tous les cas.

*En français dans le texte
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Jean-Baptiste Lemoine
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15.03.20 18:46
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Louisa Lorca
Louisa avait un flingue posé sur la tempe. Son monde ne résumait plus qu'à cette arme et au corps de la flic. Elle était morte et pourtant le sang continuait de s'étaler, créant une mare de sang là où aurait dû se trouver un humain. L'adolescente était très pale, les lèvres bleues, le corps tremblant de froid mais surtout de terreur. La mort était là, présente, à quelques cm, à quelques instants. Louisa ne voulait pas mourir. Ce n'était pas possible que tout se termine maintenant.

Brutalement, une obscurité totale se fit dans la pièce. Quelqu'un lui attrapa les cheveux. Louisa poussa un cris de terreur se confondants dans les aigües et se perdant dans les bruits assourdissants de la fusillade. Les mains qui lui avait attrapé les cheveux finirent par la lâcher. Les coups de feu ne s'arrêtaient pas. Louisa eut l'impression qu'un éclair venait de la traverser. La douleur se figeant dans sa jambe droite.

Louisa avait la tête penchée en avant, le visage caché par ses cheveux. Son corps était complétement lâche, ayant perdu toute tonicité musculaire. Son maquillage avait coulée, suivant les sillons de larmes. L'adolescente continuait de trembler, mais elle était devenu silencieuse. Sa peau était froide et ses pupilles entièrement dilatés par la peur. Ses pieds étaient devenus blancs, partant presque sur des tons jaunes et les extrémités étaient devenus violacés. Louisa serait incapable de marcher. Lorsque le sang allait revenir dans la totalité des veinules, la douleur allait être terrible. Du sang coulait de sa nuque et une tache rouge grossissait au niveau de sa jambe droite. Elle s'était aussi légèrement blessée au niveau des poignets, à force de tirer sur les liens.

Louisa était en état de choc, incapable d'agir, de parler ou même de pleurer.
Louisa Lorca
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16.03.20 21:36
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Zac Sanders

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Junior est affaibli.
Peu à peu, les sons parviennent de loin à l’oreille. La tension artérielle baisse lentement mais sûrement. C’est un signe sans équivoque. Il soulève sa main qui comprime la blessure. La zone est déchirée, enflammée, le sang coule. Il se peut qu’il soit entrain de faire une hémoragie interne. Ce ne serait pas une première.

Le hangar se retrouve dans la lumière. Le flash lumineux aveugle Zac. Il vire ses lunettes d’un geste tremblant. Sa rapidité de mouvement lui provoque un début de vertige. Il a du mal à entendre ce qui se dit autour de lui. Il cherche Jean-Baptiste. L’arme toujours en main, il avance, un pas après l’autre, automate.

-“ JB !! “ Gueule le chien fou, en jouant des épaules, pour avancer au milieu du chaos.
Il évite les cadavres qui jonchent le sol dégoûtant. Il voit des visages familiers dans le nombre. La blancheur un peu cadavérique de son visage s'intensifie. Combien de braves types sont morts ce matin ?

-“ JB !! “ Juste derrière la taule, il voit le Tank qui arrive à hauteur de Rylee. Il les voient qui parlent à Lemoine en l’aidant à marcher. Une vague de soulagement le traverse de la tête aux pieds. Le padre est en un seul morceau. La famille est de nouveau au complet. Très bien.
Le reste peut donc attendre.

Sanders attrape donc le bras, du premier confrère, qui passe à sa hauteur. Il presse l’uniforme. La force est en train de l’abandonner. Les jambes commencent à se dérober sous son propre poids. Il tremble d'épuisement nerveux. Ça c’est parce qu’il n’a toujours pas pris sa santé en main sérieusement. La blessure va faire plus de dégât qu'elle n'aurait dûe. Quelque part, au fond de lui, il le sait. Mais, c'est un peu tard pour les remords.
Il a une pensée pour Matthew et une autre pour Megara. Enfin, il en a une pour Izaline. S'il ne meurt pas. Ils vont le tuer c'est certain.

-“Il me faut un médic... “ A peine a-t-il communiqué l’info que son cerveau décroche. Zac s’évanouit. Il est rattrapé de justesse par l’homme qu’il a alpagué. Un deuxième arrive en renfort pour soutenir le Strike. Un blessé en plus dans les stat.

Au même moment, j’ai le cœur qui s’arrête. Je lâche mon couvert. Je cours prendre mon téléphone. ZAC!






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Zac Sanders
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