[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Enfin je pouvais revoir du monde. Retrouvez un semblant de vie sociale. Je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié d’être entouré par ma famille ces quatre dernières semaines. Ils m’ont soutenu et motivé alors que j’étais au plus bas physiquement et psychologiquement. J’ai toujours essayé de garder un sourire de façade devant eux, mais le masque se brisait en général la nuit lorsque les images de ces 24h de course pour la vie revenaient me hanter sous forme de cauchemars. Heureusement qu’un psychologue, qui avait la confiance de ma famille, était venu à mon chevet et que j’avais pu parler pour m’aider à évacuer ces souvenirs négatifs. Je n’étais pas au bout de mes peines et de mon rétablissement, que ce soit psychologique ou physique, mais au moins je me sentais mieux.
Cet enlèvement et cette chasse à l’homme a laquelle on m’avait obligé à participer aura au moins eu un point positif, celui de me faire revenir auprès des miens et de mettre les choses aux claires entre nous. J’avais compris leurs attentes, leurs buts et leurs obligations. Nous avions pu parler ouvertement avec Père, pour une fois sans faux-semblants ou non dits. Une vérité pure qui n’a toujours été facile à entendre je dois l’avouer. Puis j’avais pu en parler plus librement avec Tim. Avoir un confident est un luxe que je ne voudrais perdre pour rien au monde. Je m’étais engagé dans un chemin qui ne serait pas toujours facile mais qui méritait qu’on le suive. À moi maintenant de faire mes preuves et de leur montrer qu’ils avaient raison de me faire confiance.
Depuis samedi j’avais la permission des médecins de quitter la clinique de rééducation pour revoir mes amis. Mais les conditions de mon père étaient non négociables, Je ne pouvais pas retourner à Londres, ni les recevoir au Manoir, à moins qu’ils ne fassent déjà partie de notre cercle intime. Enfin, je devais être rentré tous les soirs pour mes soins. J’avais, dés samedi, profitais de cette autorisation pour passer la journée avec Isabel. Cela faisait si longtemps que nous ne nous étions pas vus. Nous avions tellement à rattraper, tellement besoin de nous retrouver, de nous rassurer. Ces quatre semaines de séparation avaient très dures à vivre pour l’un comme pour l’autre. Mais les choses ne s'étaient pas passées comme prevu, elle avait préféré partir, m’abondonner, je pouvais comprendre son choix mais il me faisait mal. Dimanche j’étais resté avec la famille. Notre repas dominical avait eu lieu au manoir au lieu du Country club . Tout le monde faisait de son mieux pour que je me déplace le moins possible. J'avais tenter de cacher ma douleur, personne n'avais essayer de me questionner et c'était bien je n'aurais pas été en état de répondre. Aujourd’hui j’avais rejoint notre cottage de Chesterfield et j’y attendais impatiemment Magda. Depuis toutes ses années elle avait toujours le chic pour me faire rire ou sourire. J’aimais sa franchise et sa fraîcheur. Elle avait le don d’ensoleillé ma journée. Notre liaison n’avait pas duré longtemps, mais nous n’avions jamais rompu le contact. Installée sur un canapé du salon, mon attelle bien arrimée à ma jambe droite et mes béquilles à portée de main, je bouquine en l’attendant
FACE IDENTITY : Bridget Satterlee IDENTITE : Magdalena Reis GROUPE : London People RANG : Jeunesse AGE : 25 ans, 27 mars 2000 ETAT CIVIL : Célibatante PROFESSION : Serveuse qui veut être cuisinière ETAT DE SANTE : Joueuse et bonne LIENS : Sully et Angus ses patrons / Nathan son BFF / Rosario sa BFF / Swan ex et fidèle ami
Aujourd’hui tu te fais toute jolie. Tu vas revoir ton petit Swanny pour la première fois depuis un long moment. Ça t’a fait tellement mal au cœur de savoir qu’il avait été dans la même situation que Rosario et Nathan. Tu t’en étais beaucoup fait pour lui. Tu avais beaucoup prié aussi pour tes trois amis chers à ton cœur. Alors quand Swan t’avait dit qu’il allait bien. Que ce n’était pas si grave que cela. Qu’il pourrait recevoir du monde bientôt, tu avais été aux Anges. Le rendez-vous avait été fixé aujourd’hui et tu avais négocié avec ton grand frère pour qu’il t’amène. Tu allais le payer en une semaine de repas pour son travail. Mais ça valait bien le coup. Et puis ce n’est pas comme si tu n’adorais pas cela et que tu avais passé toute la matinée d’hier à pâtisser pour ton ami.
Il te reste une heure pour te préparer avec le départ. En même temps avec cinq grands frères qui squattaient la salle de bain, c’était très très juste. Tu te mets à fouiller ton armoire parce que tu as conscience que tu ne peux pas t’habiller « comme d’habitude ». Ce n’est pas possible d’aller dans les propriétés familiales de Swan sans avoir un minimum de classe. Mais pas trop non plus. Tu n’es pas Crésus et tu n’as pas les moyens de t’acheter des vêtements de luxe en dehors de la friperie et encore, c’était démodé pour le monde qui gravite autour de ton ami. Du coup, tu sais que tu vas devoir piocher dans ton armoire et celle de ta mère. Tu finis par dénicher un pantalon de cuir dans les tons bordeaux avec le zip de la fermeture sur le côté. L est assez classe au final si tu m’agrémentes d’une pièce un peu plus sérieuse que tu n’as pas dans ton dressing mais ta mère Oui ! Tu vas lui prendre un joli petit chemisier en soie de couleur blanche avec des petites cerises noires imprimées dessus. Devant la glace tu vois bien qu’il est trop grand. Qu’à cela ne tienne, un pan dans le pantalon, l’autre sorti sur le côté pour couvrir le zip et ça devenait déjà un peu plus tendance. Tu ajoutes des petites boucles d’oreilles en forme de cerise, une touche de rouge à lèvres bordeaux et un petit bracelet fin. Tu chausses des boots à talon haut et tu te regardes dans la glace.
Olala… Tu ne t’es jamais vu aussi sérieuse… Du coup, tu détaches tes cheveux en les faisant gonfler un peu et tu passes ton blazer de cuir noir pour caser un peu ce côté trop sérieux. Tu n’es pas noble et tu n’as pas la prétention de passer pour. Tu descends à la cuisine pour vérifier qu’il ne manque rien dans ton panier… « MARCO !!! Je t’avais dit que les sablés à la cannelle c’était pas pour toi ! Tu avais ceux à la vanille… T’es chiant ! RICOOOO ! Por favor, dépêche toi, tu vas me faire arriver en retard ! Mama j’y vais. Merci pour le chemisier. » Tu fulmines un peu mais ça reste plein d’amour. C’est pas tous les jours facile d’être la petite dernière avec cinq grands frères dans une famille méditerranéenne… Mais vous finissez enfin par prendre la route et avec Rico c’est toujours une aventure. Ce qui est drôle c’est que le dernier de tes frères à presque trente-trois ans et il vit toujours avec vous. Ta mère refuse de le lâcher tant qu’il n’aura pas une gentille femme pour veiller sur lui. Mais tu doutes qu’il se stabilise un jour. C’est ton grand frère casse-cou et aventurier. Tu lui ressembles un peu trop parfois.
Le trajet n’est finalement pas si long avec ton frère qui a prévu d’aller voir des potes le temps que tu passeras avec Swan. Tu as rendez-vous avec lui à 17heures précises pour le retour ou il te menace de partir sans toi parce que les friqués le mettent mal à l’aise. Il ne les aime pas. Mais tu sais qu’il a beau dire ça, si t’es pas là à 17h05, il force la grille pour venir te chercher. On ne touche pas à sa petite sœur. Et tu trouves ça adorable même si parfois tes frères t’étouffent. Tu te présentes et finis par être introduite auprès de ton ami à qui tu vas sauter au cou, en faisant quand même attention pour ne pas le blesser plus qu’il ne l’est déjà. Un baiser sonore retentit dans la pièce. « Swannnnyyy !!! Tu m’as tellement manquéééé. Je me suis tellement inquiétée. » T’as les larmes aux yeux et le sourire en même temps. Tu lui as sauté au cou sans réelle retenue… Elle est très loin l’image de jeune fille sérieuse… Mais que voulez-vous… Chasser le naturel, il revient au galop.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] J’ai beau essayer de me concentrer sur ce que je suis en train de lire mais je m’aperçois que je n’y arrive pas. Cela fait bien au moins 3 fois que je lis ce passage sans en retenir un mot. Mes pensées fuient et me ramènent deux jours en arrière dans cette même pièce. Ce jour de retrouvailles avec Isabel que j’avais attendue avec autant d’impatience et qui c’était terminée dans la douleur au lieu de la joie que j’espérais. Elle était partie, elle m’avait abandonné, elle avait choisi sa liberté. Je le comprends parfaitement, ma vie n’est pas facile à vivre, elle est remplie de concession et de sacrifice, mais même si je sais qu’elle a fait le meilleur choix pour elle, j’ai mal. Je ne pensais pas qu’elle partirait comme cela, sans discuter sans argumenter. Elle avait juré qu’elle ne m’abandonnerait jamais et pourtant c’est ce qu’elle venait de faire.
J’étais partie du cottage peu de temps après sa sortie définitive de ma vie. J’avais juste pris le temps de me recomposer un visage neutre. Cacher mes sentiments et afficher un air neutre faisait partie de ce qu’on m’avait appris dès mon plus jeune âge, il suffisait que je reprenne mon costume de Mister Vicomte tout simplement. Je n’avais rien ne dis à personne, je n’en avais pas parlé à ma famille. Ils ont dû sentir que quelque chose n’allait pas, mais ils ont eu le bon ton de ne pas me questionner. Il fallait jute que le temps fasse son effet et que la peine qui me rongeait en ce moment s’estompe petit à petit. J’avais longuement hésité à annuler mon rendez-vous d’aujourd’hui vous avec Magda, mais ma elle était un vrai rayon de soleil dans ma vie et comme moi elle semblait attendre ce moment avec impatience alors je n’ai rien annulé.
Je pose le livre sur la table basse, il ne sers à rien que je m’escrime à essayer de me concentrer. Je viens d’entendre le son d’un moteur de voiture s’engager dans l’allée du cottage et rien que de savoir que tu arrives me redonne le sourire. Dés que je te vois, je réalise que j’ai bien fait de ne pas annuler notre rencontre. Tu me sautes dans les bras toute pétillante. Exactement de la même manière qu’Isabel hier. J’essaye d’effacer immédiatement cette pensée de ma mémoire. « Hey ! Choupi. Ca me fait tellement plaisir de te voir » Je te claque une bise sur la joue et j’essaye de ne pas laisser transparaitre ma tristesse dans ma voix avant de rajouter d’un air coquin. « Hey, t’es vachement sexy en cuir. Et quelle classe ! . » Je te garde dans mes bras pour un câlin comme tu as l’habitude de m’en faire si souvent.
FACE IDENTITY : Bridget Satterlee IDENTITE : Magdalena Reis GROUPE : London People RANG : Jeunesse AGE : 25 ans, 27 mars 2000 ETAT CIVIL : Célibatante PROFESSION : Serveuse qui veut être cuisinière ETAT DE SANTE : Joueuse et bonne LIENS : Sully et Angus ses patrons / Nathan son BFF / Rosario sa BFF / Swan ex et fidèle ami
Tu avais attendu de le voir pendant deux bonnes grosses et longues semaines. C'était littéralement à bout de patience que tu lui avais sauté dans les bras. Elle est belle la retenue à la bourgeoise... Mais bon chasser le nature, il revient au galop. Et tu étais une fille bien trop entière pour ne pas laisser la joie de le revoir en un seul morceau exploser.
"Swannyyy... Je suis tellement contente de te voir! Tu m'as tellement manqué. J'ai eu tellement peur!!! J'ai cru que mon coeur c'était arrêté de battre quand j'ai su que mes amis et Toi vous aviez subi ce truc et que vous étiez à l'hôpital. J'étais tellement sur les nerfs de pas pouvoir venir te voir... Mais tu n'es pas passé par le circuit conventionnel petit coquin. " Bien loin de toi de lui faire le moindre reproche. Tu étais juste morte d'inquiétude quand tu as appris pour Rosario et Nathan et encore plus quand le nom de Swan était apparu. Mais le fait d'avoir eu un sms t'avait déjà bien rassuré et le voir devant toi maintenant était un soulagement parce que tu pouvais le prendre dans tes bras.
Oh tu n'est pas aveugle... Tu vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas... Il a eu l'air tellement... Triste l'espace de quelques instants. Mais tu décides pour le moment de ne pas faire attention à cela. Tu es là pour apporter ta bonne humeur. Tu lui souris et le lâches pour tourner sur toi même après un énorme câlin. "Tu as vu... J'ai fait un effort pour toi. Tu aimes le cuir? C'est mon ami Anatoli qui le travaille. Je pourrais peut être t'emmener voir la boutique. Il fait des créations et je défile de temps en temps pour lui quand il a besoin de faire voir ses collections à des clients. Tu pourrais me voir marcher comme une star! " Tu éclates de rire parce que tu es loin d'en être une.
Tu retournes dans ses bras et te poses sur le canapé à côté de lui en lui faisant un énorme baiser sonore. " J'ai apporté des cookies maison. Je ne savais pas s'il y aurait quelqu'un d'autre j'ai oublié de te demander. Kyle est là? Je lui ai fait des biscuits aussi. Le pauvre, il doit être tout pas bien lui aussi. Sinon Swanny tu veux qu'on se fasse une séance cinéma? Qu'on casse quelques voitures à coup de carapace de tortue ou on peut faire d'autres jeux ou je sais moi. Qu'est ce qui effacerait cet air triste au fond de tes yeux Corazon? " Tu n'aimes pas voir les personnes que tu aimes tristes comme les pierres. Ca te fait mal au coeur.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Tu as sauté dans mes bras comme tu as l’habitude de le faire dés que nous sommes seuls ou en petit comité. Je te garde serré dans mes bras. J’ai besoin de ce contact et de ce câlin que seul toi ou Tim êtes capable de me donner sans rien attendre en retour. Je comprends la peur et l’anxiété que tu as dû ressentir après notre enlèvement. Toi, tu n’as pas eu peur pour une seule personne, mais pour trois. Ton taux de stress a dû crever les plafonds. Ton ton est taquin comme à l’accoutumé mais je sais qu’au fond de toi tu as dû souffrir comme tout ceux qui n’ont pas eu de mes nouvelles de suite. Je réponds sur le même ton que toi, que j’ai énormément besoin de cette légèreté pour ne pas sombrer. « Tu me connais Choupy, je ne peux pas faire les choses comme tout le monde. C’est ca d’être une star. » Je mets, en rigolant, mes bras en protection devant moi comme si tu allais me frapper. « Pas taper, je suis un homme faible et blessé. » Je resserre mes bras autour de ta taille pour te garder prés de moi un peu plus longtemps, mon ton est redevenu plus sérieux. « J’aurais aimé te donner plus de nouvelles, mais je ne pouvais malheureusement pas. Maintenant, je suis là. Autant profiter de cette journée qu’on nous offre » Je pose un baiser au coin de tes lèvres, une larme coule le long de ma joue sans que je puisse l’en empêcher « Merci d’être là. » Je ne veux pas que ma tristesse vienne gâcher ce moment, je passe directement à un autre sujet « Dis moi, comment vas Nathan ? Et sa copine ? Rosie c’est ca ? Tu as des nouvelles ? Ils s’en sortent bien ? » Je n’ai pas pu avoir plus de renseignements que ca depuis mon réveil, et même si j’ai eu un SMS de Nathan, je suis assez inquiet.
J’admire ta tenue et j’avoue qu’elle me plaît énormément, elle te va comme une seconde peau. Tu es vraiment faite pour porter du cuir « Tu mets vraiment en valeur ses créations. Je ne serais pas contre un défilé privé. Tu sais que je suis accroc au cuir. Surtout lorsqu’il est aussi bien porté que tu le fais.» Je me sens un peu abandonné quand tu quittes mes bras et que tu t’assois sur le canapé à côté de moi. « Des cookies ! » Mes yeux brillent devant les pépites de chocolat et je te vole un gâteau avant de le manger en deux fois et de replonger ma main dans la boite. « Kyle n’est pas à la fête, tu as raison. Il me couve comme une mère poule couve ses œufs maintenant. Mais je ne vais pas m’en plaindre, j’ai eu très peur, je dois te l’avouer. » Je réfléchis à tout ce qui pourrait me plaire « J’ai envie de tout en fait. On a la journée devant nous. À moins que tu ne sois attendu que part ? » Tu as peut être d’autre obligations. Sinon on peut se faire un film et enchaîné sur un jeu vidéo. J’ai besoin de taper sur des choses. » Je passe ma main sur ma joue en douceur. « Pour la tristesse, tu ne peux pas faire grand-chose. À moins de faire revenir Isabel. » Et encore, même ca ne réglerais sûrement pas le problème. J’ai fait un choix et je dois l’assumer.
FACE IDENTITY : Bridget Satterlee IDENTITE : Magdalena Reis GROUPE : London People RANG : Jeunesse AGE : 25 ans, 27 mars 2000 ETAT CIVIL : Célibatante PROFESSION : Serveuse qui veut être cuisinière ETAT DE SANTE : Joueuse et bonne LIENS : Sully et Angus ses patrons / Nathan son BFF / Rosario sa BFF / Swan ex et fidèle ami
Tu souris, tu lâches même un petit rire quand je te vois te protéger de tes bras. " Oui, toi tu es une star c'est certain Mr Le Roi. " Tu ne vas pas le frapper non. Bien au contraire, tu pars le chatouiller comme il a levé les bras et laissé ses flancs à découvert. Tu termines dans ses bras et tu poses ta tête sur son épaule, sentant bien qu'il en a besoin. Tu redresses la tête en entendant le ton de sa voix. Ton geste te vaut un bisou au coin des lèvres. Ça te fait sourire jusqu'à ce que tu vois cette larme roulée sur sa joue. Tu viens poser ta main sur celle-ci et chasses la larme du pouce. " Le plus important mon Swanny c'est que tu sois là. Bien vivant. En un seul morceau. Et je serais là quand tu en auras besoin. " Non tu ne l'as pas laissé passer si vite à autre chose. Parce que c'est important de savoir ce qu'il ressent et qu'il l'exprime. Mais tu sais qu'il ne le fera que si tu l'y pousses parce qu'il a trop l'habitude de se retrancher derrière le masque de la noblesse qu'il enfile si facilement maintenant. " Ils vont mieux. Je passe leur faire la cuisine avant ou après le travail. Les deux ne sont pas des masses débrouillards avec les poêles. Mais je donne des cours de pâtisseries à Rosie. Elle est pas mauvaise quand elle se concentre. Nathan a du mal à rester enfermé mais il a eu moins de chance que toi. On a failli le perdre et je veux pas qu'il revienne trop vite au travail au risque de nuire à sa santé et mes patrons sont dans la même optique du coup je travaille beaucoup pour compenser son absence! Maintenant je sais faire une caisse ! " Un réel progrès vu que tu n'avais jamais fait que de la salle.
C'est à ton tour de baisser les yeux et de détourner le regard. Les avalanches de compliments ne sont pas ta spécialité mais tu sais que Swan n'est pas du genre à faire ou à dire des choses qu'il ne pense pas. Mais tu préfères quand même le soulager de ton poids et puis il a déjà quelqu'un, tu ne voudrais pas qu'il y ait confusion par ta faute. Alors tu prends l'excuse des cookies pour t'asseoir à côté de lui. Tu souris parce qu'il est toujours enthousiaste pour en manger. " Alors non je ne suis attendue nulle part avant demain midi où je prends mon service. Donc oui on a l'après midi et le début de la soirée si tu en as envie. On a qu'à mettre un film de Jacky Chan si tu as envie de taper sur quelque chose. " Tu lui souris avant de comprendre pourquoi Swan était si triste. Ainsi elle était partie... Tu poses ta main sur la sienne et appuies ta tête sur sa paume. Tu lui souris avec tendresse. " Je suis désolée que cela n'est pas marché entre vous. Je la pensais un peu plus courageuse que cela. " Tu tires peut être une conclusion hâtive mais il a dit faire revenir, ça veut bien dire que c'était elle qui était partie non? Ou alors tu extrapoles un peu trop mais tu sais qu'il hésitera pas à te remettre sur la bonne voix si tu faisais fausse route. " Tu sais. Tu as le droit de pleurer si tu en ressens le besoin, ce n'est pas moi qui t'en empêcherais. Ici tu n'es pas le Mr le Vicomte, ici tu es mon ami Swan, celui qui m'a appris la valse, celui qui m'a fait caresser un cheval pour la première fois. Mon premier vrai cavalier pour les fêtes de l'université et j'en passe... Alors ici sois toi même. Et si tu as envie d'un gros câlin je t'en donnerai. Je peux même te servir d'oreiller pendant le film histoire de te le donner en même temps. Dis moi et je ferais. "
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je me trémousse en riant sous tes chatouilles sans pouvoir m’échapper, mais je suis heureux d’être avec toi aujourd’hui, même si une larme coule le long de ma joue pendant que nous jouons. Tu as toujours été un vrai rayon de soleil et de bonne humeur. Mon titre n'as jamais été un frein pour toi, tu as toujours vu le copain derrière. Quelle chance de t’avoir à mes côtés. « Tricheuse, tu connais ma faiblesse, je ne résiste pas aux chatouilles. » Ta main vient essuyer la larme qui coule le long de ma joue et je pose ma main dessus, pour te remercier. « Tu as raison, c’est l’essentiel et la vie est trop courte pour ne pas en profiter. Je vais la voir différemment maintenant. »
Tu as bien réussi à évolué dans ton boulot et je suis content pour toi que tu t’y plaises autant. « Ca me fait du bien de savoir qu’ils sont en bonne santé. Tu es notre ange gardien attitré. Au moins ils ne sont pas seuls. » Savoir que Nathan trépigne me fait rire « Ca ne m’étonne pas de la part de Nathan, il ne tient pas en place en temps normal, alors bloqué dans le fond de son lit ne doit pas être facile. Le pauvre, je suis moins actif que lui et j’en ai déjà marre de ne pas pouvoir reprendre mes activités. Tu leur feras une bise de ma part. » Comme je ne suis pas prêt de retourner à Londres, je préfère te passer mes demandes, je sais que tu te feras un plaisir de les réaliser. « Et au milieu de cet emploi du surchargé a aider tous ces blessés, tu trouves le temps de faire des heures supplémentaires a ton boulot et à faire des défilés de mode sexy en cuir. Tu as le retourneur de temps d’Hermione Granger avec toi ? » J’ai beaucoup aimé ce livre sur les sorciers que j’avais découvert dans ma jeunesse.
Je replonge régulièrement ma main dans les cookies que tu as amenés, j’adore ça, je m’en rendrais malade. « Elle n’a pas accepté les conditions, il faut dire que ma vie n’est pas la plus facile à vivre. On perd pas mal de liberté en s’unissant à moi. Je peux comprendre son choix, même si j’ai du mal à l’accepter. La rupture date d’hier, je ne l’ai pas encore assimilé » Je reprends une grande respiration pour retirer ce nœud qui s’est installé dans mon ventre. « Allez assez pleurnicher, j’ai de la chance de t’avoir avec moi, alors profitons-en. Je vote pour un Jackie Chan. Rush Hours, ça te tente ? Y'a plein de bagarres et on pourrais huer les méchants »
Je tends ma main pour te rapprocher de moi et t’asseoir à mes côtés. « Merci Choupy, si les larmes me viennent, je ne les retiendrais pas promis. Je vais te dire ce que j’aimerais, qu’on rigole comme des dingues devant le film et que je te serve d’oreiller si tu en as envie ou inversement. On ne prévoit rien, on vit le truc sans réfléchir. Je vais nous faire amener à manger et à boire. » J’envoie un SMS à Kyle pour nous fasse amener de quoi tenir devant le film et je remets le téléphone dans ma poche avant de passer mon bras autour de tes épaules. « Je te laisse choisir et mettre le film, le temps que le repas arrive. Après free-style »
FACE IDENTITY : Bridget Satterlee IDENTITE : Magdalena Reis GROUPE : London People RANG : Jeunesse AGE : 25 ans, 27 mars 2000 ETAT CIVIL : Célibatante PROFESSION : Serveuse qui veut être cuisinière ETAT DE SANTE : Joueuse et bonne LIENS : Sully et Angus ses patrons / Nathan son BFF / Rosario sa BFF / Swan ex et fidèle ami
Tu lui tires la langue. Bien sûr que tu triches. C'est le meilleur moyen de le faire rire. Tu lui souris. Tu ne sais pas ce que lui réserve l'avenir. Mais perdre Isabelle n'est qu'un moindre mal dans sa vie future. Tu te penches et tu lui fais un rapide baiser comme vous en avez l'habitude. " Je ne suis pas un ange gardien. Loin de là. Mais je vous aime beaucoup. Ils ne sont pas seuls et toi non plus. Je suis là si tu as besoin de compagnie d'accord? Ne reste pas seul si je peux être là pour toi. " C'est important pour toi qu'il le sache.
Tu hoches la tête. Nathan ne tient jamais en place. C'est fou comme travailler, bouger, le démange. " Oui je leur ferais. Mais toi... Attends d'être complètement remis sur pied avant de te lancer dans tes grandes aventures de noble... Non parce que je te connais Monsieur Swanny. Dès que tu vas te sentir un petit peu mieux, tu vas filer au paddock et hop équitation tout ça tout ça. Mais ta jambe a besoin d'un peu de temps et surtout de rééducation. Alors ne force pas ! Sinon je te fesse! " Tu lui tires la langue.
Tu ris. " Non mais j'aimerai bien l'avoir. Cela me permettrait de passer plus de temps avec vous." Tu tends la main pour caresser sa joue quand il te parle. Tu sais que cela lui en coûte et tu lui en veux d'une certaine façon de s'être amouracher d'une ... Tu soupires. Tu n'es pas là pour juger. Tu ne le seras jamais. " T'inquiète je suis un bon oreiller! Et je fais des papouilles du tonnerre. Tu verras que je vais arriver à te faire ronronner comme un petit chaton tout mignon! " Tu lui tires la langue, taquine. Tu t'écartes pour le laisser écrire et te lèves pour aller mettre le film. Puis tu reviens te coller tout contre lui comme il t'attire.
" J'ai lancé la filmographie de Jacky. On commence par les Rush Hour et après on voit. Il a fait un Nicky Larson il parait qu'il est drôle. " Tu enlèves tes chaussures pour être plus à l'aise et, assise en travers, tu passes tes jambes au dessus des siennes. Tu poses ta tête sur son épaule et tu lui donnes la manette. " Tiens je te laisse lancer ou on attend que le miam arrive. "
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] C’est ca que j’aime chez elle, elle ne se prend pas la tête, elle est juste elle. Elle ne s’aperçoit pas de tout ce qu’elle apporte aux gens avec son sourire et sa présence. Elle réussit à me redonner le sourire. Je la prends dans mes bras et la colle contre moi. « Promis,Choupi, tu seras la première que j’appellerais en cas de déprime, même si je ne veux pas déprimer. Juste avancer et l’oublier » Tu lui fais un baiser sue la joue. « Mais je t’appellerai aussi pour le plaisir. Tu n’es pas là que pour me réconforter. J’aime te voir pour le fun » Elle fais aussi la jonction avec tes amis que je ne peux pas voir pour le moment et ca, c’est merveilleux. « Je peux juste te promettre de ne pas monter à cheval de suite » Je ne peux déjà pas marcher aucune chance que je tienne en selle. « Mais je ne peux pas rester loin d’Hadès longtemps. Je l’aime trop et je ne veux pas qu’il m’oublie. Père la fait venir aux écuries du manoir pour que je puisse aller le voir dés que j’irais mieux. » Une décision qui m’a beaucoup touché.
Je vais la prendre au mot et poser ma tête sur son épaule ou ses cuisses pendant la soirée. J’aime sentir sa main sur ma joue, sa gentillesse. « Je veux bien des papouilles et des bisous. Je veux bien ronronner pour toi. » C’est même une des rares a qui je me permets de réclamer cela alors que je ne me sens pas bien. Je check sur mon téléphone l’arrivée du repas avant de prendre une décision. La gouvernante me répond rapidement que le repas sera prêt dans une vingtaine de minutes. L’ambiance est trop belle pour être cassée, je voudrais que le temps s’arrête a cet instant. « On lance Rush Hours, le repas arrivera bientôt. Et vas pour Nicky Larson après, je ne connais pas. On va pouvoir se défouler sur les bagarres et huer les méchants. » Je lancer le film et je la laisse s’installer contre moi. Elle connaît mon côté tactile et ne s’en formalise pas. Voilà ce que j’appelle une vraie journée de détente entre amis. Une journée, comme je les aime.
