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Un réveil qui n'augure rien de bon ( Feat Alexandre)
Invité
Rosario Gomez a écrit:
Un réveil qui n'augure rien de bon
Alexandre et Alys


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Un bip caractéristique  venait de me réveiller. Ce n’était pas le réveil digital, il était bien trop tôt pour ça. Tirée du lit au plein cœur de la nuit et en proie à une léthargie encore persistante je m’emparais tant bien que mal du coupable de ce reveil involontaire. Mon bipeur affichait peu d’éléments sur le petit ecran, un simple « Bonsoir » et une adresse. Peu importe l’heure le travail m’appelait et je comptais bien y répondre. Je quittais donc le lit d’un pas lent. L'horloge de veille de l'ordinateur affichait 04h40. N’ayant pas le temps de prendre une douche je me ruais vers mon téléphone programmant ainsi un message pour Madame Allison ,lui demander de passer ce matin garder mes filles si elle le pouvait. Depuis pas loin de trois semaines j’enchainais les horaires de la sorte. La MIT croulait sous les dossiers depuis cette fin d’année et le début 2026 n’augurait rien de bon.
Je m’habillais à la hâte faisant une croix sur un déjeuner, je n’avais pas le temps. Malgré le fait d’être tiré ainsi du lit, je ne râlais pas.

J’aimais trop mon travail pour ça, je ne suis pas comme mes deux sœurs qui préfèrent des emplois du temps bien structurés, qu’aucuns éléments viennent influencer leur petite routine. Sautillant sur un pied pour enfiler mon jean, le chat manquait de me faire trébucher. Je pestais donc sur le félin avant de parvenir enfiler mon pantalon. Le message du bipeur avait été envoyé par Clayton ce qui annonçait la réelle gravité de la situation. En l’espace de dix minutes j’étais fin prête. Je verrouillais doucement la porte pour ne pas réveiller les monstres pour enfin descendre les marches de l’escalier quatre par quatre, enfin je me jetais alors sur le siège conducteur de mon Opel de fonction. L’Adresse n’était qu’a un quart d’heure d’ici. Ou plutôt devrais-je dire sept minutes puisqu’à cette heure-là il n’y avait personne dans les rues.

Rapidement les halos lumineux des gyrophares de nos véhicules garés en double file m’aveuglèrent. Au premier vu un important dispositif avait été mis en place. Par manque de place je fus contrainte de garer l’Opel à cheval sur le trottoir. La fraicheur du matin m’enveloppa aussitôt dès ma sortie du véhicule n ce fut à ce moment-là que je réalisais alors mon erreur de ne pas avoir pris de veste. J’étais trop parti précipitamment. La rosée du matin embuait même les vitres de nos véhicules. Deux hommes en uniforme m’accostèrent me disant que je n’avais pas le droit d’être ici. Mais ils sont aveugles ou quoi ! Ils n’ont pas vu el gyrophare juste au-dessus du toit de ma voiture ? L’un des deux hommes me reconnut et s’écarta alors me présentant ses excuses. Je souriais, l’erreur est humaine après tout !

Je franchissais alors le ruban jaune que je voyais bien trop souvent. Clayton vint à ma rencontre me faisant ainsi un topo. Les deux victimes s’appelaient Nataniel Ivenof et Vadim Barov. La devanture du magasin devenu alors scène de crime me rappela de quoi il s’agissait la Bijouterie Barov était assez connue de Londres. Le propriétaire vivait dans le luxueux appartement juste au-dessus de sa boutique. Une fois le topo fait Clayton quitta les lieux , me passant la main sur l’étude de la scène de crime. Deux fourgons du coroner attendaient là, les portières ouvertes. Le légiste attendait l’aval, mon aval pour emporter les corps.

Ma bottine écrasait alors un bris de verre , symbole d’une scène violente. Il ne m’a fallu que quelques pas à l’entrée pour comprendre ce dont il était question , les spots éclairant parfaitement , il était facile d’y voir des impacts de balles sur le comptoir et un petit peu partout. Un homme trônait, décédé assis adossé contre le meuble de la caisse le buffet criblé de balle non loin de lui se trouver un pistolet semi-automatique. Clayton m’avait dit que le voisin du bâtiment d’en face pouvait m’aider à en apprendre davantage. Une discussion s’imposait. Un bruit de moteur et des gyrophares se firent alors entendre. Des renforts sans doute ! Je quittai donc temporairement la bijouterie lorsque je vis Alexandre désertant son véhicule. Je m’approchais alors de lui.

“Al’ ! Toi aussi on t’a tiré du lit !? Je te le dis tout de suite, on du lourd là ! Pas mal pour commencer l’année hein !“ J’étais sur un ton ironique, au premier abord il s’agirait d’un braquage brutal. De quoi bien débuter 2026 …Surtout avec tous les dossiers déjà en cours ! C’était le lot du MIT…



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10.03.21 1:00
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Lorsqu’Alexandre entendit son bipeur, il mit un temps à se réveiller. Il termina par ouvrir l’œil avec un juron. Il commençait à avoir passer l’âge à se réveiller à 4h du mat’ pour une enquête. Il se leva, puis essaya de faire le moins de bruit possible pour sa compagne. Mais clairement, Alexandre n’était pas du matin, encore moins lorsque c’était aussi tôt. Malgré tout, il fut assez rapide pour se préparer. Il prit tout de même le temps de boire un café. Alexandre avait besoin d’être vraiment réveillé pour prendre sa voiture. Il perdait 3 minutes, mais cela lui évitait surtout de créer un accident. Avant de quitter la maison, Al’ écrit un rapide mot puis le laissa sur la frigo. Maddison savait très bien où il serait de toute façon.

Arrivé à la scène de crime, Al’ présenta son badge en silence. Le visage fermé, le Russe n’avait vraiment pas envie de parler. Véritable ours le matin, Alexandre n’avait pas envie de faire d’effort. Le Russe reconnu sans mal les lieux. La bijouterie était connu par la communauté russe de Londres. Il vit sa collègue arriver. Il acquiesça en silence. Alys était bien mieux réveiller que lui à parler aussi vite à être aussi enjoué. Froid, Alexandre répondit « Génial. » Comme s’ils n’avaient pas assez de dossier en cours. Le flic était aussi inquiet par rapport aux potentiels victimes. Ils étaient probablement membre de la communauté russe et ça pouvait lui poser problème. S’il y avait une possibilité que cela soit lié à la mafia, il serait obligé de se faire très attention, voir de se défaire de cette enquête.

Alexandre demanda « Quelles sont les infos ? ». Pour le social, il faudrait revenir plus tard. Al’ n’était clairement pas du matin.
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14.03.21 20:20
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Rosario Gomez a écrit:
Un réveil qui n'augure rien de bon
Alexandre et Alys


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le balai inlassable des gyrophares inondait la rue. Les voisins devaient nous maudire avec tout ça. Entre nos agents qui contrôlaient la zone , l’équipe technique du labo qui s’affairait dans la bijouterie et les quelques inspecteurs, Wimbledown s’animait tôt aujourd’hui. Le ruban jaune condamnait la rue temporairement. Quelques habitants sortaient déjà sur leur balcon intrigué par les événements. Une véritable scène de guerre venait d’avoir lieu ici, des hommes avaient pénétré dans la bijouterie arrosant ainsi l’intérieur à l’arme automatique. Le premier macchabé était armé, peut-être un homme engagé par le défunt proprietaire de l’établissement pour en assurer la sécurité. Selon les témoins de la scène l’attaque eu lieu a 3h49 du matin.

Du sang, il y en avait en abondance. Encore une violente affaire sur les bras. J’observais alors Clayton quitter les lieux tandis la voiture d’Alexandre se gara. Parfait ! Voila un partenaire avec qui j’aimais travailler. Son sérieux faisait de lui un réel élément pour l’équipe. Le visage amical je me rendis compte par sa réponse que ce genre de réveil le gênait. Je pouvais el comprendre. Personnellement je n’ai pas soucis avec ça, le boulot c’est le boulot. “Visiblement ça te fait mal d’être matinal toi“ avais-je dit avec un peu d’humour. Je relevais le ruban jaune pour ainsi lui permettre de passer.

Une voix dans ma radio retentit alors “Périmètre Nord établi“. Nos agents travaillaient vite et bien, un véritable plaisir de s’entourer de tels professionnels. Sans quitter Alexandre des yeux, réfléchissant à comment lui annoncer la scène je pris soin de répondre au policier. “Inspectrice Dykes…Ok bien reçu…N’oubliez pas ! Aucun journaliste ne doit être admis“ L’homme me répondit par l’affirmative. De ma main je faisais signe à Al’ de pénétrer dans l’établissement.

“Après toi… Il s’agit d’une attaque à l’arme automatique… Les victimes se nomment Nataniel Ivenof et Vadim Barov…Ils n’avaient aucune chance…Cet homme là...“ Je montrais l’homme adossé contre le comptoir “....Était armé…Un simple semi-automatique…probablement le gardant des lieux…. L’autre là c’est le propriétaire de la boutique …Leur noms te sont-ils familiers ?
Le nombre de douilles qui jonchaient le sol était affligeant. Une véritable scène de guerre. Cette affaire s’avérait déjà être sacrément complexe. Qui irait dans une bijouterie pour y vider des chargeurs d’arme ? Intriguée je relevais la tête observant ainsi Al’ “Qu’est ce que tu en penses ? Ce n’est pas un attentat…Les responsable ne serait pas venu si tard dans la nuit mais plutôt dans les heures d’ouverture sinon..“

Enfilant soigneusement des gants en latex bleu je m’empressais de me saisir d’une douille pour l’examiner. C’était Du 5,45 x 39. Je pris rapidement une photo de la munition que j’enverrais plus tard à Rosie. Son expertise me serait utile. Les camera avant peut être capté la scène. Je pris soin d’avertir un technicien pour qu’il se charge de l’extraction des images.

J’enjambais un énorme morceau de verre, je ne voulais pas chuter et me couper de surcroit. Je me dirigeais alors vers le cadavre de l’homme armé. Il s’appelait Nataniel. D’un geste je m’emparais de son arme, un P226, une arme fiable de conception autrichienne. La sécurité n’était pas enclenchée. Je pris soin de la mettre afin de prévenir tout incident non désirée. Ce serait un comble si je me voyais responsable d’un accident sur la scène de crime. Je retirais ensuite le magasin comptant ainsi les munitions. Le chargeur n’était pas plein. “Il a tiré 3 coups ! Mais a-t-il atteint sa cible...“




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08.06.21 2:30
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Alexandre ne répondit rien à la remarque de sa collègue. Le Russe avait beaucoup de mal a se lever le matin, d’autant plus quand le réveil encore plus précipité lors d’une enquête. Avoir 3 enfants lui avait définitivement pourri le sommeil… Al’ était un ours le matin. Il avait tout de même pris le temps de boire un début de café avant d’arriver. Autrement, c’était trop difficile.

Les consignes que donnaient ses collègues étaient classiques, mais nécessaire. Si les journalistes s’en mêlaient, ce n’en devenait que plus compliqué. Alexandre suivi sa collègue. Silencieux, il faisait au mieux pour s’imprégner de la situation, de l’endroit. Le Russe avait de l’expérience, mais il était rare une telle scène de crime. C’était un massacre. Alexandre avait l’impression d’avoir traverser la réalité pour se retrouver dans une scène de guerre. Son regard se posa sur les différents éléments de la pièce. Il suivit Alys du regard… Ils avaient déjà des éléments de réponses.

Sans crainte il répondit « Ce sont des personnes connues dans la diaspora, ce sont des entrepreneurs» Alexandre songea à sa famille. Il ne commenta pas plus, mais cela l’inquiétait. Il demanda « Est-ce que tu sais comment nous avons été mandaté pour cette enquête ? » Al’ n’était pas le seul enquêteur de disponible. Le juge d’instruction l’avait envoyé en connaissance de cause, tout le monde savait que le flic était d’origine russe. Al’ était méfiant. Des problèmes pouvaient arriver.

Devant la constatation d’Alys, l’inspecteur répondit « La balles sont restées ici ou ont été « embarqués » par leur agresseur. » Le Russe réfléchissait à voix haute « Il nous faut élargir le périmètre de recherches… » Pensif, Al’ enchaina « Si un ou es agresseurs sont blessés, ils ne pourront pas aller dans des hôpitaux classiques. » Ce qui ne devait pas être un problème pour eux.

Alexandre donna son avis « Cette scène de crime corresponds parfaitement à un meurtre lié à la mafia. ». Le Russe avait sorti un carnet où il commença à annoter de nombreuses choses. Il écrivait en cyrillique, c’était plus rapide pour lui. Il donna plusieurs avis à voix haute « Une transaction qui tourne mal ? Une guerre entre deux mafia ? » Il tapota sur son carnet « Il est encore trop tôt pour supprimer les autres pistes, mais à mon sens le côté mafieux est à privilégier. » Méthodique, Alexandre commenta « Je vais aussi faire une demande d’accès à leur compte. » Même si pour l’heure, il était urgent de faire une enquête d’environnement. Al’ savait qu’il allait être mis à contribution pour s’occuper de la traduction… La juge d’instruction avait peut-être fait appel à lui pour cette raison.
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11.09.21 19:48
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Information HRP : Suite à une fausse manipulation j'ai supprimé le texte maladroitement, je vais le réécrire bientôt
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15.09.21 23:20
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Alexandre arqua un sourcil. La sœur d’Alys ? Le Russe finirait pas se renseigner en peu plus à ce niveau-là. Sa collègue avait au moins le mérite d’être de bonne humeur. Ce qui n’était clairement pas le cas de l’inspecteur, ce qui était normal pour lui au vu de l’heure.

Al’ ne fit pas plus de commentaire. Ce qui ne l’empêchait de garder un certain niveau d’alerte à ce niveau. Le Russe avait beau avoir changé de pays, ses liens avec sa fratrie pouvait toujours lui éclater à la gueule.

Ils avaient le même avis par rapport à la blessure. En cela, il fallait agir vite. « Les hôpitaux publics… et les cliniques de la ville pourraient s’en occuper. Il y a peu d’endroit où cela est possible. ». Dans le meilleur des cas, le blessé serait soigner. Dans le pire, ses collègues allaient le finir eux même et cacher le cadavre. Leur réaction allait donner de bonnes informations par rapport à leur lien.

Al’ eut un grand soupire devant la maladresse de sa collègue… Même si en cela, Al’ ne pouvait pas trop râler au vu de ses propres conneries. Il ne commenta pas plus à ce sujet. Il enchaina « Je vais passer quelques coups de fils pour alerte les hôpitaux et les cliniques. » Mais aussi pour faire réagir ses différents contacts. « Nous aurons peut-être une piste rapidement. » Cela pourrait même être bouclée dans l’heure avec un peu de chance.

Pour l’histoire des clans et le reste, Al’ fera un point au commissariat. Il y avait pas de mal d’oreilles indiscrètes. Alys allait devoir finir le tour de la scène de crime, pour le reste l’urgence serait de faire l’enquête de voisinage et d’environnement.
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18.09.21 12:04
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Rosario Gomez a écrit:
Un réveil qui n'augure rien de bon
Alexandre et Alys


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Ma sœur devait être dans les fichiers clients de ce commerce de luxe à n’en pas douter. Ça dernière parure était somptueuse. Dans une vitrine ou trônaient nombre de bris de verre, un article comparable trônait. Non en aucun cas cette attaque ressemblait à un vol. Tout me portait à croire que le mobile était bien plus complexe que cela. Les hommes en blouse blanche s’affairait prenant les clichés que j’avais demandé. Clayton m’avait mis en charge de l’affaire. Tout allait devoir passer par moi, des heures supplémentaires en perspectives malheureusement.

Un garde armé pour une bijouterie n’était pas anodin , habituellement un propriétaire d’un tel établissement pouvait faire la demande d’une détention d’arme m :ais de là a avoir un garde armé Vingt-quatre heures sur vingt-quatre ? L’un des assaillants avait été blessé. Al’ voulait s’occuper des hôpitaux , ce serait un très bon début cependant je voyais mal un responsable d’une telle barbarie se faire soigner comme le commun des mortels. Mon regard se portait vers le propriétaire des lieux gisant derrière son comptoir le buste criblé de balle. Les coupables payeront ça c’est sûr !.

“Bonne idée essayes de voir pour les hôpitaux cependant je doute que nous trouvions une piste exploitable…Ils seraient trop malins pour laisser de telles traces… N’Hésite pas à élargir auprès de praticien privé…Vétérinaire ou autre ? Il serait bien plus facile pour eux de menacer un jeune veto qu’aller aux urgences…Ou alors leur groupe contient une antenne médicale…Peu probable mais c’est une éventualité“ Bien sûr les complices peuvent tout aussi bien abréger les souffrances de leur partenaire et bruler le cadavre ou encore le jeter dans le compacteur situé à quatre rues d’ici.

Ma bourde avait gêné tout le monde, souriante je m’excusais , il valait mieux prendre cela à la dérision plutôt que de garder l’air séreux et paraitre ridicule. Je répondis à mon partenaire par le même sourire avant d’acquiescer. J’allais laisser Al’ passer ses appels lorsque tout à coup un brouhaha vint perturber la concentration des enquêteurs. Une femme semblait vouloir violer le périmètre établi et ait déjà au niveau du porche tandis que des agents en uniforme tentait de l’en éloigner. La femme posa un pied sur el porche de la boutique , al voix enrouée par des pleurs et entrecoupé de sanglot. “Mon père je veux voir mon père !!!“ Elle devait avoir pas plus de vingt-ans. Un agent vint s’interposer. Mon regard se perdit dans celui de mon partenaire. Pour el coup al situation semblait plus compliquée que prévu. “Qu’est-ce qu’on fait...“




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09.10.21 18:13
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