Louisa en avait marre d’une chose : d’être vu comme une petite chose fragile. La jeune femme avait été enlevée une fois, avait été maltraité à plusieurs reprises par des personnes plus grandes qu’elle. La blonde avait décidé que ça ne serait plus le cas. Plus personne ne lui ferait du mal. Elle avait déjà appris à utiliser une arme à feu, maintenant elle voulait surtout être plus forte physiquement. Louisa s’était déjà mise à travailler sur son endurance. Elle courrait régulièrement, plusieurs fois par semaine. La blonde était déterminée. Elle s’était bien rendu compte que le monde était dangereux et qu’il était nécessaire qu’elle sache se battre. La venue de son père au Mojo avait renforcé cette idée. Le monde était dangereux. Une personne malintentionnée pouvait se présenter n’importe quand finalement.

La jeune femme entra dans la salle de sport. Elle était déterminée. Maintenant, elle était décidée cette fois. Puis, elle avait besoin de reprendre toutes les bases. La blonde se changea. Elle s’était équipée cette fois. Bien plus à l’aise, mais surtout l’esprit tranquille. Louisa se présenta dans la salle. Elle lança un regard sur l’ensemble des personnes présentes. Ouais, il y avait du niveau… Et elle faisait vraiment brindille à côté. Louisa se sentait toute petite. Elle n’avait pas trop l’impression d’être à sa place pour le moment, mais elle finirait bien par faire son trou.

Louisa s’avança et se présenta « Salut. Je m’appelle Louisa, on m’a parlé de la salle… et je suis là pour apprendre à vraiment faire de la boxe. ». Elle planta son regard dans celui de son interlocutrice « Je veux apprendre à me défendre. » Et clairement, elle voulait savoir se battre.

Louisa dévisagea son interlocutrice. La meuf était en train de faire de la corde à sauté. Est-ce que c’était une pro ? Est-ce qu’elle savait vraiment de quoi elle parlait ? La réponse était évidente : oui. Gabrielle, enfin Rix, était en train de faire une suite d’enchainement assez impressionnant. Le genre de truc que Louisa se savait incapable de faire… Pour le moment. A ce moment précis, Louisa avait la flamme. Puis Louisa était aussi convaincu d’une chose : les faibles ne restaient pas.

La blonde récpondit du tac au tac « Ha oui ? Et genre quoi ? » La beauté du sport, l’effort, blablabla Foutaise ! La boxe, ce n’était pas fait pour ça. Du moins, Louisa n’avait pas le temps pour ça. Elle voulait que cela soit efficace. Elle savait que ça allait être compliqué, mais ce qui comptait c’était dominé son adversaire et avoir la volonté de vaincre. Louisa avait une vu extrêmement utilitaire de ce sport. Elle n’avait pas le luxe de voir ça comme uniquement un loisir. Peut-être s’était-elle habituée à une vie trop dangereuse ? Mais c’était aussi de cette manière qu’elle se sentait vivante. C’était aussi pour cette manière qu’elle avait accepté le job proposé par Monsieur MacAsKill.

Louisa répondit « Je suis déjà venue dans une salle, mais je ne pense pas que je puisse dire que j’ai les bases. » Ce n’était pas acquis. La jeune femme savait qu’il fallait prendre le temps de faire les premiers pas. Vouloir aller vite devenait une perte de temps. Franche, elle expliqua « J’ai jamais sauté à la corde, je crois. » Elle eu un sourire « mais ça doit pas être si compliqué. » La jeune femme attrapa l’objet et demanda « Par contre, ça sert à quoi exactement ? » Louisa était capable de faire un effort, mais elle voulait savoir pourquoi.

Direct, Louisa continua sur sa lancé. « Je veux venir au minimum une fois par semaine, voire de venir le plus souvent si possible. » Il ne fallait pas non plus trop forcer. La jeune femme n’était pas du tout sportive de base. Le fait que son père ait débarqué sur le mojo lui avait fait un choque. Elle voulait savoir se défendre quoi qu’il arrive. D’autant plus, qu’elle savait que son comportement pouvait être à risque. Louisa refusait de vivre dans la peur. Elle ne serait plus la proie, mais le chasseur.

Le respect de l’adversaire, ça c’était vraiment pour les plus forts ou les idiots. Louisa savait très bien que dans la vrai vieil y avait plusieurs règles. La première était de toujours taper sur plus faible que soit, de toujours être en supériorité numérique et la troisième d’engager une confrontation lorsqu’on pouvait gagner de manière écrasante. Les combats à la loyal n’existaient pas. Louisa n’avait pas été très attentive à ses cours d’histoire, mais elle se souvenait d’une chose. La plupart des chevaliers étaient morts avec une épée plantée dans le derrière plutôt que dans un combat singulier. La jeune femme avait aussi conscience de ses forces et faiblesses. Elle n’avait pas assez de force et ne pesait pas assez lourd pour être impressionnante. La technique, la vitesse, l’agilité, ainsi que la ruse lui permettrait de s’en sortir. Puis Louisa avait aussi appris à éviter la confrontation…. Et à trouver des protecteurs. Au moins avait-elle une gueule qui donnait envie aux autres de la protéger.

Louisa expliqua « J’ai tapé dans un sac quelque fois. Genre je sais mettre des bandes correctement, mais ça s’arrête là. ». La blonde devait apprendre à bien frapper. La jeune femme avait la corde à sauter dans les mains. Bon, cela semblait clair. Louisa avait encore du mal à prendre le gout du sport, mais elle s’était rendu compte que cela lui faisait du bien. En fait, elle était moins tendue après avoir couru. Son corps s’y habituait et elle comprenait pourquoi on pouvait y prendre plaisir. Louisa devait encore se mettre un coup de pied au derrière pour y aller, mais au moins elle était contente après à chaque fois.

La blonde regarda Rix commençait à s’échauffer. C’était impressionnant. Cette meuf avait vraiment beaucoup de niveau, ça se sentait. La jeune femme ne se découragea pas et se mit à sauter elle aussi. Ce n’était pas si évident que ça. Le fait de gérer son poids, de garder le rythme, de sauter assez haut chaque fois. A un moment, Louisa eut clairement envie d’arrêter. Mais elle se garda bien de le faire. Si elle arrêtait pour de telles broutilles, alors elle n’était prête à rien et ne ferait rien de sa vie. La jeune femme avait un plan, un objectif, il fallait qu’elle s’y tienne.

Louisa s’arrêta enfin. Elle était essoufflée, le visage rouge et en sueur. C’était pas très classe. Les cheveux attachées dans le dos, la jeune femme posa ses mains sur ses cotes pour respirer. Bordel. C’était pas si facile. Louisa jeta un coup d’œil à Rix, elle n’était pas du tout essoufflée. Bon… Cela fit sourire la jeune femme. « Non mais je le travaille le cardio… » Elle se fit rire « C’est pas gagner ! » Mais en même temps, Louisa n’avait pas eu le sport dans la peau et n’avait pas appris à avoir de bonnes habitudes de vie. Chez JB, la jeune femme avait désormais un cadre de vie qui lui permettait de s’améliorer.

Louisa prit le temps de regarder les gestes de la boxeuse. Elle les imita. En fait, c’était pas ultra compliquée même s’il y avait des erreurs à ne pas faire. La blonde suivit les consignes. La jeune femme avait bien compris que le cardio ne suivait pas ce qu’elle voulait faire. Si elle n’allait pas le plus vite possible, au moins devait elle finir l’exercice. Essoufflée, Louisa termina l’exercice au mieux. Elle expliqua « Au moins, je sais ce qu’il faut que je travaille… ». La blonde avait envie de s’asseoir par terre, mais ce n’était pas une bonne idée. Elle attrapa plutôt la bouteille d’eau qu’elle avait ramené. Au début, elle ne prenait pas de flotte pour faire du sport, puis elle en avait vite compris l’intérêt.

Curieuse, Louisa demanda « Et pourquoi tu t’es mise à la boxe Rix ? » . Pour la jeune femme c’était clair, elle voulait savoir se battre et avait été direct à ce propos. « Puis ça fait combien de temps que tu pratique ? » Pour avoir ce niveau, fallait en vouloir…

Les conseils de la boxeuse ne tombaient pas dans l’oreille d’une sourde. Louisa avait bien l’intention de s’entrainer et de devenir meilleurs. Elle allait out faire pour. La blonde savait que c’était ce qui pourrait tout changer. La jeune femme ne fit d’ailleurs aucun commentaire, plutôt concentré sur sa respiration. C’était dure ! Louisa écoutait Rix. Globalement, l’origine story était souvent la même. Ce n’était pas choquant.

La blonde attrapa les bandes. Concentré, elle fit un véritable effort pour les mettre correctement. Le visage concentré, Louisa essayait d’être minutieuse. Mais ce n’était clairement pas sa nature. Si c’était presque bon, la blonde avait laissé des plis et avait du mal à être rigoureuse. Tout de même fière d’elle, Louisa montra le résultat à la pro’. « hé, ça va ! je m’en sors tout de même ! ».

Sérieuse, la jeune femme opina. Ouaip, elle s’achèterait ce qu’il faut. Maintenant, le financier n’était plus un problème. Puis cela lui permettrait aussi d’avoir plus de liberté. A l’avenir, cela pourrait se révéler important.

Louisa s’avança devant le sac, puis le regarda, se posant pour une fois une question avant d’agir. Comment frapper ? En fait, le plus souvent, Louisa était dans l’action. Sa volonté était alors de faire le plus mal possible. C’était généralement suffisant pour faire lâcher la personne ou alors faire comprendre qu’il y avait trop à perdre pour s’attaquer à elle. Mais là, c’était un objet, ça ne ressentait rien. Il n’y avait pas de zone sensible ou de signes de faiblesse. C’était un juste un sac, classique, sans aucune personnalité ou originalité. Louisa se positionna au mieux, puis frappa une fois, deux fois, trois fois. Puis elle s’arrêta avant que la machine s’emballe. Elle était pas certaine que soit une bonne idée. Consciente que c’était un comportement super chelou, Louisa se tourna vers Rix. « En fait, la dernière fois que je me suis vraiment mise à fonds… ba, je me suis énervée et ça à été cool pour personne. » Même pas pour elle-même. « Dans ce cas là, je suis plus capable de gérer. Je suis juste trop en colère pour pas faire ou dire de connerie. » Louisa ne savait pas trop ce qu’elle devait faire maintenant. Tenter au risque de dérailler ? Mais la solution inverse ne lui paraissait pas acceptable. On pouvait faire de la box un petit peu. On en faisait ou on en faisait pas.

Louisa écoutait, attentive aux remarques de la boxeuse. Entendre un compliment, ça faisait quand même du bien ! La jeune femme annotait intérieurement les remarques. Elle voulait savoir faire pour la prochaine fois. Fallait qu’elle progresse, elle n’avait pas le temps d’être mauvaise.

Spontanée, Louisa répondit « Je sais plus vraiment… » Elle mit un temps. « Enfin si, mais bon, c’est juste que… » Sa meilleure pote était alors portée disparue. Louisa était arrivée trempée et était pas du tout venu pour pratiquer la boxe à la base. « En fait, j’étais pas mal inquiète pour une amie… Et j’étais venue dans la salle juste pour squatter le temps que la pluie s’arrête. » A cette période, Louisa n’avait pas d’endroit vraiment à elle et sécure. Maintenant, c’était différent. Elle savait qu’elle pouvait toujours compter sur JB. La blonde avait aussi sa chambre au Mojo. C’était cool. « Les gens qui faisaient l’entrainement, ils ont juste voulu être sympas avec moi. Genre, ils ont voulu que je vienne avec eux, puis… je me suis ultra vénère. » Louisa n’avait pas su gérer à ce moment-là. « En plus, c’est ridicule parce quand je suis vraiment super énervée, il y a un moment où je me mets à pleurer. » Louisa haussa les épaules. « C’est vraiment pas classe. » Elle termina son anecdote « J’ai fini par aller m’enfermer dans les douches, puis quand je me suis calmée, je suis parti. » Louisa savait qu’elle était toujours la bienvenue dans cette salle, mais elle se sentait toujours ridicule de se comportement. « Bref. » Ouais, valait mieux passer à autre chose.

Cette fois, c’était différent. Rix c’était aussi une boxeuse pro’, ça devait jouer. Du moins, c’était ce qu’imaginait Louisa. La jeune femme se positionna devant le sac et tapa dessus une première fois. Ses gestes étaient trop pensés. Consciente, Louisa enchaina avant de frapper le sac à plusieurs reprises. Si la jeune femme devenait plus rapide, elle perdait aussi en précision. Plus Louisa était spontanée, plus ses gestes devenaient anarchiques. Cela reflétait bien l’esprit de la jeune femme, des règles, elle n’en avait rien à faire. Tout ce qui comptait c’était d’arriver aux objectifs. La blonde avait appris que la justice c’était une valeur qui n’existait pas vraiment dans le quotidien. Pour s’en sortir, il fallait appuyer sur tous les leviers possibles. Dans une situation de combat, c’est d’autant plus vrai. Louisa avait parfaitement conscience que le rapport poids puissance était important. Si elle ne pouvait pas être la plus forte, elle pouvait compenser autrement.

En sueur, Louisa se recula et prit le temps de respirer. La colère, la vrai, la noire, n’était pas venu. Peut être parce qu’elle savait qu’elle tapait sur un truc inerte. Puis la situation n’était pas la même. Louisa s’essuya maladroitement le front. La jeune femme n’avait pas spécialement de technique, juste la volonté de ne plus jamais perdre.

Louisa écoutait attentivement la boxeuse. Si elle aussi disait que ce n’était pas grave, c’est que ça ne l’était vraiment pas. La jeune femme était tout de même dubitative « Ouais, mais bon… ça décrédibilise pas mal. » Lorsque les larmes venaient, la colère semblait moins forte. Louisa avait un peu de mal avec ça. La jeune femme hocha la tête, mais elle était pas vraiment certaine de savoir comment elle pourrait faire. Gérer ses émotions, c’était quelque chose de pas facile.

Après s’être bien défoulée, l’explication de Rix fit sourire Louisa. « Donc le plan, c’est de se fatiguer pour ensuite faire l’entrainement. » La jeune femme s’en amusée, elle se sentait tout de même mieux, l’esprit bien plus tranquille. La motivation de la boxeuse était communication. Louisa était prête à apprendre. Elle était attentive et motivée.

Avec énergie, la jeune femme suivit l’entrainement de la boxeuse. Elle s’appliquait. Le souffle court, en sueur, Louisa arrivait à tenir le bout. Elle continuait, malgré tout. C’était épuisant. L’effort sans doute trop violent pour elle, la jeune femme termina totalement essoufflée. Incapable de parler, elle termina surtout par se rendre jusqu’aux toilettes avant de rendre tripes et boyaux. Louisa n’était pas une grande sportive de base. Le sport ne l’avait jamais intéressée.

Après cette pause, Louisa termina par revenir dans la salle. Elle n’expliqua pas. C’était assez clair. Elle regarda Rix. « Va vraiment falloir beaucoup d’entrainement… » Genre, vraiment beaucoup en fait.

Louisa eu besoin de réfléchir « En fait, c’est le regard des gens. A partir du moment où tu pleures, t’es ridicules. Du coup, ce que tu veux faire passer comme message, ça ne marche plus. » La blonde avait plusieurs fois été confronté à cette situation. Elle avait été des deux côtés de la barrière. Louisa n’était clairement pas une sainte et elle réagissait comme elle pouvait, avec son lot de préjugé et de mauvais penchants. « Une personne qui pleure, c’est vu comme une personne faible…Et un personne faible, elle ferme sa gueule. » Louisa n’avait pas grandi avec des tendres. Elle repensa à son adolescence « De manière général, faire pleurer quelqu’un, c’est perçu comme une réussite, c’est drôle, ça fait marrer le groupe. » La blonde avait pris tarif plus jeune. Elle enchaina sur une note plus positive et bien plus rageuse « Jusqu’au moment où ils regrettent. ». Enfermer des gens et foutre le feu, c’était mal… Mais ils avaient mérité. Louisa n’éprouvait pas de regrets. De toute manière, il n’y avait pas eu de réelles conséquences. Ils avaient justes eut peur. Elle, elle avait fini en centre fermé. Quelle bande de connards.

A l’explication de Gabrielle, Louisa répondit laconiquement « Y’a du boulot… » Ouais, mais en même temps, ça allait tout de même bien mieux qu’avant ! Donc, tout n’était pas sombre.

La boxeuse, elle allait vite et bien. Même si son niveau était bien plus haut, elle finissait aussi l’entrainement en sueur. Louisa termina finalement par revenir. Elle prit le temps de boire. Cet entrainement était horrible, mais en même temps, cela lui faisait du bien. Elle eut un immense sourire au compliment de la boxeuse. Ouais, peut-être que valait le coup de rendre ses tripes.

Louisa était au bout d’elle-même. La jeune femme ne savait pas si elle pouvait allait bien plus loin. « Je… » Hum, que devait-elle faire ? « Je vais en faire. Mais je me laisse encore un peu de temps pour récupérer. » Elle s’en amusa « Je vais mourir sinon et après je pourrai plus revenir, ça serait con. » Ouais, un peu beaucoup. Louisa hésita à se poser, mais elle décida finalement de ne pas le faire. Elle n’allait pas se relever après. Elle profita de ce temps calme pour demander « C’est quand ton prochain combat ? » Rix, c’était une boxeuse pro’. Louisa voulait voir à quoi ça ressemblait quelqu’un qui savait vraiment mettre des droites.

Louisa était dubitative. Ca ne fonctionnait pas comme ça, pas dans son monde… enfin son ancien monde. Paraître fort permettait surtout de ne pas se faire emmerder. La jeune femme était vraiment dubitative, mais ne relança par le sujet. Fallait qu’elle y réfléchisse.

Cette remarque fit sourire Louisa. Fallait bien commencer quelque part oui… Au moins, la jeune femme savait qu’elle ne pouvait que progresser dans cette situation ! Mais cela faisait parti du jeu.

Louisa prenait le temps de respirer. Elle n’avait pas envie de se revomir… là, elle avait vraiment craché ses tripes pour cet entrainement. La jeune femme avait déjà mal partout. Elle savait que cette nuit, elle n’aurait pas de mal à trouver le sommeil ce soir. La remarque de la boxeuse fit rire Louisa « Ouais, mais éviter de mourir, ça veut aussi dire évite tous les trucs genre comas et tout. » Il fallait pas qu’elle tombe dans les vap’ ! La jeune femme avait plus la sensation qu’elle ne retrouverai jamais son souffle. Mais au fur et à mesure, sa respiration se fit plus calme. Ce fut aussi le cas des battements de son cœur.

A la proposition de Rix, Louisa n’hésita pas une seule seconde « Mais oui ! ça serait trop bien ! » Genre, voir la bagarre entre deux personnes qui savaient vraiment se battre, ça c’était classe. La boxeuse, c’était aussi une sacré nana et Louisa voulait la voir en action. Elle avait besoin d’un exemple. « Pour les horaires, je me débrouillerai, je serai libre. » il y aura bien moyen de moyenner.

Après un long moment, Louisa termina par se redresser complétement. « C’est reparti ! » Pour cet entrainement et pour tout ceux qui allaient suivre. La jeune femme n’allait pas lâcher l’affaire !