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[CLOS] We are our own muses. / Rylee
Zac Sanders
We are our own muses...

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Izaline Sanders
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LIENS : Jumelle de Zac, Amie de Megara, tante de Matt, Intime de Rylee, complice de JB, pote de Marlon, collègue de Paul Woods.



La tourte est cuite. J’espère que ça a marché. C’est la première fois que j’utilise le nouveau fourre. Je n’ai pas l’habitude de ces modèle. La croûte est dorée. Maman dit que c’est le plus important. Voyons voir où en sont les patates douces ? Ça a l’air bon aussi. J’y suis depuis 15h00 l’air de rien. Mais ça m’a fait du bien de faire ça. Ce parfum ça me donne faim! Quelle heure est-t-il ? Houla, presque 21h00. Il ne faut pas que je traîne trop non plus. Je met les plaques en doux. Voilà. La bouteille de vin ouverte pour que ce soit à température ambiante. Je crois que c’est bon pour le côté cuisine.

Maintenant moi. J’ai bataillé mais je l’ai prise cette douche. J’ai fait mes cheveux. Je reconnais que ça fait du bien de retrouver ma vrai couleur. J’en aurais presque oublié qu’ils sont beaux quand ils ne sont pas sales. Bref. Meg m’a déposé la robe tout à l’heure. La livraison a été parfaite. Où est-ce que j’ai mis la lingerie ? Ah là. Bon, j’espère que je sais encore porter ces trucs. Mon Dieu. Vert pour aller avec la robe. Qu’est-ce que ça donne ? Pas mal. Je n’ai toujours pas assez de poitrine mais le doc dit que ça reviendra. Les bigoudis. Ca m’a pris une heure pour les mettre. Les anglaises sont pas trop loupées ! Yes. Okay donc maintenant le maquillage. Ca m’a coûté une petite fortune. Heureusement que maman va me faire un virement pour noël. Mais en même temps, tout ce que j’avais à l’appart était HS. Je vais rester sur du sobre. Je veux juste cacher les petites rougeurs et les cernes. Quoique peut-être un peu de glose ?

La touche finale: mon parfum fétiche. Une goutte derrière chaque oreille. Une autre à l’intérieur du poignet droit. Parfait. Qu’est-ce que ça donne ? On dirait une femme. Le dos nu je ne suis toujours pas sûre. Mais… si je n’assume pas mes marques devant Rylee je ne pourrais jamais les exposer devant personne. Je le sais. Si c’est vraiment moche je le verrais tout de suite. C’est le côté pratique je vivre avec une femme franche et directe ! Ah ! Ne pas oublier mon petit cadeau. Je l’ai caché où déjà ? Là ! Bingo. Je vais le mettre… à côté de son assiette. Si proche de noël ça fait peut-être con. Mais j’avais envie de marquer le coup entre nous. En dehors des fêtes et tout ça. Récapitulons : repas, table, cadeau, robe. Qu’est-ce qui me manque ?

J’entends le moteur de ta moto. Vite ! Les talons. Le vernis est sec. punaise j’aurais peut-être du pratiquer un peu plus la marche. Bon je les enlève après l’apéro! Son verre. Le mien. Elle vient d’entrer. J’allume la petite guirlande. C’est bon toutes les bougies sont allumées aussi. Pourquoi j’ai le tract d’un coup! T’es con Iza. Le but c'est surtout de vous prouver que tu as fait des progrés. Voilà. Bon si en plus tu peux lui faire un peu d'effet. God. Je suis vraiment en train de penser à ça ?

« Welcome Home.» Alors ? Ça donne quoi ? Je fais pas pute ? Pas bourgeoise coincée ? Pas je ne sais pas quoi. Je viens te prendre ton casque et je le pose sur un des plans de travail. Je vais chercher le verre pour te le donner. « Tiens .» J’hésite à aller éteindre la musique de fond. Mais c’est une playlist slow. J’ai dans l’idée de t’embarquer dans un concert au printemps. Si d’ici là j’arrive à gérer la foule. « Ca te va ?» J’ai mis un peu plus de déco de noël. « Alors je nous ai prévu tourte à la viande et tarte aux pommes. Que des recettes de ma mère.» Possible que Zac ait fait la tarte à l’équipe. Il est meilleur que moi en sucré. Quand il s’y met. « On se pose dans les canap d’abord ? .» … On dirait que c’est ta première fois. Allez. C’est comme le vélo, non ? Je montre le chemin vers le fauteuil récupéré à la décharge grâce aux bons plans de Bobby.


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Zac Sanders
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23.12.19 20:48
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Iza & Rylee
Tous tes petits messages m’ont surpris dans la journée. J’ai repris le taf à la strike depuis quelques temps désormais. Ce n’est pas l’entente cordiale avec Junior mais je fais mon travail et lui le sien. Heureusement nous n’avons pas eu de grosses urgences qui nécessitent une action importante de groupe et cela m’arrange. Je n’ai rien contre lui, je ne m’amuse pas à lui lancer des piques, je suis plutôt froide et distante. J’ai besoin de temps pour encaisser, c’est comme ça. Pour moi la strike c’est une famille, celle qui ne m’a jamais déçu mais Zac m’a dit des choses trop dures pour que je les laisse passer. Je ne dis pas que ça ne passera pas, on a vécu aussi beaucoup de bons moments qui compensent ses conneries mais j’ai aussi besoin qu’il fasse ses preuves et qu’il me prouve qu’il a compris. Y’a que de cette façon que j’accepterais de toute façon qu’il te revoit. La dernière fois a été bien trop éprouvante pour toi comme pour moi. Ma convalescence est longue. Je m’arrange toujours pour la raccourcir normalement mais là j’ai fait le contraire. J’ai fait les rendez vous avec médecin et psy car cela me permet d’être au bureau et de pouvoir être proche de mon téléphone tout le temps si tu as besoin. Oui je suis trop protectrice, tout le monde le sait mais vu ce qui vient de se passer personne n’ose trop me faire la réflexion.

Du coup je suis en train de faire mes dossiers quand tu m’envoies les premiers sms. Ca fait bien longtemps qu’on n’a pas échangé ce genre de petits messages, ça me surprend mais me plait. Tu me demandes de rentrer pas trop tard, je vais essayer. Je suis au bureau donc je rattrape notre retard de paperasse. Je déteste ça mais je râle en silence, c’est moi qui joue aussi à la conne histoire de rester disponible pour toi tout le monde. Je finis par me barrer rapidement un peu avant neuf heures après avoir tapoté sur l’épaule de Marlon pour lui faire signe que je me casse et pris la moto. Depuis que tu es au hangar il y a des tas de choses qui ont changé à commencer par l’endroit en lui-même. J’ai rajouté un poêle pour que tu aies moins froid, j’ai aménagé la salle de bain pour que tu aies moins de stress à te laver, j’ai aussi arrangé la cuisine pour que tu puisses y faire à manger même si Marlon avait commencé les travaux. Je t’ai aussi trouvé un canapé comme tu voulais faire une zone salon pour pouvoir lire, tricoter et tout ce que tu veux. Ca t’occupe, tu sembles aller mieux alors je cède. Maintenant faut que je finisse de faire ce faux plafond et l’isolation car on chauffe un peu le hangar en entier, ce qui n’a clairement aucun intérêt.

Je salue les sans abris présents comme à mon habitude avant d’ouvrir la porte pour entrer la moto comme je ne la laisse jamais dehors. Ce n’est qu’une fois le moteur coupé et le casque enlevé que je capte l’odeur de cuisine. « Hey t…. » Je me retourne et te vois. La fin de ma phrase se perd alors que mon regard suit les courbes de ton corps pour remonter vers tes yeux enfin. Ça peut paraître pas super classe mais tu sais que ça veut dire que je te trouve magnifique. Je passe la main dans mes cheveux en m’approchant de toi. « T’es magnifique… » Parce qu’il n’y a pas d’autres mots et non ça ne fait pas pute ou autre… « … et sexy… » Ce qui me plait, tu le sais bien hein. Tu me retires le casque des mains pour m’y coller un verre et j’en souris. « Merci. » Je sens ton incertitude et je viens doucement passer mon bras autour de ta taille comme je peux le faire désormais et dépose un baiser sur tes lèvres. « C’est très bien… T’sais que j’vais rentrer vite tous les soirs à ce rythme là. » Surtout si tu m’attends dans ce genre de robe… « Cool » J’ai jamais aussi bien mangé que depuis que tu es chez moi. Enfin si, quand y’a Marlon aussi mais depuis quelques temps c’est surtout toi qui gère. Je viens m’installer dans le canapé avec toi, levant mon verre, me doutant de ce qu’on fête mais je sais que tu dois le formuler, exercice du médecin, aussi je fais tinter mon verre contre le tien. « On fête quoi ? » Et je me rapproche de toi, sans t’obliger au contact mais me permettant de caresser doucement ton cou, comme tu aimais avant. « J’vais ptete aller me doucher » Parce que t’es dans une robe à donner des millions d’idées et j’ai mes vieilles fringues de taf quoi…
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29.12.19 23:37
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Je sens à ta façon de regarder que je n’ai pas fait de fausse note sur la robe. Tant mieux! Jusqu’au bout j’ai hésité. Quand je pense à la façon dont j’ai pu m’habiller avant. C’est sans doute con. Mais, maintenant, j’ai envie de pouvoir m’assumer. Sans avoir peur d’un regard dégueulasse. Ou d’un geste de violence. Ou qu’on m’utilise comme un vide à pulsions. Surtout, j’ai envie d’avoir, envie. Envie de retrouver ce qu’est le plaisir… sans la crainte.

« Merci. C’est ce que j’ai voulu. Tant mieux.» C’est grâce à ta patience qu’on en arrive là ce soir. Chapeau à toi aussi. Tu as beau penser que tu es “brutasse” j’ai de quoi le contredire. Je profite encore timidement de tes baisers. Mais ils me plaisent. Ils me font du bien. « Haha.» Je me sens belle à travers tes yeux. Ce qui est déjà énorme. Je sais que tu ne complimente pas pour avoir quelque-chose en échange. Ca fait partie de ce qui m’a beaucoup à reconnaitre mes réussites. « Attend peut-être de voir ce que ça va donner.» Non ce n’est pas que je veux casser l’ambiance. Je… me ménage, nous ménage. Même si le Doc m’a confirmé que physiologiquement tout va bien… Enfin ! Iza pas de pression.

« On fête toi et moi ?» C’est la formulation la plus simple que j’ai. Je me demande si tu en vois une autre ? Tu m’as accueillie chez toi par loyauté et affection. Je t’en serais toujours reconnaissante. Aujourd’hui, on sait, toi et moi, qu’il y a plus que le soutien amical. Je t’aime. Je veux participer à l’évolution de notre relation. « On fête… la Vie ! J’ai envie de retrouver cette sensation qu’on a quand on est amante. Je caresse délicatement tes doigts sur ma gorge. Je te trouve bien comme ça. Peu importe la tenue. Mais tu as raison. Je sais que ça te fera du bien une douche. Autant faire les choses bien. « Oui. Fais ça.» Je descend caresser ta main et ton bras. On l’a fait des dizaines et dizaine de fois sans arrière pensée. Mais là, c’est différent. J’en ai. Des tas. Je me penche pour venir coller mes lèvres contre les tiennes. « Je vais m’occuper des entrées pendant ce temps là.» J’effleure ta joue. Je te glisse un sourire. Le petit feu au bas de mon ventre me rassure et m’inquiête.

Je te laisse vaquer. C’est bien. Ca nous fait une pause après ma petite introduction. Ca me donne le temps de respirer doucement. Je n’étais pas sûre d’avoir le cran de t’en parler. De dire si clairement que je veux une nouvelle expérience sexuelle. Je prépare la petite salade en écoutant l’eau de la douche couler. Je prépare un petit bol pour chacune. Je pose nos verres sur la table. Je te place là où tu te met le plus souvent. Une fois que tout ça est fait je ne sais pas quoi faire. Je cherche une occupation. Je déambule… Finalement, je retire les talons.

« J’ai préparé l’entrée. Si ça te dis.» Maintenant ? Pas maintenant ? Est-ce que ça va ? Ou est-ce que je vais trop vite ? Je ris de mes propres hésitations. Je sens la chaleur monter sur mes joues. Il vaut peut-être mieux que je te dises la chose. Que je le dises tout de suite. Ca peut m’aider à dépressuriser. « J’ai l’impression de revivre une première fois. C’est à la fois génial et affreux.» Je souris des yeux. Je te regardes. Je te regarde cette fois comme une femme qui désir. Je suis les lignes de ta silhouette. Je la connais par coeur à force. Mais là, je te regarde. Le désir m’effleure comme une petite vague. Oui c’est bien là au fond de moi. On y arrivera.


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Je souris en venant t’embrasser et te rassure. « Quoiqu’il se passe, c’est déjà un pas en avant » Alors c’est forcément bien. « On a dit au jour le jour voir minute par minute, non ? » On sait bien que les choses ne reviendront pas comme avant aussi facilement et puis… Est-ce qu’on a vraiment envie que les choses reviennent ainsi ? Cette épreuve nous a fait changer toutes les deux et y’a pas besoin que ce soit comme avant, y’a juste besoin que ce soit comme on le désire et j’aime te voir m’attendre dans une aussi belle robe alors que je rentre du travail. Tu es terriblement désirable et je ne le cache pas. Bien au contraire. Je me pose sur le canapé avec toi en prenant le verre. Je sais ce que tu veux fêter, je crois comprendre ce que tu désires ce soir si tu arrives à te laisser aller complètement mais je te laisse le dire sans te brusquer. J’ai rarement été aussi patiente et douce à part avec toi et je m’en rends bien compte même si je ne l’avouerai pas à haute voix. « A toi et moi et la vie alors » Je fais tinter mon verre contre le tien avec douceur avant d’en boire une gorgée.

Je ne vois personne d’autres. Je l’ai fait tout au début, quand tu es revenue avec tes blessures et toutes les maltraitances qu’on avait deviné. Ce n’était pas pour me faire plaisir c’était pour évacuer et j’ai toujours su trouver exactement les amants pour ça. Je ne prends d’ailleurs jamais de femmes comme amantes dans ce genre de cas, je prends toujours des hommes pour que ce soit violent et que je puisse me défouler. J’ai peut être eu une nuit avec une amante ensuite mais c’était tout. Je prenais bien trop soin de toi pour penser à autre chose et il m’est parue assez évident rapidement que la seule que j’avais envie de serrer dans mes bras c’était toi donc ça ne servait à rien d’utiliser des substituts et j’avais repris le sport pour me défouler et penser à autre chose. J’ai une envie de toi absolument monstrueuse mais je prends sur moi. Si on m’avait dit que je serais capable de le faire un jour… Je me serais bien foutue de la gueule de la personne tiens ! Ma peau s’électrise quand tu caresses mon bras mais je ne bouge pas pour ne pas te faire peur et je réponds avec douceur à ton baiser avant de te laisser t’échapper.

Une douche ouais… C’est bien une douche… Je récupère rapidement des fringues dans la chambre avant d’aller prendre une bonne douche froide histoire de me changer les idées et surtout les calmer un peu. Si tu es inquiète de ce retour de plaisir, moi j’essaie de me gérer au mieux pour ne pas faire d’impair. Dix bonnes minutes de douche froide plus tard je me sèche rapidement le corps et les cheveux. Je passe un jean et une chemise histoire d’être quand même pas en jogging vu ta magnifique tenue et je reviens, les cheveux encore dégoulinants d’eau sur ma chemise. Je souris quand tu avoues ce qui te passe par la tête et te tend la main pour que tu la prennes et viennes dans mes bras. « T’as pas à te stresser autant, c’est pas notre première fois, c’est juste un renouveau. » Qu’en penses-tu ? Car franchement y’a pas besoin d’être aussi anxieuse. Je viens t’embrasser lentement dans le cou, comme tu aimais avant, caressant doucement tes hanches, appréciant la douceur de sa robe mais surtout tes formes que je peux enfin toucher. « De quoi as-tu envie ? » Laisses toi aller et dis moi ce que tu désires… Même si c'est juste de rester ainsi sans rien d'autre je l'accepterais tu le sais bien. Mais vu la lueur dans tes yeux...
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08.01.20 23:07
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Je suis d’accord avec toi. On ne peut pas revenir exactement en arrière. C’est impossible. Même si notre relation était entrain d’avancer aussi d’une certaine façon, ce n’est plus la même chose. On est dans quelque-chose qui est plus… profond. Je pense que c’est le bon mot. On en est là parce que tu as été prête à renoncer à ta vie tranquille. On en est là parce qu’on se bat côte à côte contre ce qu’ils m’ont fait. Trois mois plus tôt, je n’aurais pas parié sur mon envie de “célébrer la vie”. Donc on avance, oui, on avance.

Comme là, moi qui vient vers toi. J’aime bien que tu parles de “renouveau”. Ca a l’air plus encourageant. La psy en parle souvent aussi. Rien ne s’efface et tout se transforme. Peut-être que ça marche aussi pour le corps ? Ces derniers temps on m’a plus touchée. Les médecins, vérifient que tout est fonctionnel. Mais en dehors de ça j’ai été protégée. Vivre ici m’a préservée. Je ne sursaute pas. Je n’ai pas peur.

« T’as raison oui.» Je me sens tout de même maladroite. J’ai eu beau essayer différentes choses. Je ne me sens pas encore à l’aise à toucher mon propre corps. Même me caresser dans le lit, ça ne marche pas. Il reste un étranger. Mais ta façon de faire ne me braque pas. C’est bien. Je ressens le chatouillement de l’envie. « Que tu me touches.» J’hoche de la tête. Je sais que j’ai envie que tes gestes ne soient pas les mêmes que pour soigner. Je prend ta main et je l’encourage à continuer lentement. Je ne sens pas le poids des autres mains pour le moment. Autant que l’on profite et qu’on avance. Iza respire. Il y a pas que ça. Il y a le désir de toi de ton corps à toi. Ca m’est arrivé dernièrement de vouloir t’épier. Comme une femme.

Oui j’ai envie d’aller boire l’eau qui retombe sur sa gorge et… Je le fais, je viens poser ma bouche contre ta peau mouillée. La texture de ta peau douce est merveilleuse. Je descend sur la nuque fraîche. Je viens plus contre toi. J’effleure tes côtés à travers ta chemise. Je sais pas si je sais encore faire. Encore toucher une femme et lui donner du plaisir. J’y vais sans parachute. « J’ai envie de toi.» A ce stade on l’a toutes les deux compris. Je viens en avant chercher tes yeux. Ce qui me fait peur ce n’est pas toi. C’est eux « Même que de se toucher comme ça. Mais te sentir..» Pour te le montrer, je colle mon nez contre ta peau, au niveau de ta gorge. Je dépose un baiser là. Je viens me coller contre toi. Je caresse ton dos. Je t’enlace entre mes bras. Et… tout va bien oui. Je retourne t’embrasser et cette fois j’ose plus. La langue, l’humidité, l’envie, mon coeur qui accélère.

Je suis avec toi. C’est toi. Rien que toi. Je cherche à soulever ta chemise. Je retrouver tes hanches, ta chute de rein, le haut de tes fesses. J’ai envie de sentir la douceur de ta peau. Un grincement de taule me fait sursauter sur place. J’inspire. Je sais que c’est parce que je suis à fleur de peau au maximum. Je remonte mes mains dans ton dos et le frotte lentement.

« Ca m’a manqué...» Ce n’est pas le sexe, ou en tous cas pas que le sexe. C’est une présence humaine bienveillante, la chaleur d’un corps, les caresses et les soupirs. J’ai crus, à un moment que je n’y aurais plus jamais droit. C'est peut-être pour ça que j'ai envie de me fondre dans ton corps rassurant. Je ne sais pas. J'en sais rien. Mais c'est bon de retrouver cette envie de l'autre. Je t'embrasse donc encore, plus passionnée, plus amoureuse.


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Je remonte le col de ma chemise par habitude. Je ne suis pas une femme féminine je l’ai jamais été, j’ai un style garçon manqué que j’assume. Ca ne m’empêche pas de porter des hauts qui montrent le peu de poitrine que j’ai mais mon style est clairement loin du tien. Et j’ai toujours été très sensible à ton charme. Tes petites robes, tes petits ensembles qui paraissent si sages alors qu’il n’en est rien quand on sait regarder. Et ce soir je trouve particulièrement belle, parce que je sais aussi l’effort que cela t’a demandé de mettre cette robe pour nous. Des choses que je ne voyais pas forcément avant car il aurait fallu que je m’intéresse à mes compagnes pour ça mais c’est le cas désormais. C’est le cas avec toi. Alors j’ai envie de toi, ça se voit mais je te laisse venir à moi et me dire ce que tu désires. C’est un renouveau pour toi comme pour moi. Voyons le bon côté des choses, jamais on se serait vu aussi amoureuses avant cette histoire car j’ai beau ne pas le dire clairement et tout fort c’est le sentiment que j’ai quand je suis avec toi…

Les mains posées sur tes hanches je viens t’embrasser doucement dans le cou. Je suis contre toi mais je ne te bloque pas pour que tu puisses te reculer si tu as besoin d’espace soudainement. Je sais que certains flashs te donnent ce réflexe et j’essaie au max de ne pas te contraindre du coup. Mais tu attires mes mains sur tes fesses et j’en soupire de plaisir, les caressant avec douceur en te serrant contre moi d’envie. Tes baisers me surprennent et m’attisent. Cela fait quelques temps que je me retiens de tout geste trop intime pour ne pas te brusquer mais avoir ton corps contre le mien au réveil, sous la douche, dans le canapé, me donnent beaucoup d’envie. Parfois j’imagine de longs moments de plaisir entre toi et moi quand tu es assoupie contre mon corps mais je me contente d’en fantasmer en restant sage parce que ce n’est pas le moment. Là c’est juste terrible de sentir tes baisers sur ma peau et je te serre un peu plus contre moi par réflexe, par envie. « Oh moi aussi… » J’ai terriblement envie de toi et plus tu pars a l’exploration de ce que tu peux encore faire et plus ça monte en moi.

Je t’observe quand tu viens chercher dans mes yeux le courage de continuer. Ils ne sont pas là y’a que toi et moi et personne d’autre et je laisserais personne te toucher désormais… Jamais… « Je peux te toucher ainsi toute la nuit… » Même plus encore tant que je peux te toucher et je viens poser ma main sur ta joue en répondant avec envie à ce baiser. Je redécouvre la sensualité de tes baisers, la saveur de ta bouche et j’en soupire en rendant l’échange encore plus passionné, trahissant le manque que j’ai de toi et surtout tout ce que je désire. Je viens te serrer un peu plus contre moi quand tu sursautes. « Je suis là » Comme depuis des mois, tu peux te détendre et je reviens t’embrasser longuement, mes lèvres descendant avec douceur dans ton cou « A moi aussi… » Ça m’a manqué et je me permets de faire glisser doucement le tissu qui couvre ton épaule pour la dévoiler, venant l’embrasser lentement. J’adore retrouver le grain de ta peau. Même si tu penses avoir beaucoup changé je retrouve la douceur de ta peau avec plaisir et je le murmure doucement. « T’es belle » Tellement et je viens embrasser le haut de ta poitrine que la chute du tissu a dévoilé, mes mains caressant avec douceur tes hanches et faisant remonter tout doucement ta robe.
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16.01.20 15:54
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Oui tu es là. Ce n’est que toi. Ce n’est que nous. Tu ne me feras pas de mal. Jamais. Ca je le sais. Tu ne me forcera pas. Tu ne m’intimideras pas non plus pour me prendre quelque-chose. Je ressens la fébrilité que tu maîtrises en toi. Je me souviens de ce que cela fait d’avoir envie de quelqu’un et de ne pas pouvoir assouvir l’envie. Je caresse ta joue.

« Merci.» C’est sorti tout seul. Je ne réfléchie pas. Je ne sais pas si c’est pour les soins que tu m’as fait, pour le temps que tu as pris, que tu prends encore. Pour ton respect de mon état que tu exprimes à l’instant. Mais oui, merci Rylee. Je crois que sans ton amour je ne serais pas arrivée à ça avant des années. Je ressens un frisson. Un premier et terrible frisson.

Puis le tissu qui frôle ma peau. Je me sens comme électrisée par cette simple sensation. C’est un peu comme si mon corps recherche le moindre signale de plaisir. Je ne saurais pas comment l’expliquer. Je tâte pour trouver les boutons de ta chemise. Mais sans avoir à quitter ta chaleur corporelle. Je défais de haut en bas sans regarder. Je frissonne encore à tes baisers. Je frisonne encore en sentant que ma robe remonte. Oui, j’ai envie que tu vois ce que je porte en dessous. Même avec les marques. Ce n’est pas grave.

« Toi encore plus.» J’ouvre ta chemise pour aller moi aussi embrasser ton épaule en diagonale. Je fais tomber complètement la chemise. J’embrasse à nouveau la zone. C’est rond, doux, vivant. Je caresse ta gorge, pour descendre lentement vers ta poitrine. La forme douce d’un de tes seins m’inspire tellement de choses. Je viens presser ma bouche contre ta gorge. Je masse délicatement ce sein dont j’ai rêvé pendant longtemps dans le noir. « J’y ai tellement pensé...» Je t’aide pour lever et retirer ma robe. Avec toi je n’ai pas été pudique. Maintenant que je commence à m’accepter physiquement c’est mieux. Je m’expose en lingerie. Je caresse tes cheveux mouillés. Je dépose un baiser, tendre, sur ta tempe. « J’ai bien choisi ? » Parce que j’ai hésité pendant une éternité devant la page de vente. Je ne sais plus ce qui me va ou pas. Tout ce que je veux là c’est que ça te plaise à toi, à tes yeux.

Je viens d’une main, plus bas, lentement pour effleurer ton ventre tendre. J’ai imaginé tellement de fois nos nuits à deux. C’est embrouillé dans ma mémoire. Mais je sais que c’était bon. Je reviens me coller contre toi. La sensation de notre peau à peau est délicieuse. Parce que cette fois, enfin, je suis apte à le sentir. Je caresse mon ventre contre le tiens. Je caresse ton visage, tes cheveux, ta nuque, de mes deux mains. J’ai beau te connaître, c’est une redécouverte. Toutes ces lignes, et ces courbes, et cette peau. J’approche mes lèvres, sans toucher encore les tiennes. C’est le plaisir de sentir l’aimant qui m’accroche à toi. Je comprends que je suis enfin dans un vrai rapport charnel. Je caresse doucement ta colonne vertébrale. Je veux être sensuelle à nouveau. Je viens doucement embrasser la naissance de tes seins à mon tour. J’ai tellement envie de te combler que tout le reste s’efface de mon esprit.


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Je souris au merci. Franchement tu n’as pas besoin de me remercier ma belle. Je fais ça parce que c’est toi et je continuerai à le faire. Je ne suis pas la plus douce et la plus cool. Je braque même assez facilement les personnes autour de moi et souvent les femmes car je suis un peu trop cash. J’ai déjà pris de belles vestes. A vrai dire on ne peut pas me supporter si on ne me connait pas un minimum. Toi c’est autre chose car t’avais quand même un peu envie de faire chier Zac alors tu es passée au dessus de ma lourdeur en drague et de ce que je suis capable de dire. Je sais que je suis un garçon manqué, je l’ai toujours été. Féministe ? Nop. Juste un corps de femme avec un esprit qui ne va pas toujours avec. C’est ainsi. Et puis un bon caractère que je me suis forgée depuis toute petite. Alors y’en a pas mal que j’aurais collé dans les pattes d’un psy avant d’aller voir ailleurs mais pas toi. Toi t’as fini par te faire une place dans ma vie avant même toute cette histoire. C’était toi qui voulais que je te sois fidèle, qui voulait venir squatter de plus en plus au hangar. Et je t’ai laissé t’installer. C’est bien pour ça que les mois où on t’a cherché ont été durs et que je ne risquais pas de te lâcher ensuite. Toi c’est juste autre chose. C’est… Toi.

Je ris quand tu réponds que je suis belle aussi, voir plus. « Y’a bien que toi pour me dire ça. » Mais ça me plait assez je dois dire. Je te laisse ôter ma chemise, appréciant de sentir tes mains sur moi et soupirant de plaisir à tes caresses. C’est tellement bon de te sentir ainsi envieuse, sensuelle, tout ce que tu es capable d’être. Je t’ai toujours trouvé terriblement séduisante. Tu sais faire tourner la tête en quelques secondes, tu sais obtenir ce que tu désires. En tout cas tu l’as toujours obtenu de moi. Que des choses que ton frère n’imagine même pas et qu’est ce que ça a pu me faire sourire que tu te laisses coincer au poste ou au détour d’un couloir à une soirée avec la bande. Toujours à me chercher et m’attiser, à jouer avec le feu que ton frère nous découvre. Et ça m’a amusé mais ce soir c’est tout a fait autre chose. J’ai l’impression qu’on se découvre réellement. Exit la séduction appuyée, ma brutalité. C’est juste nos peaux et toi et moi ensemble.

« Tu es magnifique… » Je te dévore des yeux quand ta robe tombe et vient de nouveau contre tes lèvres, ne résistant pas à murmurer, franche. « …Sexy et tellement … bonne » Ouais alors ça reste moi quand même, faut pas déconner. Je passe la main dans tes cheveux quand tu viens embrasser ma poitrine et savoure avant de te soulever dans mes bras, te laissant nouer tes jambes autour de ma taille alors que je te conduis vers notre lit. Je me penche pour que tu puisses t’y reposer doucement, virant mon pantalon avant de te rejoindre, me posant sur toi mais sans peser de tout mon poids pour ne pas te stresser. Je porte juste un boxer comme d’habitude, je suis rarement féminine dans ce genre de détails. Je le suis rarement tout court d’un autre côté. Mes baisers descendent doucement le long de ton corps, retrouvant chaque parcelle de ta peau longuement, ôtant tes sous vêtements jusqu’à me retrouver à embrasser tes cuisses. Je me doute ce que tu as subi mais il y a des choses que juste toi et moi nous partagions avant toute cette histoire et prendre tout mon temps pour te donner du plaisir de nouveau est un désir que je compte bien assouvir, remontant au creux de tes cuisses pour y perdre ma langue et retrouver tes soupirs.
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Je m’enroule autour de toi. Chaque pas que tu fais vers la zone chambre est un pas de plus vers une conquête commune. Je serre un peu plus fort mes bras autour de toi. J’espère tellement fort que mon esprit détraqué, ne va rien faire d’étrange ce soir. Je sens la gravité, la texture des draps propres. Je les aient changés ce matin. J’ai essayé de faire un beau lit en prévision de cette nuit. Je ne sais pas si c’est si important maintenant. Mais j’ai aimé mettre en place ces détails tout en pensant à toi.

On s’est vues nues tous les jours. Pourtant dans ce contexte là c’est différent. Je m’étends en te suivant des yeux pendant que tu viens au-dessus de moi. Je t’ai tout de suite trouvé féline. Ce n’est pas comme JB qui me fait penser à un chat protecteur. Ou à Zac comme un chat voyou. Toi tu es une panthère sauvage et j’ai mis du temps avant de pouvoir t’approcher. Et regarde nous ce soir. C’est toi qui viens dompter ma peur. Je trouve cela beau. Je me redresse juste assez pour embrasser la cicatrice toute neuve sur ta clavicule, avant de remonter quérir un baiser.

« Rylee ...» J’ai juste envie de te redire que je te trouve belle. Alors je ne dis rien. Je sens dans tes yeux l’envie que tu as. Le désir au fond de ta pupille me tord doucement le ventre. Je sens mon corps se tendre dans une attente. C’est quelque-chose d’étrange après autant de temps sans rien avoir ressenti. Pour me protéger, j’ai fini par déconnecter mon corps de mon esprit, quand ils arrivaient. C’était le seul moyen pour ne pas me tuer moi-même. Je m’étends lentement. Je retiens un peu mon souffle car je ne sais pas du tout comment mon corps va réagir. Je caresse tes cheveux alors que tu t’exerces sur ma peau. Une chair de poule me recouvre rapidement tout le corps. Je sens ma température monter d’un degré, quand tu retires ma lingerie. J’inspire pour détendre mes muscles. Surtout mes cuisses que j’ai encore du mal à détendre naturellement. Je ne veux pas bloquer. Je ne veux pas non plus que ma résistance puisse te blesser.

Des tes premiers coups de langues, je sens que quelque-chose se libère à l’intérieur de moi. Un mur interne qui commence à se fissurer lentement. Je sors un son étranglé de ma gorge. Je ne sais pas, si je geins de plaisir, ou si je pleure de soulagement. La sensation monte de mon ventre jusque dans ma colonne vertébrale. Le plaisir est là. Je le ressens. Je ne pensais pas vivre ça un jour à nouveau. Ca me semble miraculeux. Je penche la tête et la vue de ton corps, me fait un effet monstre. J’ai un hoquet de plaisir. Preuve que les lésions internes sont réparées. Mon sexe est sain. Il est encore traumatisé. Mais c’est la preuve que tout est possible. « Mon dieu» Je relâche la tête en arrière. Je malaxe doucement tes cheveux en réponse au plaisir offert. Ca fonctionne. Je sens mon corps revivre, se ranimer d’un vrai désir. J’ai chaud tellement chaud que le poêle est inutile.

Pendant de longues minutes, j'ai une petite crainte latente... qu'un souvenir mauvais remonte. Ce n'est que quand je relâche enfin cette tension interne que je vie complétement notre échange. Là tout devient doux, humide, chaud. Mon hyper sensibilité devient un cadeau.

Mon propre cri de libération me prend par surprise. La jouissance se diffuse et fait tomber une autre partie de mon rempart interne. Je relâche mon corps qui s’est agrippé au tiens pendant l’acte. Je plane. Je pleure aussi. « Viens ...» Je ne sais pas quoi dire d’autre. Je t’attends, je t’attire, pour t’embrasser. Le plaisir me rend fougueuse. Je n’ai plus envie de te lâcher, jamais. Une main tient tes cheveux. Tu es à moi. L’autre main te caresse avec une envie de plus en plus folle. Je détache ma bouche de la tienne uniquement pour te sourire au travers de mes larmes de joie. Je t’embrasse à nouveau. Doucement je baisse ton caleçon, caresse tes fesses, et lève mon bassin pour frotter nos intimités l’une à l’autre. J’ai un courant électrique de plaisir qui passe. Je crois que tu m’as doublement sauvée ma douce. Je cherche dans tes yeux comment te mettre dans le même état que le mien.


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Pour une fois dans ma vie je suis douce. Douce et tendre, n’ayant pas envie de te stresser, ayant juste envie que tu prennes du plaisir et que tu redécouvres ce que c’est que d’être aimé physiquement. Je reste à l’écoute de ton corps et de tes soupirs, espérant les entendre de nouveau. Je sens la raideur dans tes cuisses, ton stress et j’y vais aussi tranquillement que possible même si mon désir pour toi explose clairement. Cela fait des mois que je n’ai pas couché avec quelqu’un, que je m’endors et me réveille tous les jours à tes côtés et que je ne peux pas toucher aussi intimement ton corps. C’est frustrant et en même temps je respecte totalement cette longue période d’abstinence, sachant que tu en as besoin pour te retrouver. Et moi je me rends compte que, quoiqu’il se passe, la seule personne que je désire c’est toi alors je restais à l’affut de ce genre de demande. Et pourtant ce soir tu me surprends. Petit à petit tu as réappris à me faire confiance, j’ai pu te toucher de nouveau même si c’était juste pour te prendre la main. Les crises de panique se sont espacées pour être possible à calmer si on les sent venir avant. Ce sont d’énormes progrès même si tu trouves que ce n’est pas assez rapide.

Et ce soir on est de nouveau dans les draps de mon lit comme on l’était il y a de nombreux mois auparavant, même si cela n’a rien à voir. Je ne crois pas avoir été aussi douce avec toi lors de nos nombreuses nuits ensemble. Là c’est juste évident pour moi et quand je descends vers ton intimité j’y vais doucement, me préparant à remonter vers tes lèvres si jamais cela te dérange. Ton gémissement me surprend mais me ravie, m’encourageant à continuer, à retrouver les contours de ce corps que je connais si parfaitement. Mes mains caressent avec douceur tes cuisses, remontant jusqu’à ta poitrine alors que je reste à t’embrasser longuement jusqu’à ce que je sente ce courant passer dans tout ton corps, accueillant ton plaisir avec un sourire, appréciant de te sentir de nouveau si fougueuse et possessive en réponse à ce que je t’offre.

Je me fais pas prier pour remonter vers tes lèvres quand tu me le demandes, t’embrassant longuement, passionnément, allant murmurer ensuite à ton oreille. « Ça m’a manqué de t’entendre ainsi » T’es tellement belle quand tu prends ton pied et je te souris, t’aidant à virer le dernier tissu qui nous sépare, me redressant légèrement pour me frotter légèrement contre toi, échappant un soupir de plaisir. Mes yeux sont sombres de désir et de plaisir. On a mis du temps à se trouver toutes les deux. Tu es la frangine de Zac. Pire… sa jumelle alors je n’ai pas craqué tout de suite quand tu m’as cherché. Puis c’était surtout pour jouer, puis c’était peut être un peu plus et tu as disparu… Ce soir c’est encore autre chose et je viens t’embrasser de nouveau passionnément en soupirant contre tes lèvres, passant la main dans tes cheveux possessivement aussi, sans te lâcher des yeux. J’ai juste envie que le plaisir nous submerge en même temps pour nous retrouver et je ne demande rien de plus, accélérant légèrement la cadence jusqu’à taire mon gémissement d’extase contre tes lèvres. « Iza…. » C’est juste tellement bon de te retrouver…
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La voix que tu prends pour me faire ce compliment est diablement sexy à mon oreille. Elle agite une corde sensible dans mon cerveau. Maintenant, tout de suite, oui j’arrive à croire que je suis belle. J’arrive à penser que je ne suis plus cette femme qui a été séquestrée, abîmée, violée, jusqu’à demander la fin du supplice. Il y a un poids sur ma poitrine qui se soulève. Je respire. Enfin.

La promiscuité entre nos peaux, nos intimités surtout, fait réagir absolument tout mon épiderme. Je remonte mes mains le long de ton dos. Mes doigts s’enfoncent un peu dans ta peau alors qu’un léger spasme me prend par surprise. Je sens le liquide revenir entre mes cuisses. Tout ça c’est bien réel. C’est tellement réel. J’appuie ma bouche contre la tienne.

« Je suis là . » Je descend, glisse ma main entre nous et caresse ton pubis. J’effleure ton entre-cuisse. La main dérive sur la fesse pour la presser et l’attirer, provoquant d’autres frottements. Excitée par la sensation, je t’embrasse passionnément. Je t’attire, pour nous coller l’une contre l’autre et rouler ensemble. Je glisse au-dessus de toi. Je reviens prendre un baiser électrisée par la vue de ton corps fébrile. Je frotte mon nez au tient. J’ai envie de te faire tant de choses intimes que ça me réchauffe. « Je veux que tu es ton orgasme .» Je n’ai rien d’une dominante de nature. Ce n’est pas ça. C’est une envie, impérieuse, de te donner. Toi qui t’es donnée à mon bien être. Toi que j’aime. J’embrasse ta gorge, je descend à ta poitrine que je caresse. « J’ai eu des rêves érotiques .» Je te le confesse au creux de l’oreille. Puis je laisse courir ma bouche sur ton corps. J’embrasse, et lèche ton nombril. J’attrape tes jambes, les caressant. Je dépose un baiser sur l’intérieur de ta cuisse. J’y caresse mon nez. Je descend souffler sur ton sexe. C’est à mon tour de provoquer ton plaisir avec ma langue. Je l’agite pour ton extase.

C’est mille fois plus agréable que tout ce que les albanais m’ont fait faire. Je redécouvre ce que cela veut dire que le plaisir féminin. Je sais que je suis sans aucun doute un peu maladroite. Mais ta confiance en nous me libère de mes hantises. Je suis à l’écoute de ton corps. Une main venant presser un de tes seins. Les miens sont en pleine érection d’ailleurs. Je caresse la cuisse que je tiens encore, puis tes côtes qui surmontent. Que tu vois que ta patience a eu raison des montres.


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« Mais je t’ai » Je te fais un petit sourire. Tu es ce qui m’excite le plus et de loin alors je n’ai pas besoin de plus pour le moment, même si tes lèvres sont un vrai délice sur moi. J’échappe soupires et gémissements plus appuyés à tes actions, profitant totalement de ce moment de plaisir entre toi et moi. C’est tellement bon de te sentir aussi libre qu’à cet instant. Plus de tremblement, plus d’anxiété, plus de stress, je te retrouve tel que je t’ai quitté il y a de nombreux mois. Il faudra encore un peu de temps pour que tu reprennes totalement confiance en toi mais c’est déjà énorme comme progrès et je ne vais pas m’en plaindre. « Racontes moi ça » Parce que c’est avec plaisir que je te fais passer du rêve à la réalité vu que tu sembles plus que réactives à retrouver de bien agréables sensations.

Avec douceur, bien plus que je n’en donne normalement je reste un long moment contre ton corps à te faire l’amour, profitant de tes caresses avant de revenir te chercher pour que ce moment ne semble jamais s’arrêter. C’est là que je me rends compte que notre relation a changé, que j’ai aussi changé moi. Je n’aurais jamais envisagé d’être aussi à l’écoute de quelqu’un de ma vie. Comme quoi rien n’est perdu même si j’ai tendance à être officiellement aussi rude que d’habitude. Disons que face à toi je baisse ma garde et je sais au fond de moi que c’est à double tranchant car si jamais tu t’en vas les conséquences seront juste terribles. Aussi bien pour toi que pour notre entourage. Je gère très mal la déception, je l’ai hélas bien trop démontré même si tout le monde ne le sait pas forcément officiellement.

Le souffle court, le cœur battant encore rapidement, je caresse avec douceur ta peau, ayant remonté la couette sur nous pour que tu n’attrapes pas froid comme le hangar est toujours frais. Je ne sais pas combien de temps nous avons passé à nous retrouver, j’ai perdu la notion du temps dès que ta robe est tombée de toute façon. Je reste à embrasser ton cou avec douceur. « Tu crois que ce que tu as préparé se met sur un plateau ? » Par ce que franchement j’ai pas du tout envie de bouger là, on est bien dans le lit, nue l’une contre l’autre mais je sais que tu as passé du temps à préparer le repas alors j’essaie de faire des efforts. Admires…
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09.03.20 12:42
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J’aime les moments qui viennent après les jouissances. Le calme qui vient après l’ouragan des sens. C’est le refuge des voyageurs. Tu n’avais pas beaucoup de temps pour ça. Il y avait chaque fois autre chose à faire, une tâche à finir ou une autre à entreprendre. J’essayais de te retenir, ou de t’inciter à revenir. Mais il n’y avait pas grand résultat. J’en étais un peu frustrée, un peu déçue. Quand je t’ai proposé d’officialiser c’était en partie pour aller plus loin dans une intimité partagée. Je sais que ça te mettais dans un certain inconfort.

Alors, là j’ai la sensation de vivre autre-chose. Je me sens comme la bête qui cherche les siens. Ca fait des jours, des nuits que j’avais envie de ça. De pouvoir simplement me coller contre toi, avec ta chaleur, ta douceur. Je viens enfermer tes jambes entre les miennes.

« Oui... » Tes lèvres sur ma gorge me déconcentrent. Je n’arrive pas à penser plus loin que tes mains qui courent sur moi. Mes doigts qui peuvent toucher ta peau. Je viens à la conquête de ta bouche avec douceur, sans résister à la caresse de nos langues. J’en aurais des frissons. C’est du bonheur. Je souris en venant poser mon nez contre toi. « Je vais le faire. » Mais il faut trouver la motivation de m’éloigner de toi, de sortir de la langueur qui nous a gagnées. Je ne sais pas si je vais y arriver. Je déposer un baiser sur le haut de ta poitrine. Naturellement mes lèvres mon cueillir l’arrondi de ton mamelon. « Promet-moi de ne pas sortir de ce lit... ? » Je passe le pacte d’un regard. Je vais au bord du lit pour sortir. Woo il fait froid. Vite quelque-chose. J’attrape le premier habit que je vois. Je souris en sentant ton odeur dessus. Parfait.

Je piétine vite jusqu’à la cuisine. Je sors le plus grand plateau. Je réfléchie à la façon de faire pour que tout rentre. Je ne veux faire qu’un trajet. Je vais récupérer nos verres. Je prend le pain frais. Je transvase le plat principal dans deux gros bols. La présentation sera moins jolie. Tant pis! Je fais réchauffer le tout dans le microonde. J’en profite pour couper du pain. Qu’est-ce que je peux oublier ? Le cadeau. Je file prendre la boîte et je la cache derrière la bouteille. Je crois qu’il y a tout. Voilà!

« Service au lit!» Je pose le plateau bien à plat avant de monter. Je reviens sous la couette près de toi. Je vire mon haut. Parce que manger nue je trouve que c’est l’un des vrais bonheur de ce bas monde. Je tire le plateau vers nous. Je te tend ton verre. « Goûte...» Je te tends le pain aux blé noir. C’est Madie qui me l’a conseillé. On teste ensemble. Elle m’a aussi donné des astuces pour notre prochain brunch. Mais je garde ça pour plus tard. « La prochaine fois je nous fait tester du sucré salé. » Madeleine m’a proposé de me donner des petits cours pratique. Elle est gentille. Pour le moment je ne me le sens pas même pour ça. Mais c’est une idée.

Je mange tranquille, épaule contre épaule. Je profite de chaque excuse possible pour revenir te toucher. Ca me fait l’effet du début de notre relation. J’aime bien cet état foufou. Je ne m’attendais pas à ça. Mais, peut-être que passer à l’acte m’aide sur plus que ce que je le pensais. Si c’est ça, tant mieux.

« Une pause ?» Je pose une main sur ta joue, j’approche mon visage pour un baiser. Je prend un air malin en t'attirant vers le matelas pour te couvrir de baisers. C’est carrément immature. Je sais. Mais ça j’assume. Je suis bien trop contente de t’avoir là. Et puis on a toute la soirée devant nous. Ça c’est le meilleur. Je recommence à te caresser lentement en cherchant tes yeux.


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J’ai clairement pas du tout envie que tu bouges non plus, surtout en ayant ton corps chaud contre le mien mais force est de reconnaître que j’ai la dalle et que je sais bien que tu as préparé un festin comme tu t’es lancée à fond dans la cuisine depuis quelques temps. Je te garde donc encore un peu contre moi, embrassant ton cou avec envie, te dévorant du regard quand tu viens embrasser ma poitrine mais te laisse t’échapper dans une de mes fringues. Je ne te quitte pas vraiment des yeux en te voyant t’affairer dans le coin cuisine. De toute façon tout est ouvert dans le hangar, je n’ai jamais aimé les cloisons donc je peux continuer de te mater à loisir. Et je vais pas me gêner.

« C’est très bon » Pourtant je n’ai pas l’habitude de manger aussi « sainement » mais j’apprécie. Déjà parce que parce que tu t’en sors très bien mais en plus parce que ça te fait du bien de le faire. Double plaisir. Je vois le petit cadeau qui est sur le bord du plateau et fronce les sourcils en comprenant que c’est pour moi. Les présents et moi ça fait deux donc je vais pour ouvrir ma grande gueule mais vu le sourire que tu as, toute heureuse de me faire plaisir, je ravale ce que j’allais dire. Bon… Ce sera pour plus tard de dire des vacheries, ce n’est vraiment pas le soir. Ta gueule Rylee. Du coup je prends le présent et a un sourire en l’ouvrant, mon pouce passer sur un étui a cigarette métallique avec l’inscription « We are our own muses » dessus. « Merci beauté. T’en avais marre de mes étuis crades c’est ça ? » Enfin des trucs qui trainent dans tous mes fonds de poche quoi. Je viens t’embrasser longuement avant de continuer de manger.

Enfin continuer… Jusqu’à ce que tu décides que maintenant c’est mort et je me fais happer par tes lèvres, me retrouvant rapidement contre le matelas. « Mais t’es intenable ! » Mais ça me plait de te retrouver ainsi putain et je reprends le dessus en venant t’embrasser longuement, mes mains partant à la redécouverte de ton corps avec plaisir. Puisque tu sembles de nouveau si à l’aise, autant profiter de la soirée car on a des mois entiers à rattraper toutes les deux. J’ai bien dans l’idée de te laisser juste le temps de reprendre des forces de temps en temps.

//FIN//
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