AccueilDernières imagesRechercherMembresS'enregistrerConnexion

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Salut à toi guerrière ! + Louisa + ouvert
Invité
Salut à toi guerrière !
@”Louisa Lorca” & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]



Je sens la tension particulière dans l'hôpital. J’ai l’impression d’être revenu sur le terrain ennemi. Ca a été une vraie boucherie là-bas. Ca c’est clair. On a eu les premiers CR assez vite. Les Albanais ont mitraillé. Aux dernières nouvelles on a eu six blessés graves sur table l’opération. Ceux sont des hommes et des femmes qu’on peut connaître de vue. On sait pourquoi ils sont dans cet état… Je ne sais pas trop si les cas les plus grave passeront la nuit. Parfois, science ou pas, tout ce que l’on a c’est de l’espoir.

L’après-midi a été de la folie. On n’a pas arrêté. J’arrive enfin à dégager un peu de temps. Ca fait depuis qu’elle est dans le service que je veux passer la voir. J’ai appris qu’elle était chez nous par pur hasard. Mais, ça explique pourquoi elle ne répondait pas à mes derniers messages. J’enrage. Putain je suis en boule. La pauvre ! Je sais de quoi ces pourritures sont capables. Je sais ce qu’ils ont pu lui faire pour l’intimider. Je vais essayer d’aller lui changer les idées. Au moins ça...

Même si c’est interdit, je file acheter des pâtisseries en bas de la rue. J’arriverais bien à amadouer les filles. Peut-être même à les soudoyer s’il faut! C’est pour une bonne cause après tout. Un peu de douceur sucrée ça fait du bien à l’âme. C’est le premier des médocs selon moi. Je cache le sac sous ma veste et on y verra que du feu. Je vérifie une dernière fois sur le Registre. Qu’elle n’ait pas été transférée. Mais c’est bon : “Louisa Lorcas ch 301”. C’est bien, il lui ont mis une double lit. Mais y a personne d’autre d’entrée pour le moment.

Je frappe à la porte, trois coups secs. J’attends cinq bonnes secondes avant de pousser la poignée. La chambre est dans une semie obscurité. Le soleil est entrain de se coucher. La lumière décroisse par la fenêtre. J’entre à pas de loup. Je referme la porte dans le calme. Je sais que c’est important pour les patients. Tout grouille dans un service, tout le temps. Alors, le calme, la paix c’est rare. J’arrive au bon moment avant le repas.

_ Salut Louisa. Je vois qu’ils ont surélevés et bandés ses pieds. Je vois aussi qu’il y a une couverture en plus. Elle a l’air éreintée. Visiblement, il y a d’autres jeunes filles qui ont été mise en soin. Elles ont été retrouvées dans le hangar, séquestrées. Le service de l’Aide Sociale est passé les voir. Les dossiers ont été remplis. Maintenant, faut espérer que les familles sont encore là. Ce n’est pas toujours le cas pour des filles qui ont grandi en foyer… Enfin !

_ Je t’avais dit que je bossais ici. J’ai appris que tu étais dans le service. Je passe faire un “coucou”. Je tire la chaise à roulettes pour être à son côté. Je pose mon cul dessus. Je sors la sacoche sous la blouse. J’ai dit à Madeleine que c’est un cas de force majeur. Alors on a pris des grosses provisions. Je l’ouvre et je le met en évidence et accessible sur la table à roulettes. De quoi booster le moral ! C’est les meilleurs de la Ville ! Je lui souris au maximum. J’essaye de ne pas lui montrer que son état me foue un coup au coeur. Ca n’aide en rien. Je pose mes coudes sur mes genoux. Je l’observe. Je cherche son attention. Je croise son regard. Ah ma belle, tu n’as pas eu chance. Mais tu n’es pas toute seule. Je vais passer tous les jours. ... Comment tu te sens ? Je crois que c’est le plus important à demander. Ne serait-ce que pour qu’elle puisse pleurer un bon coup, ou crier, ou tout ce qui peut lui faire du bien. Alors, je lui souris et j’attends de savoir ce dont elle a besoin.

Eden Memories


Invité
avatar
Invité
17.03.20 11:18
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
Louisa avait le regard vide. Son cerveau repassait en boucle les derniers événements. L'adolescente n'était pas dans un bon état. Elle avait pris une balle perdu dans la jambe droite. Heureusement, la blessure n'était pas grave, entrainant juste un saignement important. Ce qui impactait considérablement l'adolescente, c'était ses pieds qui la lancinaient. Avec le froid et la peur, le sang avait arrêté de régulé les extrémités de ses doigts de pied. Alors que le sang régulait de nouveau l'ensemble de son corps, la douleur était terrible. Heureusement, Louisa était sous anti-douleur via une perfusion.

La salle était dans plongée dans une demis pénombre. Le silence régnait, seulement perturbé par le bruit des personnes passant dans les couloirs. Louisa était seule. Emily était partie pour faire sa déposition. Emily avait aussi été abimée, de façon très différente. Elle avait changé. Si auparavant, il y avait beaucoup de colère en elle, il y avait désormais une haine destructrice qui la consumait.

Quelqu'un toqua à la porte. Louisa sursauta. Elle avait peur. Si cet environnement n'était pas aussi hostile que le précédent, c'était tout de même un univers violent pour la jeune femme. On l'avait manipulé pour faire les soins. Elle avait aussi perdu toute liberté. Louisa était prisonnière. Si son état de santé lui aurait permis de filer en douce, l'adolescente serait parti de puis longtemps. Elle ne se sentait pas en sécurité ici.

L'homme finit par entrer, la saluant. Louisa mit quelques instants à reconnaître Sean, instant où le rythme cardiaque de l'adolescente remonta en flèche. Sean se posa, mettant en évidence des patisseris. Dans un autre cas, Louisa aurait souri,mais là, elle en était incapable. Lentement, l'adolescente leva les yeux vers Sean, croisant enfin son regard. Il avait gagné sa confiance le jour où il l'avait aidé.
C'était quelqu'un de bien. C'était aussi la première personne a entrer en contact avec elle, à part pour Emily et la police. Louisa n'avait pas de famille. Il n'y avait personne pour s'inquiétait pour elle.

A la question de Sean, Louisa resta dans le silence. Ce qu'elle ressentait ? De la peur, de l'angoisse, de la douleur. Tout ce qu'elle voulait, c'était fuir cet endroit. Depuis l'intervention de la police, Louisa était restée muette. Elle était incapable de parler. Les images de la fusillades repassaient en boucle dans sa tête. L'adolescente laissa son regard glisser sur le sol de la chambre. Les véritables blessures étaient peut-être plus mentales que physique.
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
17.03.20 12:36
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Salut à toi guerrière !
@”Louisa Lorca” & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Les secondes passent sans qu’un mot ne sorte de la bouche de Louisa. Je secoue la tête avec un sourire amical, pour lui faire comprendre que ça ne fait rien. Si elle n’a pas envie de parler. On ne parlera pas. Le silence me va aussi. Après l’attaque, celle qui m’a forcée à quitter l’uniforme, après celle-ci, moi aussi je me suis enfermé dans le silence. Je ne disais rien. Ca rendait Nathan et maman complètement fou. Mais moi, j’étais encore là-bas, sur place à vivre et revivre la même scène. Une boucle sans fin, à refaire les actions, à calculer.

Je lui adresse un sourire. Allez petite Lou. Je sais ce que c’est. Je sais aussi qu’elle va s’en sortir. Même si ce soir ça paraît totalement impossible d’oublier. Je sais qu’elle va réussir. Parce qu’elle est coriace. J’attrape une viennoiserie dans la sachet. Je croque dedans. Je n’ai rien mangé depuis onze heure avec cette journée de fous. Il fait faim. Peut-être que ça la motivera à regarder au moins ce que j’ai amené.

Je m’enfonce sur le fauteuil. Je me sers de mes pieds pour faire une lente rotation avec. J’observe les murs, les meubles, le gris. Quand j’ai commencé à travailler ici ça a été dur. Revoir tous les jours des chambre d'hôpital. Maintenant ça va mieux. Pas de visions. Après trois tour, je me lève, tranquille pour aller voir qu’elle est la vue d’ici. Je soulève le store et je regarde le parking géant. Il y a des gens qui vont et viennent.

_ Je pourrais t’amener des affaires. Les journées vont être longues sinon. Des magazines ? Je regarde dans sa direction, voir si elle fait signe que “oui” ou “non”. J’ai vue sur le dossier qu’elle est arrivée ici sans rien. Il faut que je me renseigne sur l’adresse de son foyer. Je peux y passer demain pour récupérer des trucs. C’est important d’avoir des choses à soi quand on est coincé ici.

Je reviens me poser. Je l’observe. Elle a grandement besoin de calme et de repos en priorité. Je ne vais pas rester longtemps. Je voudrais surtout qu’elle voit que je peux être un point d’appui. Quelqu’un qu’elle peut solliciter si elle en a envie. Pour l’instant, je ne suis pas franchement convaincue qu’elle oserait le faire.

_ Est-ce que tu serais d’accord pour que je te fasse une petite visite quotidienne ? Je souris. Je ne sais pas combien de temps elle va rester ici. Mais je serais là ça c’est sûr et certain. Ça me ferait plaisir de te tenir compagnie. Je peux amener ma guitare si tu veux ? Et puis d’ailleurs, même quand je ne suis pas là, tu peux demander après moi auprès des autres. Ils me connaissent. Je viendrais. Ok ? Je sais que ce n’est pas facile. Allez miss courage.

Eden Memories
Invité
avatar
Invité
17.03.20 17:45
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
Louisa était incapable de parler. Elle eut peur que Sean se mette en colère, mais ce ne fut pas le cas. Il lui fit un sourire puis resta silencieux. Ce n'était peut-être pas grand chose, mais c'était important pour Louisa. Elle n'était pas seule. Si les événements repassaient continuellement dans sa tête, elle avait l'impression d'être plus encrée dans le présent lorsqu'il était là. Que cette fusillade était vraiment derrière elle. Sean avait une auras rassurante. Lorsqu'il était là, Louisa se sentait en sécurité.

Après un moment, il lui posa une première question. Elle fit un simple non de la tête. Emily était là, elle allait s'en charger. Louisa savait qu'elle ne serait plus seule. Emily allait venir tout les jours et serait presque toujours là. Elles avaient besoin de se retrouver. Emily avait aussi beaucoup souffert. Elles allaient avoir besoin de temps.

A la question des visite quotidienne, Louisa répondit positivement par un hochement de tête. La présence de Sean lui faisait du bien. Elle aurait voulu lui parler d'Emily, lui dire qu'elle risquait d'être exécrable avec lui, mais elle n'en fut pas capable. Emily n'appréciait pas les hommes de base, mais ce trait de caractère s'était gravement accentué. Louisa était inquiète. S'ils se croisaient, alors Emily risquait de sauter sur Sean pour le faire sortir de la pièce. C'était son amie, Louisa aimait Emily de façon inconditionnelle, mais elle savait qu'elle risquait d'être violente. Une pique d'angoisse se fit sentir, puis laissa place à de la panique. Louisa n'arrivait pas à maitriser ses émotions. Elle aurait voulu dire quelque chose, mais les mots se bloquèrent dans sa gorge. Des larmes remontèrent. Elle secoua la tête négativement aux différentes questions de Sean. Ce n'était pas qu'elle ne voulait pas qu'il vienne, mais elle avait peur. Elle ne supportait plus la violence... Emily risquait de péter un câble.

Louisa remonta ses mains jusqu'à ses yeux, balayant les larmes qui coulaient. Puis elle finit par regarder de nouveau Sean. L'adolescente aurait voulu lui expliquer. Incapable de parler, elle posa sa main vers lui et ouvrit ses doigts, l'invitant à mettre sa main dans la sienne. Louisa ne voulait pas le repousser, elle avait besoin de lui. Elle avait besoin de se contact rassurant. L'adolescente voulait qu'il reste, même si ce n'était pour ne rien dire. Sa présence lui suffisait. Elle avait peur dans cet hôpital. Elle se sentait prisonnière et à la merci du personnel soignant. Louisa essaya de sourire.
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
18.03.20 18:49
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Salut à toi guerrière !
@”Louisa Lorca” & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Des larmes se pointent au coin des yeux de la jeune fille. Je soulève la chaise pour la rapprocher davantage du bord du lit en signe de soutien. C’est tout ce que je peux faire maintenant, là, pour qu’elle sente qu’elle n’est pas toute seule. Je vois sous les larmes, l’angoisse. Un sentiment normal quand on vient de subir séquestration, violence, menace, peur de mourir. Nous les soldats passons tous par ces états à un moment du parcours.

_ Je sais Louisa. … Je sais. Chaque chose en son temps demoiselle. On ne peut pas aller plus vite que le train. D’abord le corps reprend des forces indispensables. Ensuite, on s’occupe de la tête. C’est comme ça que marche. je vois son mouvement du coin de l’oeil. Ca c’est un premier signe qu’elle s’en sortira. Lentement je vais poser ma paluche sur la sienne. J’essaye de ne pas être bourrin. Il est clair qu’elle est fragile là. Y a rien qui presse. Ok ? Ca viendra quand ça viendra. Il faut mieux le dire clairement qu’elle ne se mettre aucune pression interne.

Je reviens dans le silence d’accompagnateur. Je n’ai pas besoin de bouger. Je sais qu’une présence humaine et bienveillante peut apporter le réconfort. Ce calme, cette paix étrange est ponctuée par la vie de l'hôpital. Je reconnais parfois des voix des infirmières qui passent devant nous. Le temps s’étire un peu dans cette chambre.

L’alarme de mon téléphone retentit dans la pièce. Je glisse un sourire à Louisa avant de regarder. Ah. Bon eh bien la pause est finie. On a besoin de moi. Je range l’appareil dans ma poche.

_ Je te contacterais par la ligne fixe ici. Je l’observe. J’imagine qu’elle n’a plus rien avec elle. Tu veux que je t’apporte un téléphone portable ? Que tu sois tranquille pour appeler ? Je lâche doucement sa main en lui souriant. Je fais le tour du lit pour vérifier que les sondes et les machines vont biens. Tout est Ok. Parfait.

_ Je ne sais pas trop mes horaires. C’est un peu le chaos. Mais je fais au mieux. Et puis tu n’oublie pas ? Si besoin je débarque. Je viens rapidement déposer un baiser sur son front. Il faut que j’y aille. Allez. Je file. Je traverse la pièce. Au moment où j’ouvre la porte je tombe nez à nez avec une jeune femme. Oh bonjour. Je dois y aller. Prenez soin d’elle. A plus tard Louisa ! Et on est reparti dans l'tourbillon !

Eden Memories

Invité
avatar
Invité
21.03.20 10:59
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
La présence de Sean apaisée Louisa. Il était calme. Il n'essayait pas de la faire parler. C'était tout ce qu'elle avait besoin. Malgré le silence de l'hôpital, l'adolescente avait l'impression d'entendre de nouveau la fusillade. Elle revoyait cette scène, en boucle. Celle de la flic ouvrant la porte, le corps soudainement déchiré par un coup de fusil. Un flash lumineux et assourdissant. La flic s'était vidée de son sang a une vitesse terrible. Louisa revoyait le sang... Tout ce sang. Qui aurait pu être le sien. Ces souvenirs la faisaient tremblés.

Sean finit par venir poser délicatement sa main dans celle de l'adolescente. Contact simple, mais qui démontrait la confiance qu'avait Louisa en Sean. Il l'a rassuré. Incapable de fermer les yeux, Louisa laissait son regard divaguer dans le vide. Avec son contact physique, elle avait l'impression d'être un peu plus ancré dans le présent.

La sonnerie du téléphone fit sursauter Louisa. Elle avait l'impression que le temps de passait pas ici. Qu'elle allait resté enfermée ici. A la question de Sean pour le téléphone portable, elle fit un non de la tête. Elle n'avait pas besoin de portable. Elle avait Emily et c'était suffisant. Sean finit par se lever, à regarder si tout fonctionner bien. Louisa avait hâte de partir d'ici. Elle se sentait emprisonnée. Ce n'était pas lieu où elle se sentait en sécurité. Elle partirait dès qu'elle le pourrait, c'était certain.

Avant de partir, Sean s'approcha et posa un rapide baisé sur le front de l'adolescente. Elle n'avait pas peur. Alors qu'il s'en allait, Louisa voulu lui demander de rester. Mais les mots n'arrivaient toujours pas à sortir. Elle avait déjà eut de la chance qu'il soit venu. C'était gentil, vraiment gentil. Elle savait qu'elle pouvait compter sur lui. C'était un bon point.

Alors que Sean était en train d'ouvrir la porte, elle l'entendit saluer quelqu'un. Elle se crispa immédiatement. Des sentiments de peur, de panique et d'angoisse se firent de nouveau sentir. Louisa savait que ça allait mal se passer. Elle essaya de se redresser mais c'était peine perdu. Elle avait retrouvé la place de témoin, incapable d'agir par rapport à la scène qui se déroulait sous ses yeux. Emily allait mal et Louisa était prête à tout lui pardonner... Mais cela ne serait pas le cas de tout le monde. Elle ne voulait pas que ça parte en bagarre et pourtant... Il ne semblait pas avoir d'autres solutions possibles.
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
21.03.20 16:49
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Emily Jones
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
FACE IDENTITY : Annalise Basso
IDENTITE : Emily Jones
GROUPE : London people
RANG : ici
AGE : 20 ans
ETAT CIVIL : célibataire
PROFESSION : /
ETAT DE SANTE : affaiblie physiquement, brisée psychologiquement
LIENS : Meilleur amie (voir plus ?) et protectrice de Louisa


Emily avait le visage de quelqu'un qui avait avait traversé quelque chose de terrible. Ses yeux avaient perdu de leur éclat. Il y avait quelque chose de cassée en elle. Quelque chose qui ne pourrait pas être réparé. Elle avait les joues creuses et seulement de la peau sur les os. Elle avait connu la faim et la soif. Mais ce n'était pas ce qui l'avait le plus abimé. Son corps était marqué. Ils avaient gravé dans son cou les signes de son appartenance à la mafia albanaise en tant que prostituée. Emily avait des vêtements amples, mais on pouvat voir des bleus sur ses poignets et avant bras. Emily s'était battu chaque jour, et ils l'avaient maitrisés.

Emily avait été contrainte d'aller au commissariat, d'avoir un rendez-vous avec un médecin. Elle avait tout expédié le plus rapidement possible. Elle voulait retrouver son amie, qu'elle savait en détresse. L'aura de la jeune femme transpirait non mais pas de colère, mais de haine brute. Emily n'avait aucune confiance dans la police, ni dans la justice des hommes et surtout dans les hommes tout court. Auparavant, Emily était une jeune femme qui n'appréciait les hommes, aujourd'hui elle était totalement misandre. Elle classait tout les mecs comme des prédateurs. Ce qu'ils avaient été pour elle.

Les choses ne tournaient plus très rond dans son esprit. Il y avait trop de haine et de souffrance. Elle savait, elle savait qu'elle se vengerait. Elle retrouverait tout ceux qui lui avaient fait du mal. Elle allait les faire payer, les faire souffrir le plus longtemps possible. C'était cette haine destructrice qui lui permettait d'être encore debout. Emily ne respirait plus pour vivre, mais pour se venger... Elle, mais aussi les femmes en générale. Ils allaient payer. Elle ne laisserait plus personne souffrir, en particulier Louisa. C'était son amie, son point d'encrage. Elle la savait fragile, isolée, et aujourd'hui coincée dans un lit d'hôpital. Comme toujours, Emily allait continuer de la protéger. Elle la savait fidèle et loyale. Louisa la suivrait jusqu'à bout, elle le savait.

Alors, quand Emily vit Sean sortir de la chambre de Louisa, son sang se mit à bouillir. Elle avait la haine. Il avait l'air détendu, comme si tout allait bien, alors que c'était qu'un mec parmi d'autre. Emily ne prit pas le temps de réfléchir, l'attrapant par le col et le plaquant violemment contre le mur. Emily était plus petite, moins musclée que Sean, mais la haine lui donnait une force insoupçonnée. Sans compter l'effet de surprise. "Si tu l'as touché, je te retrouve et je t'égorge.". Emily n'avait pas crié, annonçant seulement à voix haute une vérité. Les choses allaient changer.

.


[url=""]Fiche PNJ[/url]
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
21.03.20 17:58
Revenir en haut Aller en bas
Dispatch

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Salut à toi guerrière ft. Louisa Lorca & co
On pouvait dire une chose: le crime ne dort jamais. Et si cela avait toujours été vrai, surtout à Londres, il fallait bien avouer que dernièrement Eileen avait du pain sur la planche. Entre Jack 2.0, l’attentat à la bombe sur l’université et maintenant cette affaire avec les albanais, iel ne savait plus trop où donner de la tête. Même s’il fallait bien l’avouer, le dernier cas, iel l’avait demandé. Comment la blâmer pourtant ? Après tout l’homme qu’iel considérait comme son grand-frère avait été plus que fichtrement malmené dans l’affaire, pour la faire courte. Même Zac s’était pris une balle.

Et puis il y avait cette Louisa Lorca.

A peine majeure et déjà une sacrée vie de merde. Son dossier personnel était déjà plus épais que bien d’autres. Pourtant, aussi à cheval soit-iel sur les règles, Eileen ne trouvait pas en iel moyen de blâmer la jeune femme. Avec une histoire aussi sordide que la sienne, c’était sans doute le chemin le plus simple. Si par simple, on entendait qu’une vie de galères était simple.

En bref, que des personnes qu’Eileen aurait souhaité protéger. Et si iel n’avait pu en aider aucun d’eux au moment des faits, iel comptait bien y remédier. De la seule façon qu’il lui restait de le faire : faire poursuivre et arrêter les hommes qu’ils avaient attrapés et tous ceux mêlé à l’affaire. De près ou de loin.

Néanmoins pour se faire, il était nécessaire qu’iel récupère les témoignages des victimes. A commencer par la dite-demoiselle qui, au vue de son dossier, risquait de ne pas rester bien longtemps dans les parages. Il fallait donc faire vite.

Un sachet à la main, son badge à la taille et des cernes sous les yeux, Eileen se rendit d’abord à l’accueil avant de se diriger vers la chambre que venait de lui indiquer Desmond. Le chemin n’était pas très long et bientôt iel tourna pour arriver... sur ce qui semblait être une altercation.

Une jeune femme tenait Sean plaqué contre le mur, le maintenant par le col. A voir la taille de la demoiselle, pour réussir pareil démonstration de force, elle avait dû prendre l’ambulancier par surprise. Et la colère ne devait pas être sans aider, à voir les mots qu’elle lui crachait au visage.

Lâchant son sac au sol dans la seconde, l’Inspectrice intervint. Iel avait être encore plus petite que l’attaquante, iel n’en était pas moins entrainée. L’attrapant dans une clé de bras, iel la fit lâcher sa proie avant de reculer, en la maintenant toujours.

▬ On peut savoir ce qu’il se passe, exactement ?


code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


Dispatch
Dispatch
MJ
Messages : 632
Date d'inscription : 04/03/2019
Localisation : Londres
24.03.20 11:05
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Salut à toi guerrière !
@”Louisa Lorca” & [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Eh bien non ! La force de la jeune fille me prend de court. En une fraction de seconde mes réflexes répondent à l’agression physique. Mon cerveau envoie un message de contre attaque. HEUREUSEMENT que je ne suis pas en état de guerre depuis un moment. Je retiens mes mains, crispants les doigts pour bloquer mon geste de défense. Je sais très bien que je pèse au moins trente-cinq kilos de plus qu’elle. Que je suis formé. Je peux l’envoyer au sol en une prise.

Mais à son attitude, j’ai compris. Je suis devant Emily. La fameuse Emily. La jeune femme que Louisa a cherché pendant des mois. Ce n’est donc pas une ennemie. D’accord, à l’entendre, ce n’est pas une alliée non plus. Je ne vais pas lui faire du mal. Cette fille réagit par intinct de protection comme une soeur. Je sais ce que c’est. A sa place j’aurais probablement fait la même chose.

_ Okay. Emily ? C’est ça ? Je n’ai pas le temps d’en dire plus. La jeune femme s s’écarte. En fait, non, elle est éloignée de moi. Je baisse les bras en voyant Eileen lui faire une clef de bras ultra-efficace. Encore une fois la preuve que la force n’est pas que dans le poids Miller.

_ Un malentendu. Emily protège Louisa… De tout ce qui est masculin. Je fixe la rouquine franchement désolé pour elle qu’elle se retrouve dans cette position. Surtout que j’ai eu des échos. Les filles séquestrées par les albanais ont eu la vie dure. Très dure. J’allais repartir. Ce que je dis autant aux une que aux autres. Sait-on jamais si cela peut apaiser Emily. J’ai peu d’espoir. Oh et heu, Salut Eileen. Merci. C’est une façon franchement cocasse de se croiser. Déjà que en général c’est assez mouvementé, quand on est sur le terrain. Il faut croire que ça va le rester.

Je lui adresse un sourire amical. Malgré la situation, c’est sympa de la revoir. Elle fait partie des agents avec qui on peut bien bosser quand on est sur le terrain. Parce que tout simplement, elle nous traite d’égal à égal. Et ça ça fait plaisir.

_ Louisa ? Je suis désolé. Tu lui diras quand elle pourra écouter ? Bon moi, il vaut mieux que je parte et que je laisse ces trois WonderWoman entre elles hein. Je sens bien que je ne suis plus en position de force. Quelque part temps mieux. Alala quelle drôle de journée ! J’adresse un sourire encourageant à Lou. Je glisse un regard navré à sa copine. Je fini par Miss Andarsan avec un sourire plus amusé. Je serais bien resté! Mais je dois y retourner. C’est le bazar aujourd'hui. Mais même si on m'attend, je m'attarde encore là. Je veux seulement être sûre qu'Eileen ne va pas avoir besoin d'assistance avec la pauvre furie. Je reste sue le qui-vive.

Eden Memories

Invité
avatar
Invité
24.03.20 19:30
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
Louisa avait peur. Elle ne voulait pas que ça se passe mal. Elle aimait Emily. Elle appréciait Sean. C'était deux personnes importantes pour elle... Mais elle ne pouvait pas agir, coincée au fonds de ce lit d'hôpital. Louisa ne pouvait pas intervenir. Elle était réduite au rang de simple spectateur. C'était insuportable. Louisa vit Emily se jeter sur Sean, le planquant contre le mur. C'était violent.

Alors qu'Emily était en train de s'attaquer à Sean, une troisième personne fit apparition. Une femme de petite taille, attrapant Emily et la faisant lâcher prise. Louisa voyait bien que son amie bouillonnait. Sean enchaina, expliquant puis finit par adresser la parole à l'adolescente. Mais l'ambulancier avait toute la bonne volonté du monde, Louisa doutait qu'Emily puisse entendre qu'il était désolé. Son amie avait trop mal, avait trop de colère en elle pour un jour pouvoir entendre ce genre de propos. Le côté absolue d'Emily faisait peur à Louisa... Cette haine risquait d'amener Emily à faire des conneries. Dans le passé, c'est ce qu'avait fait l'adolescente. C'est ce qui lui avait valu deux de centre fermé. Mais aujourd'hui la situation n'était pas la même, elle était pire.

Louisa voyait bien qu'Emily risquait d'exploser. Elle essaya d'intervenir mais sa voix se bloqua au fonds de sa gorge. L'adolescente sentie que les larmes remontaient. Elle était inutile, encore une fois. Ce sentiment l'écrasa violemment. Louisa avait l'impression d'étouffer. Elle ramena ses mains sur ses yeux puis sur sa gorge. L'adolescente se faisait violence, essayant de se calmer intérieurement, de dépasser la situation. Certains traversés la manche à la nage, sauvés des vies, réalisés des miracles... Louisa essayait juste de retrouver la parole. Il fallait qu'elle intervienne.

Le visage remplit de larmes, elle finit par se tourner vers Emily, la suppliant silencieusement de se calmer. Louisa était incapable de murmurer et de parler. Sa respiration se bloqua, tendit qu'elle luttait pour ne pas tomber dans une panique irrationnelle. Pourquoi les choses se passaient si mal ? Louisa avait l'impression que sa vie ne résumait qu'à sombrer. Mais si Louisa était incapable de parler, elle était capable de crier "Emily !" Ayant tout son intention, Louisa enchaine, parlant trop vite et avec détresse "arrête, arrête, arrête... Tout va bien... S'il te plait, arrête.". C'était son amie, jamais elle ne la laisserai tomber. Mais il fallait qu'elle se calme. Il fallait que la violence cesse. Louisa avait besoin de calme et de sécurité...
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
30.03.20 22:02
Revenir en haut Aller en bas
Louisa Lorca
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Emily Jones
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
FACE IDENTITY : Annalise Basso
IDENTITE : Emily Jones
GROUPE : London people
RANG : ici
AGE : 20 ans
ETAT CIVIL : célibataire
PROFESSION : /
ETAT DE SANTE : affaiblie physiquement, brisée psychologiquement
LIENS : Meilleur amie (voir plus ?) et protectrice de Louisa


Emily était enragée. La haine la rendait aveugle. Maitrisée par Eileen, la jeune femme ne se laissa pas faire. Bouger amplifiée la douleur de la clef de bras, mais cela ne l'arrêtait pas. Son cerveau était cassée. Véritable animal blessé, Emily ne se maitrisait plus. Elle n'écoutait pas, n'entendait plus. La rousse avait la mâchoire serrée, les yeux fermés. Elle se débattait mais n'arrivait pas à se libérer de la prise de la flic. Sourde à ce qu'ils disaient, elle grogna "Lache-moi.". Puis elle secoua la tête, appuya sur ses pieds pour essayer de les faire basculer. "LACHE-MOI !". Les cheveux partant dans tout les sens, Emily n'était plus qu'une boule de haine. "PUTAIN, MAIS LACHE MOI!". La rousse finit par laisser échapper un cris de douleur, elle se faisait mal en se débattant. Emily en tremblait, ne supportant pas de faire immobiliser.

Le cris de Louisa l'immobilisa. La jeune femme releva la tête vers son amie. Son coeur se serra un peu plus en voyant les larmes. Le contact visuel, mais aussi les paroles de son amie fit redescendre Emily. Elle se figea, tremblante, puis arrêta de se débattre. La jeune femme était toujours en colère, et elle le serait toujours, mais le niveau avait baissé. Son mental reprenait doucement le dessus sur cette colère sourde. Il fallait qu'elle se calme. Emily baissa la tête, se concentrant sur sa respiration. La priorité était de retrouver sa liberté. Et même si Emily était bouffait par ses sentiments, elle s'était rien rendu compte que se débattre ne servait à rien. Après un long moment, elle affirma "Je te promet de rester calme. Lâche-moi.'. Son ton était toujours agressif, mais plus modéré.

Emily sentit la colère remontait, elle demanda "Mais t'es qui ?". Un membre du personnel médical ? La jeune femme finit par de nouveau baisser la tête. Elle serra les dents, puis expliqua "Je vais juste aller voir Louisa. C'est mon amie... Vous pouvez pas m'empêcher de la voir.". Emily respirait par à coup, mais reprenait peu à peu un rythme de respiration normal. Elle se justifia "Je l'a protège. C'est tout.". La rousse se referma ensuite dans le silence, attendant la réponse de son assaillant. Elle espérait qu'il la libère, sinon elle trouverait un moyen de s'en sortir. Emily avait survécu au pire, elle trouverait un moyen de se libérer.

.


[url=""]Fiche PNJ[/url]
Louisa Lorca
Louisa Lorca
LONDON PEOPLE
Messages : 857
Date d'inscription : 17/10/2019
Localisation : Londres
Profession : travaille officiellement comme livreuse, officieusement elle enquête sur de mystérieux individus
Etat Civil : seule
30.03.20 22:28
Revenir en haut Aller en bas
Dispatch

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Salut à toi guerrière ft. Louisa Lorca & co
Un ambulancier, une furie et une flic étaient dans n couloir. Cette histoire aurait pu donner lieu à une blague franchement nulle mais c’était loin d’être le cas. On aurait même plutôt pu parler de drame que de comédie. D’autant plus quand tous les partis impliqués ignoraient tous les uns des autres. Si cela avait été autrement, peut-être Eileen aurait-iel évité d’immobiliser la jeune femme qui avait plaqué Miller au mur. Peut-être aussi l’aurait-elle libéré de son emprise, lui évitant de se faire mal en tachant de le faire par elle-même. Peut-être même auraient-ils pu éviter de mettre Ms. Lorca dans des états de stress, après tous ceux qu’elle avait déjà vécu. Ce n’était cependant pas le cas, et ses reflexe de policier avaient pris le dessus ; non sans demander une explication pour autant.

Alors que la jeune femme se débattait toujours comme avec le Diable au corps, les cris de Louisa stoppèrent tout le monde net. La colère de la rouquine descendit d’un cran, permettant à Eileen de relâcher légèrement se prise. Sean ne tarda pas à lui expliquer qu’il ne s’agissait que d’un malentendu. Qu’Emily – qui devait être le nom de l’assaillante – protégeait Louisa. Et avant qu’iel ne puisse se demander pourquoi elle s’en était donc pris à lui, il lui apporta la réponse. C’était un homme. Ce n’était sans doute pas une explication suffisante en soi, mais cela eut au moins le mérite de finir de faire relâcher sa prise à l’Inspectrice.

▬ Salut Miller ; tu ferais bien de filer en effet, je m’occupe du reste, commença-t-iel en se frottant les poignets. Lorsqu’il fut suffisamment éloigné, iel se reconcentra entièrement sur la dite-Emily qu’iel n’avait jamais vraiment quitté du regard. Je n’ai pas l’intention de vous empêcher de voir votre amie, mais vous ne pouvez pas agresser comme ça des gens. Le ton de l’Inspectrice était doux, sans être infantilisant. Malgré son manque de tact légendaire, Iel avait l’habitude de parler à des victimes, et Emily lui en avait tout l’air. Allez, suivez-moi, je crois que votre amie a besoin de vous.

Récupérant son sachet plastique, iel vérifia que rien ne s’était renversé avant de rentrer à son tour dans la chambre. Iel s’approcha tranquillement du lit, observant à la fois la rousse et la blonde.

▬ Bonjour, je suis l’Inspectrice Andarsan, mais vous pouvez m’appeler Eileen. Je suis une très bonne amie de JB. Et la personne qui va prendre votre témoignage. expliqua-t-iel, toujours en tachant d’apaiser l’ambiance électrique. Je sais que vous n’avez sans doute pas envie de parler de tout ce qu’il est passé tout de suite, je viens donc seulement me présenter pour commencer. L’inspectrice sortit ensuite du sac plastique un Tupperware qu’iel posa sur la table en face de Louisa. C’est de la soupe de poulet. Je sais que la nourriture ici n’est pas… la plus fameuse. Et ma grand-mère disait toujours que sa recette pouvait soulager tous les maux. Levant le sachet pour montrer un deuxième centenaire à l’intérieur, iel ajouta : J’en ai amené un pour JB aussi.

Après tout, si son frère de cœur allait manger la même chose et que la jeune femme avait maintenant avec lui un lien spécial, peut-être aurait-elle plus rapidement confiance en Eileen. Ou du moins sa soupe de poulet. C’était encore une théorie à prouver du moins.


code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


Dispatch
Dispatch
MJ
Messages : 632
Date d'inscription : 04/03/2019
Localisation : Londres
15.04.20 17:48
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: