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[CLOS] /!\ Famille [im]parfaite - PV Maddison
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Alexandre toqua à la porte puis entra dans la chambre de ses garçons. "Allez, il est tard, c'est l'extinction des feux.". Finn était en train de lire un bd et Drew un roman. Al' eut un sourire. Qu'est-ce qu'il aimait ses gosses. Le flic attendit que les deux aient rangés leurs affaires avant d'éteindre la lumière et de laisser la porte entrouverte. Ils avaient beau être grands, ils avaient encore besoin d'entendre les bruits de la maison et d'avoir la lumière du couloir. Alexandre les laissa tranquille avant de toquer à la porte de son ainée "Alison, faut dormir maintenant.". Il ouvrit la porte et vit sa fille avec son téléphone portable, elle le cacha précipitamment "Papa t'es relou !". Al' soupira "Oui, je sais, je suis un père cruel". Sa petite lui lança un regard noir. Alison était rentrée dans une phase où tout ce qu'il disait été sujet conflit. Intérieurement, il se fit la réflexion qu'il avait tout de même de la chance. Alison était bien loin de l'ado infect qu'il avait été. L'adolescente rangea son téléphone avant de se cacher sous sa couette. Al eut un sourire "Allez, bonne nuit.". Puis il ferma la porte et descendit les escaliers. Alexandre était apaisé et heureux.

Au rez-de-chaussé, Maddison était toujours en train de travailler. Le pc portable sur la table de la cuisine, un traitement de texte défilé sous ses yeux. Al' l'informa "Les petits sont couchés.". Ils ne dormaient pas encore. Al' savait qu'il risquait de remonter faire la police... Ce n'était pas parce que les gamins étaient couchés qu'ils allaient dormir. Les garçons étaient tranquilles, mais la plus grande moins. Alexandre passa dans le dos de sa compagne, l'embrassant sur la joue "Tu devrais arrêter de bosser, t'es pas au bureau là.". C'était facile pour lui de dire ça, surtout alors qu'il était en congé maladie à cause de l'état de sa main. La raison de la blessure était ridicule, mais cela lui avait permis de passer plus de temps à la maison... Et de voir que quelque chose clochait.

Alexandre prit une chaise et se posa près de sa compagne. Il avait mis un coude sur la table, il se tenait la tête, il était totalement relâché. Le flic prit le temps de la regarder. Même après tout ce temps, Al' était toujours très amoureux d'elle. Leur couple avait eut des hauts et des bas. Ils s'étaient disputés, parfois très violemment, mais il l'aimait toujours. "Maddison... Tu sais que t'es belle ?". Un sourire sur les lèvres, il se rapprocha d'elle, posant sa main blessée dans sa direction. "Tu te comporte bizarrement en ce moment... Est-ce que ça va ? Est-ce qu'il se passe quelque chose ?". Elle avocate, lui flic, il y avait largement de quoi avoir des ennuis. Maddison avait menti plusieurs reprises, en disant qu'elle était à la maison alors qu'elle ne l'était pas. Ce n'était pas son style. La sensation de ne pas tout savoir rendait Alex' mal à l'aise. Il avait aussi peur qu'elle ait pu rencontrer quelqu'un d'autre... Auparavant Al' aurait été beaucoup plus incisif et serait entré en colère beaucoup plus rapidement, mais le flic s'était calmé avec le temps. Il faisait entièrement confiance à Maddison et lui laissait le bénéfice du doute. Il y avait forcément une explication.

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20.03.20 11:25
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MADDISON DRAKE
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FACE IDENTITY : Lena Headey
IDENTITE : Maddison Drake
GROUPE : Objection
AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
PROFESSION : Avocate (Accusation)
ETAT DE SANTE : Correct
LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.


Je te laisse gérer les petits. Puisque tu es en convalescence j’en profite pour boucler des dossiers sur lesquels j’ai pris du retard. Il y a tellement de travail en ce moment et de lourdes pressions sur les épaules des avocats. Quand je vois que même une avocate de la défense comme Jessica a trouvé le moyen de se faire attaquer -ce qui me fait jubiler je dois bien avouer- autant dire que les menaces dont on est la cible sont nombreuses et ce n’est pas toujours facile de travailler dans ces conditions. J’ai toujours trouvé une sorte de soupape de décompression quand je rentre chez moi ou quand je vais voir mes parents mais depuis quelques temps il y a aussi des tensions avec les miens. Enfin c’est compliqué à expliquer mais ça me fait me renfermer un peu plus sur mon travail et sur ma petite famille. Enfin ça c’est l’impression que je donnais jusqu’à présent, jusqu’à ce que tu te plantes un couteau tout seul dans la main et que tu sois dans mes pattes à la maison. Nous avons une nourrice pour gérer les enfants et mes parents nous relaient la plupart du temps mais désormais tu prends du temps pour gérer et tu te rends compte de mon rythme.

Ce soir là je veux absolument envoyer mon dossier alors que ça fait des heures que j’aurais du arrêter de travailler et je te laisse coucher les enfants. Je sais qu’Alison n’est pas facile en ce moment c’est la période ingrate des premiers petits copains et pas facile à dire ça à son père. « Hum hum » est la seule réponse qui sort de mes lèvres quand tu me dis qu’ils sont couchés. Je sais ce que ça veut dire on va faire la police encore deux fois facile mais ça c’est ton taf chéri. En espérant que tu te fasses pas mal à la main hein… Oui oui je sais, je ne suis pas au boulot et je me contente de lever les yeux au ciel parce que j’ai décidé que je finirais et je le ferais. Je te jette donc mon crayon comme si ça pouvait te faire taire quand tu as décidé quelque chose et me sert du second pour faire un chignon improvisé pour dégager ma nuque. La bretelle de mon haut glisse le long de mon épaule alors que je penche la tête et j’hausse un sourcil quand tu me fais un compliment.

Mutine je t’observe. « T’as besoin que je fasse la vaisselle ? » Oui c’est petit je sais mais ce n’est pas la première fois qu’on joue à ça tous les deux et je pose ma main quand même dans ta main blessée. « Ou tu es très malheureux de ne pas pouvoir te servir de ta main en ce moment ? » Un petit jeu de sourcil malicieux je te tire la langue parce que c’est de bonne guerre avant de sourire et de balayer ce que tu me demandes d’un geste de la main. « J’ai juste beaucoup de travail c’est tout. » Faux mais c’est une très bonne excuse. « C’est parce que tu es a la maison que tu réalises la façon dont on vit tous les jours mais y’a rien de plus ou de moins que d’habitude. » La meilleure défense : l’attaque. Mais comme je n’ai pas tendance non plus à te tacler sans un minimum de compensation aussi je viens de te voler un long baiser.


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21.03.20 0:30
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Alexandre continua de sourire en entendant les vacheries que lui balançait sa compagne. Il répondit simplement "Facile...". Elle n'était pas la première à le charrier pour sa main, ni la dernière. En même temps, il avait fait fort. Al' devait le reconnaitre. Se blesser tout seul, aussi gravement, ça relevé d'un niveau de connerie plutôt élevé. Il allait en entendre parler pendant longtemps.

La pique de Maddison fit mouche. Aoutch. Alexandre profita tout de même du long baiser. Sa main droite se fit baladeuse, passant sous les vêtements de Maddison et se calant dans son dos. Tendit que de sa main gauche, Al' repoussa le pc portable. Il n'allait pas la laisser retourner travailler tout de suite, c'était clair. Alexandre savait très bien qu'elle finirait par reprendre ses dossiers, mais là ils avaient juste besoin d'un moment à deux... Il répondit "C'est typiquement féminin comme comportement... Tu me dis des méchancetés avant de vouloir te faire pardonner.". Le presque quarantenaire ramena sa main gauche, puis entreprit de déplacer les quelques mèches rebelles de Maddison. "Ou alors, c'est une tentative de corruption..." Il l'embrassa dans le cou, avant de la faire s'asseoir sur ses genoux. Il n'y avait plus qu'eux.

Ayant toute l'intention de Maddison, il se fit plus sérieux et se défendit "Tu sais très bien que j'essaie d'être là le plus souvent possible.". Al' n'était peut-être pas un père exemplaire, mais il essayait de faire au mieux. Avec son métier, cela restait tout de même un sacré casse-tête au niveau de l'organisation. Faire partie de la crim' signifiait souvent ne pas avoir de vie de famille et Alexandre essayait de lier les deux.

Le flic connaissait bien Maddison, il savait qu'elle risquait de s'énerver, mais il décida d'y aller frontalement. "Mady, pourquoi tu me mens sur tes horaires ?". Alex' n'avait pas cherché à l'espionner, il avait juste remarqué ces décalages. Et ce n'était pas une erreur, c'était trop systématique pour en être une. Le fait que Alexandre soit flic l'aidait probablement à remarquer ce genre de détail. Il demanda de nouveau "Qu'est-ce qu'il se passe ?". Al' ne se pensait pas être quelqu'un de terriblement jaloux, ni d'être particulièrement chiant... Quoi que pour le deuxième point, il pouvait l'être. Mais là, il sentait que quelque chose n'allait pas. Il expliqua "Tu sais que tu peux tout me dire.". Leur couple avait traversé beaucoup de choses, chacun avait dû faire des sacrifices, Al' pouvait presque tout entendre.
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21.03.20 21:59
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MADDISON DRAKE
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FACE IDENTITY : Lena Headey
IDENTITE : Maddison Drake
GROUPE : Objection
AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
PROFESSION : Avocate (Accusation)
ETAT DE SANTE : Correct
LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.


Facile mais amusant. Je me doute que je ne suis pas la première à te taquiner sur cette histoire mais faut dire que tu as fait fort. Et je sais très bien comment tu es fier comme homme, c’est pour ça que je t’ai détesté autant qu’aimé quand on s’est rencontré. C’est souvent que nos deux caractères forts entrent en contact pour le meilleur comme le pire… Je viens t’embrasser longuement, frissonnant de sentir ta main sur ma peau. Je sais ce que tu es en train de faire mais je ne vais pas m’en plaindre, ça a toujours été un domaine sur lequel on est particulièrement raccord toi et moi aussi je te laisse m’attirer sur tes genoux, me serrant contre toi à la recherche de ta chaleur. « Dois-je vraiment répondre à cette question ? » Est-ce que je suis plutôt du genre à vouloir te séduire et te corrompre ou me faire pardonner ? Je soupire doucement au baiser dans le cou, venant embrasser ta peau juste sous ton oreille avant de te mordre légèrement.

Je me raidis quand tu parles des horaires et te mords un peu plus fort de ce fait. « Parce que tu m’espionnes maintenant ? » Je me recule légèrement en te jetant un regard noir. Parce que je n’ai franchement pas envie qu’on en arrive là, à ne pas se faire confiance et à douter l’un de l’autre et clairement ça se voit que je n’apprécie pas particulièrement la réflexion. « Dites donc inspecteur Berezowski, il serait pas mal de ne pas ramener votre travail à la maison parce que vous ne pouvez pas aller sur le terrain. » Faut pas déconner quand même et je me dégage de tes bras pour me redresser. Ne sachant pas quoi faire de mes mains je finis par aller me chercher un verre d’eau, ça va m’occuper et me détendre tiens.

« Il se passe rien du tout » Je ne vais pas te dire ce qui se passe de toute façon, c’est bien trop dangereux et s’il y a bien une chose qui passera toujours avant tout dans mon monde, avant même l’amour que je vous porte, c’est de vous protéger. « J’ai mes raisons de faire cela. Si tu me faisais confiance un minimum au lieu de jouer les flics là ! » Parce que je sais que ça ne sert à rien de démentir le fait que je te mens sur mes horaires maintenant que tu l’as remarqué tu es pire qu’un pitbull quand tu n’as pas décidé de lâcher l’affaire. « Je le sais. DONC si je ne te le dis pas c’est que j’ai mes raisons. » POINT. Conversation terminée et je croise les bras sur ma poitrine en te jetant un regard qui veut tout dire. Oui je m’enflamme, j’ai un tempérament de feu et tu savais bien que tu allais déclencher un incident en faisant cela.


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29.03.20 23:33
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Alexandre aurait peut-être dû poser la question à autre moment. Du moins, c'est la réflexion qu'il se fit quand Maddison le mordit plus violemment qu'à la normal. Le regard noir ne se fit pas attendre. Elle était contrariée, en colère même. Ce n'était pas surprenant. Alexandre n'essaya pas de la retenir, bien conscient qu'il ne ferait qu'aggraver la situation. Le flic ne l'avait pas espionné. Et si cela avait été son intention, il n'aurait pas eut cette conversation avec elle. Il saurait ce qu'il se passait. Al' était un inspecteur à la brigade criminelle, son métier était de faire éclater la vérité. Ses compétences, il pouvait aussi les utiliser pour sa vie privée.

Maddison se leva, s'éloignant de lui. Elle attrapa un verre d'eau. S'ils s'étaient parfois disputés parfois violemment, certaines limites n'avaient pas été franchis. Et Maddison savait très bien que balancer un verre d'eau au visage de son conjoint en était une. Alexandre était toujours calme, pour le moment. Il était inquiet. Quelque chose clochait. Et au delà de l'amour qu'il portait à sa femme et à leur enfants, la priorité restait leur sécurité. Alexandre avait peur que Maddison, à cause de leur boulot respectif, se soit retrouvé dans une situation de chantage. Il ne voyait que ça... Ou bien, qu'elle avait rencontré quelqu'un d'autre. Cette idée était beaucoup plus douloureuse. Et si Al' soulevait cette piste alors que ce n'était pas juste, Maddison allait rentré dans une colère terrible. Et ça, Alexandre n'avait pas envie de l'affronter. Le Russe avait ses propres problèmes et il avait vraiment besoin du soutient de sa compagne. Il avait été bouleversé...

Alexandre avait recroisé son petit frère Gregory. Ils ne s'étaient pas parlé depuis presque vingt ans. Al' avait claqué la porte de la maison familiale pour complétement disparaître de leur vie. Ils avaient refusés ses choix de vie, son métier, mais surtout sa compagne. Ses parents et ses frères avaient été horribles avec Maddison, parlant russe pour ne pas se faire comprendre. C'était la goutte eau qui avait dégouliner le vase. Alexandre ne regrettait pas ses choix. Il aimait sa compagne, il aimait leur enfants, ainsi que son métier... Mais le fait d'avoir appris le décès de son père l'avait secoué. La mère d'Alexandre était en train de faire un glissement. Et s'il lui semblait impossible de se rendre en Russie, Alexandre voulait au moins reprendre contact avec sa mère. La situation était énormément complexifié par son métier et les liens étroits qu'entretenaient le reste de sa famille avec la Bratva.

Alexandre se leva et fit un pas elle. Maddison était debout, les bras croisés, le visage fermé. Tout indiqué qu'elle voulait mettre fin à cette discussion. Mais le flic n'allait pas lâcher l'affaire, il avait besoin de savoir, d'être rassuré. Il était trop inquiet pour elle. "Maddison, j'aurai cherché à t'espionner, je saurai déjà ce qu'il se passe.". Alexandre avait confiance en ses propres capacités. "Je n'agis pas en tant que flic, mais en tant que ton mari.". Il n'avança pas plus vers elle, laissant un vide entre eux. "J'ai confiance en toi... Mais c'est toi qui met en danger cette confiance en me mentant.". Alexandre demanda de nouveau d'un ton plus bas. "Que se passe-t-il ? Est-ce quelqu'un te menace ? Te fais du chantage ?".

Le flic voyait bien qu'ils n'iraient nul part de cette manière. Maddison n'allait rien lâcher... Et lui non plus. C'était là le problème. Sa femme était peut-être en danger. Alexandre se voyait comme l'homme de la maison. Il était hors de question qu'il ne soit pas au courant de la situation. Voyant qu'ils étaient au point mort, Alexandre commença à s'énerver. Sa voix monta de volume. "Pourquoi ne pas m'expliquer ? Quel est le problème ?". Il posa brutalement sa main gauche sur la table "Putain ! Maddison tu sais très bien que tu agirai de la même façon si tu étais à ma place !". Elle aurait probablement était pire. Surtout qu'au début de leur relation, Alexandre avait eut la tentation d'aller voir ailleurs.

Alexandre se recula. Il continua en se faisant plus froid "Si tu me faisais confiance un minimum tu m'en aurais parlé.". Il enchaina "Maître Drake pense peut-être que son mari est trop con pour comprendre ?". Les flics n'étaient pas des orateurs et étaient parfois mis à mal par des avocats comme Maddison. Alexandre planta son regard dans celui de sa compagne "Ne m'oblige pas aller chercher l'explication par moi-même.". Clairement si Maddison ne lui donnait pas d'information, Al' irait mener l'enquête. Le Russe ne voulait pas en arriver là.
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02.04.20 21:25
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MADDISON DRAKE
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FACE IDENTITY : Lena Headey
IDENTITE : Maddison Drake
GROUPE : Objection
AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
PROFESSION : Avocate (Accusation)
ETAT DE SANTE : Correct
LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.


Sauf que tu n’obtiendras rien ainsi. Je ne te dirais pas ce qui est en train de se passer au cœur de ma famille et que je viens de découvrir. Je ne sais pas pourquoi cela s’agite chez moi de cette façon et je ne peux pas te poser de questions sans que cela éveille tes soupçons aussi je suis prise entre toi et les miens. Aurais-tu renoué avec ta famille pour que des réflexions me reviennent ? Pour qu’on me fasse comprendre qu’il est temps de faire un choix, d’aider ou de renoncer, de mettre nos enfants à l’abri de ce qui va arriver, de ce qui est en train de se préparer. Et encore je n’ai pas tous les détails, je suis juste trop maligne pour ne pas l’avoir remarqué, tu finis certainement par déteindre un peu trop sur moi. Est-ce que je peux vraiment mettre de côté tout ce que j’ai fait toutes ses années pour vous protéger et vous mettre sous l’aura des miens ? Je ne sais pas, trop de choses floues pour le moment. Dois-je choisir de poser plus de questions quitte à m’engager dans une pente glissante ? Cette histoire me déplaît tellement mais je ferais tout pour vous.

Je repousse donc ce que tu veux savoir, me refermant même si je sais que tu vas chercher à savoir. Ta réflexion sur le fait que tu ne réagis pas en tant que flic mais en tant que mari me fait tiquer et je plisse les yeux un court instant. « Tu ne doutes pas quand même de ma fidélité… » Par ce que là je te jure que les limites vont être dépassées très vite car je n’ai jamais eu à prouver mon amour pour toi contrairement à toi justement. « Je ne te mens pas Alexandre. J’ai juste mes raisons pour garder cela pour moi pour le moment c’est tout. » Peut être que j’ai un peu détourné la vérité pour mes horaires mais sinon je ne t’ai jamais menti. Tu as l’habitude de mes silences pour mes affaires comme je fais pareil pour les tiennes et d’une certaine façon c’est la même chose ici. « Personne me menace. J’ai juste beaucoup à penser c’est tout. Arrêtes de psychoter ! » Je te laisse approcher mais reste complètement fermée à cette conversation, buvant le verre d’eau que je me suis servie avant de sursauter quand tu vas poser ta main brutalement sur la table.

Je déteste quand tu fais ça tu le sais et je pose brutalement le verre sur la table, de l’eau éclaboussant un peu partout avant de partir vers le salon pour qu’on continue cela loin des chambres des enfants. « Parce que tu ne mens pas peut être toi ? » Puisqu’on joue à ce petit jeu là tu n’as rien à me dire non plus peut être ? Certes je ne suis pas flic mais clairement t’as pas mal de choses en tête aussi en ce moment. « Non mais quand tu dis ça t’es vraiment trop con ! » Je m’énerve enfin, ne supportant pas quand tu fais ce genre de remarques à la con sur la relation flic/avocat. « Tu sais bien que je ne fais jamais ça alors me confonds pas avec la Keenan chéri ! » Je te pointe de l’index, clairement très remontée contre toi. « Et bah vas y ! Vas la chercher ta putain d’information si t’es pas capable de me faire confiance et de me croire quand je te dis que je ne trompe pas et qu’on ne me fait pas chanter ! Vas-y ! Fouilles dans mes affaires. Tu veux mon téléphone peut être ? » Et je vais te le chercher en te le jetant à la figure. « T’es content ? » Et je pars vers la chambre.


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25.04.20 0:12
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Le flic n'avait pas l'impression de psychoter, mais il était inquiet. Alexandre savait qu'il n'était pas rationnel avec Maddison et leurs enfants. Il était beaucoup plus inquiet pour eux. Le Russe avait beaucoup trop peur de les perdre. Il les aimait, plus que tout. Le fait d'être laissé dans le noir le rendait mal à l'aise. Quelque chose n'allait pas, il en était persuadé.

Alexandre serra les dents. Il n'avait pas véritablement menti, il n'avait juste pas tout dit. Cela faisait quelques jours que le Russe avait revu son frère, et il n'avait encore rien dit à Maddison. C'était le temps de digérer un peu les informations. Il avait été remué jusqu'au fonds de ses tripes et mettait du temps à réaliser complétement la situation. N'avoir rien dit l'usait, Alexandre avait besoin du soutien de sa compagne. Après cette dispute, il allait lui en parler. En dehors de la douleur du deuil, cette histoire pouvait avoir des répercussions sur elle, sur leurs enfants. Mais pour cela Alexandre avait besoin d'être calme et là, il ne l'était pas. Evoquer Keenan dans leur dispute de couple faisait partie des choses que le flic ne supportait pas. Cette avocate avait le don de l'énerver. Elle était insupportable, ralentissant leurs enquêtes et leur mettant des bâtons dans les roues. Ce n’était clairement pas sa "Keenan chérie". Le flic était en colère et il lui faudrait un peu de temps pour redescendre. Il était tendu.

Alexandre évita le téléphone de peu. Non, il n'était pas content. Il n'avait eu aucune réponse concrète. Sa compagne continuait de garder le même discours. Alors que Maddison était en train de partir à grandes enjambées vers la chambre, le Russe lui attrapa le bras, ne la laissant pas partir et posa son regard dans le sien. Il demanda "Est-ce que tu es en danger ?" C'était tout ce qu'il demandait. Si c'était une réponse négative alors il la lâcherai. Il n'allait pas fouiller dans ce téléphone ni essayer d'en savoir plus. De toute façon, si elle lui avait donné l'accès à son téléphone, c'était qu'il n'y avait rien. Le flic n'avait pas envie d'enquêter sur les activités de sa femme. Cela ne ferait qu’abimer la confiance qui régnait dans leur couple, brisant quelque chose qui risquait de ne pas pouvoir être réparé.

Alexandre n'avait pas l’énergie pour que le conflit dure plus longtemps. Maddison était en colère et cela ne pourrait qu'empirer. Il savait qu'elle était capable de bien pire et là, il ne serait pas en capacité de gérer. C'était un comportement inhabituel pour le flic, mais l'annonce du décès de son père l'avait fragilisé. Ces derniers jours Alexandre s'était posé beaucoup de questions... Et il ne savait pas comment gérer la situation, sentant bien qu'il ne pourrait que perdre. Il n'y avait pas de bonne solution.

Les pupilles d'Alexandre étaient plongées dans celles de Maddison, observant, analysant toutes ses réactions, qu'elles soient verbales ou gestuelles. Il voulait la vérité et faire taire l'angoisse qu'il éprouvait pour elle.
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27.04.20 23:56
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MADDISON DRAKE
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IDENTITE : Maddison Drake
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AGE : 40 ans
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LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.


Tu m’attrapes le bras et pourtant je ne cherche pas à m’en dégager, je sais que tu as besoin que je réponde à cette question. Je plonge mon regard dans le tien. « Non. » Ma voix ne cille pas, je ne suis pas en danger. Ce n’est pas ça qui est en train de se passer mais je ne peux pas t’en parler car c’est bien trop compliqué, bien trop flou. Tu vas vouloir jouer ton flic et essayer de comprendre ce dans quoi j’ai mis mon nez, ce qui est en train de se jouer dans ma famille -et certainement pas que dans celle-ci- et je sens que cela nous dépasse clairement. Je ne suis pas du genre à avoir peur de me lancer dans un combat, je suis une avocate hargneuse qui ne lâche rien -et cela m’a valu parfois de grosses complications qui t’ont fait avoir des cheveux blancs- mais là c’est tout à fait autre chose, ça touche ma famille, ça touche mes parents.

J’attends que tu me lâches pour récupérer mon bras et refermer les bras sur ma poitrine en partant vers la chambre, comme j’avais prévu. Je suis en colère parce que… Parce que déjà tu colles ton nez dans une affaire qui me dépasse et aussi parce que je me suis fait avoir comme une bleu. On a deux égos importants tous les deux ce n’est pas pour rien que notre couple à toujours été si passionné. Je vire mes chaussons, chaussettes et mon pantalon avant de m’asseoir sur le lit en frottant mes pieds sur la descente de lit en réfléchissant. Tout ceci est ridicule et ça m’énerve, j’en jette mon oreiller de colère vers la penderie avant de soupirer. Et puis t’as lâché l’affaire bien trop vite… y’a un truc qui n’est pas normal… Tu me caches aussi quelque chose et je me décide à revenir vers la salle à manger.

Habillée désormais de mon simple haut et d’un boxer de dentelle je reviens vers toi, t’observant dans la pénombre de la maison. « Viens te coucher » Parce que maintenant que tu m’as sorti de mes dossiers c’est l’heure de se poser et je viens vers toi, ramassant mon téléphone pour le jeter sur la table basse et te poussant légèrement de l’épaule. « Ecoutes chéri. Laisses-moi gérer mes dossiers ok ? » Qu’ils soient pro ou perso j’ai besoin de les gérer moi-même et franchement vaut mieux pas que tu t’en mêles. C’est comme ça. « Je te fais confiance, tu me fais confiance. » Y’a que comme ça qu’on peut fonctionner. Surtout entre flic et avocate et j’espère bien que j’aurais plus d’informations sur ce qui se passe à un moment. Même si je ne sais pas encore vers quoi cela va m’entrainer… Peut être si je choppe ce jeune homme que je croise trop souvent…


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12.05.20 0:26
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Alexandre avait les yeux fixés dans ceux de sa compagne, observant ses réactions. Écoutant sa réponse, le flic laissa Maddison s'éloigner, rassuré. Savoir qu'elle n'était pas en danger était sa préoccupation première. Le Russe la regarda monter les escaliers et filer. Al' avait cédé rapidement, trop rapidement. Mais il n'avait plus l'énergie pour se battre. Le flic était fatigué, non pas physiquement, mais émotionnellement.

Dans le silence de la maison endormi, Alexandre se mit à ranger ce qui trainer sur la table et prépara ce qu'il fallait pour le petit déjeune. En ce moment, c'était lui qui s'occupait des petits le matin et le Russe avait toujours une phase de réveil difficile. C'était un ours incapable de faire le moindre effort avant de prendre son café et restant dans le silence. Les enfants avaient bien intégré cette information, laissant leur père tranquille. La colère retombait, laissant place à une tristesse profonde. Le flic avait l'impression qu'elle se collait à ses os, que ce froid ne partirait pas vraiment. Mais il savait que cela finirait par s'éloigner un jour.

Alexandre entendit Maddison redescendre, la reconnaissant à son pas caractéristique. Quelque chose n'allait pas. Est-ce que c'était lui qui voyait les choses de la mauvaise façon ? Qui interprétait mal ? Le flic n'avait plus envie de se poser ce genre de question. Dans ces moments là, il regrettait que les alcools soient interdits... Mais c'était pour le mieux. Alexandre répondit calmement "Je vais venir...". Le Russe regarda sa compagne, la voyant ramasser le téléphone qui avait volé. Il la regarda, répondant "Toujours.". Cette confiance était trop importante pour prendre le risque de l'abimer.

Alexandre s'avança vers sa femme, passant dans son dos et l'entoura de ses bras. Il avait besoin d'elle, de sentir sa chaleur. Le Russe laissa échappe un long soupir, trahissant le froid qui s'attaquait à ses os. Il était triste, il avait mal et éprouvait une certaine angoisse. Alexandre avait peur que tout cette histoire finisse par lui éclater à la gueule, que leurs enfants soient mêlés à tout ça. Ils avaient beaucoup à perdre. Il posa sa tête contre Maddison, réclamant son intention et son soutien. Le Russe annonça lentement "Mon père est mort.". Il resta quelques instants silencieux. Alexandre savait que Maddison était en train de réfléchir à toute vitesse, à se demander où il avait pu avoir cette information. Mais le flic était sous le coup de l'émotion. C'était la première fois qu'il le disait à voix haute. Il s'entendait le dire et réalisait que c'était vrai. Alex' n'avait pas de tombe, pas d'élément matériel pour ce se prouver que c'était vrai. Il y avait toujours une partie de lui qui réfutait cette information... Pourtant, il avait consulté les registres. Le coeur lourd, Alexandre continua "Et ma mère fait un glissement.". Cette femme était en train de se laisser mourir. Sa vie n'avait plus de sens. Elle mourrait de tristesse et d'absence. Alexandre savait qu'il en était une des causes.

Alexandre serra un peu plus sa compagne contre lui. Il décida de donner des éléments de réponses "J'ai croisée mon petit frère Gregory... Nous avons discuté. Il est à Londres. Quant à Sergei, il est au pays et il veille sur notre mère.". Le Russe espérait que Maddison n'allait pas s'énerver. Il n'avait pas l'énergie pour riposter. Alexandre avait les épaules basses. Il avait l'impression que désormais la tristesse suintait des pores de sa peau... Comme si le fait de partager ces informations les rendaient plus vrais. Il prit une longue respiration. Qu'est-ce qu'il avait mal...

Le problème restait entier. L'avocate connaissait les liens qui liait les Berezowski et les Markow. Alexandre avait aussi coupé les liens avec eux pour cette raison. Il ne voulait pas avoir de lien avec la bratva, quelle que soit la façon.,
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15.05.20 0:56
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MADDISON DRAKE
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GROUPE : Objection
AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
PROFESSION : Avocate (Accusation)
ETAT DE SANTE : Correct
LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.


Quelque chose n’est pas comme d’habitude. Nous sommes mariés depuis suffisamment longtemps pour que je le sache rien qu’à la façon dont tu te comportes aussi je viens te retrouver pour essayer de calmer les choses mais aussi de savoir. Si tu penses que je te cache des choses -à juste titre- je sais aussi que tu m’en caches, ce n’est pas possible autrement. Je t’embrasse avec douceur quand tu réponds qu’on se fera toujours confiance avant de te laisser me prendre dans tes bras. Je passe mes mains avec douceur sur les tiennes, nos bagues de mariage tintant en se rencontrant et je te laisse dire ce que tu as sur le cœur. C’est étrange d’en arriver à un tel niveau d’insécurité alors que nous sommes ensemble depuis si longtemps. Nos deux familles sont en train de nous ronger totalement.

Mon esprit tourne à plein régime quand tu m’expliques que ton père est mort. Pas besoin de me prendre la tête je me doute que cela veut dire que tu as parlé à un membre de ta famille sinon ce n’est pas le genre d’informations qui arrive si facilement. Ou alors on t’a porté la nouvelle mais cela éclaire d’un nouveau jour la conversation que j’ai eue avec les miens. C’est forcément ça. Ils sont au courant que tu as revu un membre de ta famille et cela fait frémir les miens car quelque chose se passe. Je reste silencieuse. Même si je réalise un peu plus ce qui est en train de se passer tu es mon mari et tu as besoin de moi. Cela passe au dessus de tout ce que je peux éprouver à l’idée que tu renoues même pour quelques minutes avec les tiens. Je ne cautionne pas mais ta peine est plus importante que le reste.

Je finis par me retourner pour t’embrasser longuement, passant mes bras autour de ton cou, me mettant sur la pointe des pieds. « Je suis désolée mon amour » Pour ton père, ta mère, tout ce que ça doit créer dans ton esprit. Aussi bien la peine que l’inquiétude de renouer avec les tiens. « Tu comptes renouer avec lui ? » Ton petit frère... Je ne peux dire que cela me convient mais je peux comprendre que tu veuilles le faire. Je sais juste que je vais devoir prendre des décisions pour protéger notre famille si tu décides de le faire. « Allez viens » Je te prends la main et t’entraîne dans notre chambre pour me caller contre toi une fois que nous nous posons dans notre lit tous les deux, caressant doucement tes cheveux. Je sais que je suis emportée mais là je sens que tu as besoin de moi. « Que comptes-tu faire ? » Que je sache un peu sur quel pied danser et ce que je dois faire moi-même.


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22.05.20 2:23
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Alexandre se courba légèrement, aidant Maddison à l'atteindre. Il passa les mains dans le dos de sa compagne, la gardant jalousement contre lui. Il avait besoin d'elle, de sa chaleur, de son amour, de ses colères, de tout ce qu'elle était. Le Russe aimait tout chez elle, même ses défauts. Il appréciait qu'elle fasse un effort pour lui. Le flic savait que la situation était loin d'être évidente et sa famille avait vraiment été horrible avec elle. Alexandre répondit sans hésitation "Non." Il expliqua "Je ne veux pas prendre de risque, pas pour toi, pas pour nous.". Le Russe aimait profondément ses frères, mais son propre couple restait sa priorité.

Se laissant entrainer par Maddison, Alexandre monta dans la chambre conjugale. Il renonça à se mettre en pyjamas, gardant juste son boxer, puis se coucha. Allongé, tout deux l'un contre l'autre. Al' avait posé la main sur la hanche de la brune, laissant ses doigts la parcourir. A la question de sa femme, Alexandre mit quelques secondes à répondre. Il n'y avait pas de bonne solution. Tout serait douloureux pour lui. Mais face à Maddison, face sa compagne, sa partenaire de vie, le flic savait mieux ce qu'il devait faire. "Je vais appeler ma mère. Je veux échanger avec elle au moins une dernière fois... Une fois avec Sergei aussi. S'il accepte de me parler... Et après". Le Russe eut une longue inspiration, cela lui coûtait. "Je tournerai la page définitivement.". Il expliqua "Je n'aurai plus de contact avec eux. A part pour les enterrements... Et encore, s'ils prennent la peine de m'informer.". Une pointe de douleur se forma dans son torse, il se confia "Ils ne m'ont pas même pas informé quand mon père était en train de mourir, même pas donné une date d’enterrement. Ils ne m'ont rien dit.". Ce constat était terrible. Ce livrant totalement, Alexandre expliqua "J'aurai aimé lui parlé une dernière fois." Et leur dernier échange s'était résumé à un claquement de porte et des insultes de la part du flic. Maintenant qu'il était père, Al' voyait les choses d'une autre manière.

Alexandre posa la main sur la joue de Maddison, la caressant. Le regard dans le sien, il affirma "Je ne regrette aucun de mes choix.". Leur couple s'était construit en opposition totale à leur famille respective. La différence était qu'Alexandre était désormais presque accepté par les parents Drake. Le Russe redoutant toujours les fête de fin d'année. "Je t'aime Maddison Drake.". Malgré le froid tenace qui habitaient ses os, Alexandre eut un sourire. Il se savait chanceux. Le Russe l'embrassa longuement, pendant qu'une de ses mains se posa sur ses fesses, la ramenant un peu plus contre lui.
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22.05.20 23:23
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MADDISON DRAKE
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FACE IDENTITY : Lena Headey
IDENTITE : Maddison Drake
GROUPE : Objection
AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
PROFESSION : Avocate (Accusation)
ETAT DE SANTE : Correct
LIENS : Alexandre son mari et ses trois enfants.

Ta réponse me fait plaisir je ne peux le nier. Je sais ce que c’est d’avoir une famille difficile et même si j’aurais défendu tes choix et pris les décisions pour qu’on les accepte pleinement chez moi, je ne peux que souffler de savoir que ce n’est pas dans tes idées de renouer avec les tiens. Notre famille c’est tout ce qui compte pour moi et je ferais toujours tout pour protéger les miens. Je sais que c’est aussi ce que tu veux faire, c’est la chose sur laquelle nous serons toujours d’accord même si on n’est toujours d’accord sur la méthode en tant que loup dominant et louve hargneuse que je peux être. Moi je sais que tu n’es pas le macho que beaucoup pensent que tu es et j’aime te taquiner là-dessus. Monsieur le mâle…

Et c’est dans ces moments là que je vois encore plus ta sensibilité aussi je t’entraîne à te poser avec moi dans notre lit. Ce sera bien mieux de discuter plutôt que tremblant dans le salon. Je me cale contre toi, un de mes jambes passant au dessus des tiennes pour que mon corps épouse le tien et écoutant ce que tu as à me dire. Je connais tes relations passées avec ton père, les choix que tu as fait, nous avons fait front ensemble et je comprends que tu sois blessé par ce qui est en train de se passer. Après tu as coupé les ponts avec les tiens et c’est juste une façon pour eux de te faire comprendre que tu ne fais plus parti de la famille. Certainement ce que les miens auraient fait si on avait fait le choix de choisir ton côté de la famille plutôt que la mienne. Les miens ne sont pas toujours faciles mais ils sont au moins du bon côté de la loi. Enfin…

« Les tiens comme les miens sont excessifs. Tu t’es détourné de ta famille et pour eux c’est définitif. On a fait notre propre famille chéri » C’est comme ça qu’il faut voir les choses. Je me doute que c’est douloureux, j’aurais aussi du mal à ne pas dire au revoir à mon père si j’étais dans ta situation mais c’était c’est toi le père, c’est à toi de prendre soin des tiens. « Voyons le bon côté des choses, on sait ce qu’on ne doit pas faire avec les nôtres » Ça forme il parait. Je viens t’embrasser longuement en caressant ta nuque. « Si tu as besoin de moi je serais là » Pour les appels. Même si je ne suis qu’une présence rassurante, je serais là. « Je t’aime aussi Alexandre Drake » Je fais une mine taquine « oops » à cette fausse erreur de nom de famille avant d’en rire doucement et de m’installer au dessus de toi. Je viens t’embrasser bien plus longuement, une des mes mains passant dans tes cheveux, mon corps ondulant contre le tien pour te réchauffer.


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27.05.20 23:55
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Alexandre voyait très bien que sa compagne était soulagée de sa décision. Le Russe savait ce qu'il devait faire, où se trouvait ses priorités. Peut-être devait-il définitivement prendre le rôle du méchant avec ses frères et sa mère. Bien qu'il est claqué la porte, Al' n'avait jamais été méchant avec sa famille. Il les aimait toujours. Malgré tout, malgré le reste. Le flic aurait voulu trouver une solution pour pouvoir lier les deux, mais il savait que c'était impossible. Alexandre se devait de choisir. Et aujourd'hui, il était père de famille. Il devait protéger les siens. Alison, Drew et Finn ne se doutaient pas une seule seconde que leur père puisse être lié à la bratva. Al' ne voulait pas qu'ils puissent y être mêlé. Le flic passait beaucoup de temps à cotoyer la violence, le sang, le meurtre. Il ne voulait pas que ses enfants connaissent ce monde... La mafia était cruelle et pouvait les attraper. Alexandre ne savait pas du tout s'il devait conserver ce secret où en discuter avec eux.

Ils avaient leur propre famille, la leur, celle qu'ils avaient fondés. Leur couple avait tenu malgré leurs différences et les pressions familiales. Madison avait raison. Le Russe eut de nouveau un sourire sur sa remarque. Il espérait bien qu'il aurait des meilleures relations avec ses enfants que lui avec ses parents. Alexandre ne pensait pas avoir eu une enfance malheureuse, mais clairement les choses n'avaient pas été simples. Ses parents n'avaient pas été tendres. Quant à Al', il n'avait pas reproduit le même schéma d'éducation pour ses enfants. Il n'avait jamais levé la main sur eux.

Alexandre ne savait pas s'il valait mieux que Maddy soit là. Au vu de la situation, il savait qu'il allait être remué jusqu'au fonds de ses tripes... Mais si sa compagne était là, alors cela le forcerait à ne pas perdre de vu ce qui était le plus important. Il fallait qu'il réfléchisse, mais aussi qu'il se prévoit un temps pour récupérer. Al' ne voulait pas que ses enfants puissent voir qu'il était en difficulté.

La dernière réflexion de Maddison le fit sourire. L'amour vache, toujours. Elle savait très bien qu'elle allait l'énerver. C'était lui qui aurait dû la demander en mariage, et non l'inverse. La brune était particulièrement belle quand elle se mettait à rire. Alexandre l'aida à venir s'installer sur lui, posant ses mains sur le corps de sa femme. Il l'a caressé, passant sur ses hanches, remontant sur son dos, pour passer sous le haut de sa compagne. Une fois qu'ils eurent finis de s'embrasser. Alexandre commenta, éternellement vexé "J'aurai fini par te demander en mariage… Tu n'avais pas à le faire. " Le Russe avait été pris de court. Elle était allée plus vite que lui. Il aida Maddison à enlever sa nuisette, un sourire coquin sur les lèvres. « Tu es tellement têtu…». Alexandre avait aussi envie l’embêter, de la faire râler. Sans crier gare, le flic la retourna sur le lit, étant désormais à quatre pattes au-dessus d’elle. Il bloquait les cuisses de Maddison entre ses jambes, faisant attention de ne pas lui faire mal. Le Russe attrapa les mains de sa femme, les maintenant sur le lit, juste au-dessus de sa tête. Alexandre s’amusait. Il savait très bien qu’il allait l’énerver. Le flic l’embrassa, puis continua dans le cou, descendant sur sa poitrine. Il continua « …Et insupportable par moment.». Et Al’ profita de la situation pour la mordiller, parcourant son corps. Il était délicat, précis dans ses gestes. Alexandre savait ce qu’il faisait. Le flic libéra une de ses mains, gardant toujours celles de Maddison prisonnières. Il l’embrassait, la caressait, attisait le désir qu’elle éprouvait. Ils avaient toujours été particulièrement raccord dans ce domaine… Et cela s’était amélioré avec le temps. Le Russe avait envie de la faire languir, délicieuse torture qu’il mettait en place. Le flic glissa une main sur le ventre de sa compagne puis descendit doucement, lentement, savourant le temps présent. Il fit glisser le boxer de Maddison, la libérant de cette dentelle qui les séparait. Alexandre voulait qu’elle le désire, que cela en devienne insupportable pour elle. Le Russe lui lâcha doucement les mains, explorant désormais le corps de Maddison avec ses lèvres, suivant le parcours qu’il avait fait avec ses mains peu de temps auparavant. Il se recula. Puis embrassa le sexe de la brune. Pendant un bref instant, il releva les yeux vers elle, mettant en suspens ce qu’il allait faire. Alex’ savait aussi avoir l’amour vache par moment. Mais l’homme ne tarda pas à lui offre de quoi assouvir ses désirs.
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29.05.20 18:34
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MADDISON DRAKE
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IDENTITE : Maddison Drake
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AGE : 40 ans
ETAT CIVIL : Mariée a Alexandre Berezowski
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Je ris de ta réflexion. Même après autant d’années de mariage tu n’es toujours pas content que je t’ai pris de court pour notre mariage et cela m’amuse de jouer dessus. Non seulement je t’ai demandé en mariage mais en plus je n’ai pas pris ton nom de famille. La totale qui continue de te faire râler encore et encore et j’adore cela. On a des caractères aussi difficiles l’un que l’autre, nos enfants ont vu plus d’une fois des assiettes voler dans la maison suite à nos disputes et si cela les a inquiété au début, ils finissent désormais par se contenter de vivre leur vie sans faire attention à nous. Voir on se fait râler dessus parce qu’on les dérange. L’adolescence… Une période si agréable et c’est bien un des rares moments où je te plains. Quand je vois comment notre ainé se comporte avec toi, ayant décidé que t’étais trop nul et ne pouvait rien comprendre. Faut dire que toi et le tact parfois…

« C’est pour ça que tu m’aimes ! » Je t’aide à ôter ma nuisette avant de pousser un petit cri de surprise quand tu me fais basculer pour te mettre au dessus de moi. Mon regard s’assombrit en sentant que tu me bloques. « Alexandre… » Ton prénom en entier… Signe que je vais me venger de ce que tu es en train de faire. J’essaie de bouger pour me libérer mais tu es bien plus fort que moi aussi je me contente de te mordre quand tu viens m’embrasser, sachant très bien que tu aimes ça en plus avant de soupirer à tes baisers le long de mon corps. Difficile de ne pas réagir, tu sais exactement ce que j’aime et je souris d'entendre la description que tu fais de moi. « Je me mets à ton niveau mon amour. » Tacle… Comme toujours et je te fais un petit sourire avant d’apprécier d’être de nouveau libre.

Mes yeux brillent désormais plus de désir que de colère, t’observant me faire languir alors que j’ai tellement envie de toi et soupire de plaisir quand tu viens enfin assouvir mes désirs, me cambrant, passant la main dans tes cheveux. C’est si bon, surtout après une fin de soirée aussi difficile et je finis par en gémir, bien trop attisée par ton petit jeu. J’en profite avec plaisir avant de te repousser avec mon pied, souriant malicieusement et me redressant. Je m’avance sensuellement vers toi à quatre pattes avant de m’installer sur toi, n’ôtant pas ton boxer mais ondulant quand même contre toi pour te chercher, jouant aussi, aimant te sentir aussi éveillé contre moi sans pour autant te donner ce que tu veux. Je ne cède que quelques instants plus tard, mordant le lobe de ton oreille et virant le tissu en trop pour ne faire qu’un avec toi et pouvoir enfin nous donner ce qu’on désire tous les deux.


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03.06.20 23:07
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Alexandre sentait sa compagne frissonner, se cambrer, puis se mettre à gémir de plaisir. Il était satisfait. Le Russe avait joué et savait que le vengeance de Maddison serait terrible. Mais cela valait le coup. Le flic aimait voir un tel sourire sur le visage de sa femme. Il se laissa repousser, retombant sur le dos, laissant Maddy se mettre au-dessus de lui. Elle aussi savait jouer les provocations, s'amusant à se faire horriblement désirée. Maddison était sensuelle et séduisante. Alexandre se sentait ivre. Une fois la dernière barrière de vêtement enlevée, ils purent faire l'amour passionnément.

Une fois l'acte terminée, Alexandre resta silencieux conservant seulement Maddison auprès de lui. Ses bras étaient protecteurs, mais ne la gardaient pas prisonnière. Le Russe n'était pas bavard dans ces moment là. Il appréciait juste le moment présent, là où plus rien ne semblait problématique. Al' ne réfléchissait pas à autre chose, étant uniquement centré sur eux. Ils avaient vieilli. Leurs corps avait vieilli. Le Russe n'en était pas triste. Il se sentait profondément heureux dans sa vie. Il était comblé. Tout ce qu'il souhaitait c'était de pouvoir continuer de vieillir l'un avec l'autre. De ne pas perdre ce qui faisait le piment de leur couple. A deux, ils pourraient tout affronter. Passant ses doigts entre ceux de sa compagne, le flic avait l'impression qu'ils étaient invincible. Il y avait une ivresse qui ne vieillissait pas. Ils avaient déjà affronter le monde ensemble, leur famille respective ayant tout fait pour détruire leur couple, et ils avaient gagner... Plus rien ne pouvait les vaincre.

Alexandre tendit le bras et éteignit les lumières de la pièce; laissant l'obscurité, mais surtout le sommeil les happer tout deux. Peau contre peau, Al' avait le nez dans le cou de Maddison, respirant son odeur et ne se lassant pas de l'avoir contre lui. Il l'aimait.
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13.06.20 0:10
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