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[CLOS] #SDM [BINGO 2 #EVA&NOA]
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Soirée de Merde
Noa & Eva

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Confiance à deux femmes, que dire, deux amantes pour trouver le chemin jusqu’à une couche commune. Mille et une façon de trouver la voie des draps siciliens. Eva caresse sa belle amante du regard. Rêvant d’une Noa libérée de toutes les chaînes qui font son armure. Elle aime effleurer les maillons. « Oh je pense que je saurais nous motiver pour. »
« On va voir pour son charme. » S’amuse la trafiquante avec un rien de machiavélisme dans les yeux. Castelli n’est une mauvaise personne. Elle n’est pas une sainte pour autant. Il est clairement entendu qu’elle mène une guerre -terrible- contre ce genre d’archétype masculin. Les années l’ont un peu apaisée. Quoiqu’elle n’est jamais contre une petite action contre le Patriarca. Elle encourage toute forme de protestation artistique. Son argent est dans les caisses d’un nombre considérable de structures -légale et non- allouées à la chute du modèle patriarcal. « Il a un défi à relever avant de pouvoir me revoir. » Maligne, Eva a triché. Challenge réalisable pour un homme pareil. A moins de gratter sa superbe masculine. A moins de comprendre -profondément- ce que veut dire l’égalité des genres. « Je me demande tout de même comment Ezio s’est acoquiné avec un “Casanova”. » Un murmure perplexe avant qu’elle sourit à la belle féline.
Même Eva ignore comment Noa et Gabrielle se sont rencontrées. Curieuse, elle a cherché des réponses. Jamais trouvées. Les deux sont aussi hermétique que des agents du KGB. L’un dans l’autre c’est bien. Les secrets de la mafia sont bien gardés. « J’y penserais. Passe-lui mes meilleurs voeux, tu veux ? » Suggère l’Italienne dans un sourire. Plus un être est barricadé et plus elle aime tester les défenses. Tant par intérêt humain qu’intellectuel. C’est précisément cette chasse qui lui a fait posé les yeux sur De Santis. Un sourire s’attarde au coin de sa bouche.
D’une autre manière “Odin” a retenu son attention. Si respectueux. Cultivé. Sage. Il ressemble à Léo Castelli. Hommes façonnés par des Femmes. « Oui. Tant mieux. » Répond-t-elle un rien évasive. Indirectement, mais tout de même, Eva profite aussi de la paix instaurée par le Réseau. Donc par Eirik lui-même. Car il est plus que l’égérie. Il est cet organe criminel. Ils le savent tous. La Triade également. Un point de pression réel. Il aide la blonde à rester calme face aux menaces de Wang. L’épisode de Paris n’en est pas resté là. Non. Jao n’a pas l’intention de lâcher prise. Eva en vient même à le soupçonner d’être à l’origine des vols dans les galeries. Une méthode un peu trop subtile pour ce grotesque collectionneur. Enfin. Ce n’est là qu’une hypothèse. Ce n’est pas la soirée pour réfléchir à ça de toute façon.
L’Italienne se saisit de la bouteille d’eau de vie. Elle verse le liquide dans leur verres. Une ration plus importante. Quelques centilitres de plus. Les yeux plissés elle amène le breuvage à sa bouche. La brûlure du palais qui revient. Les sens exaltés. Le sang qui remonte vers les joues. Castelli sourit provocatrice. « Très douce. » De ce double langage saphique. Les lèvres d’Eva peuvent être les pirs tortionnaires de la chair. Pourvue qu’elle savoure sa proie en toute liberté. S’il est une chose qu’elle aime -par dessus les autres- c’est cela. La réédition du corps féminin. L’abandon des cinq sens.
Elle retourne dans la salle de bain pour trouver une crème apaisante. Dommage que les filles ne soient pas à son appartement. Il y a tout là-bas. Elle jette son dévolue sur le tube entamé qui est sorti. Probablement celui utilisé par la Sicilienne. « J’ai mon arme! » Elle attire le fauteuil vide face à celui de la meurtrie. Elle calcule la distance pour être bien placée. Le pied de Noa soulevé, pour finir sur le genou d’Eva. « Je me suis occupée des pieds de ma grand-mère pendant des années. Elle était tisseuse. Tu sais, sur ces longs métiers à tisser. Elle passait la journée debout à tisser. Le soir ses pieds étaient douloureux. » Tout à son histoire, Castelli imbibait ses mains de la crème. Avec un mouvement lent, léger, elle passait sur le pied-beau de la Sicilienne. « C’est elle qui m’a fait aimer l’Art. Elle était amoureuse d’un sculpteur. » Non rien à avoir avec l’homme épousé. Mais en 1950 en Italie on ne divorce pas. « Elle me racontait comment l’art servait de vaisseau pour la beauté. J’adorais ses histoires. » Un doux sourire flotte sur le visage de la blonde. Elle rit d’elle-même. Lentement ses yeux bleus se teintent d’autre-chose. Une chose qu’elle éprouve lorsqu’elle est face à la beauté féminine. Cette beauté féminine. « Si j’avais ce talent c’est toi que je sculpterais. » Taquine-t-elle la Médisis. Le soin continu tout en délicatesse et sensualité. L'Italienne saisit la bouteille entamé d'une main. Elle la confit à sa patiente. « Tiens. Sert-nous donc, princesse. Les doigts chatouillent alors le mollet. Sérieuses à cette heure ? Voyons !

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02.07.20 23:03
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Gabrielle Caplan

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#SDM


- C'est parce que je sais que tu trouveras, que je le dis.

Noa connaissait bien les envies et les façons de faire d'Eva, c'était pour cela qu'elle l'acceptait aussi autant auprès d'elle. C'était plaisant de voir quelqu'un prêt à vouloir prendre soin de vous, sans aucune idée derrière la tête. Bien que la sicilienne mettait les barrières évidentes qu'elle avait avec tout le monde, ce n'était pas pour autant qu'elle n'appréciait pas les efforts et l'envie d'y arriver de cette belle amante. La seule qui avait autant d'impact dans sa vie d'ailleurs, ce qui pouvait être surprenant. Mais même cette panthère pouvait se faire quelque peu... amadouée.

- Ah oui? Tu vas lui faire passer quoi comme test?

Elle était amusée de savoir ce que Vito allait devoir faire pour espérer être bien vu par la belle connaisseuse d'art. Elle pouvait être dure, sans pitié. Tout comme elle. Oui, elles se ressemblaient tous les deux. Elle souriait en prenant une nouvelle gorgée de son verre, alors qu'Eva se posait des questions sur les relations d'Ezio.

- Oh, ils se connaissent depuis longtemps, ils ont fait leurs études ensemble et puis... Ezio a aussi eu sa période "Casanova". Ils étaient faits pour s'entendre.

Et puis l'amitié avait continuée, même s'ils avaient décidés de ne plus faire la même chose, changer la façon de vivre. Elle savait que son frère avait une vraie affection pour le peintre. Elle ne jugeait pas les relations des membres de sa famille, tant que ces relations ne mettaient pas en danger les affaires et la Famille en général.

Petit mouvement de la tête pour montrer que oui, elle ferait passer le message à Gabrielle, elle trouvait toujours intéressant de voir à quel point Eva voulait tenter de se rapprocher de ces gens de son cercle. Sa garde du corps n'était clairement pas du genre à se laisser approcher. Elle était pire qu'elle pour le coup. Noa fermait les yeux quelques instants, en attendant que sa belle revienne pour s'occuper de cette cheville. Elle soupirait... cette blessure était un vrai handicap à ses yeux. Elle n'aimait pas être diminuée, c'était un risque d'être attaqué, parce qu'elle montrait de la faiblesse, même si elle ne montrait rien.

- Super. Reprenant son air tranquille, lui offrant sa jambe, se laissant faire, ce qui lui fait du bien, il faut bien l'avouer. Mmm... tu fais ça plutôt bien. Lui caressant lentement le poignet. Et tu as l'oeil pour voir l'art et la beauté, tu as bien fait d'écouter ta grand-mère. Tranquille. Pensant à la sienne un instant. Oh non, je ne tiens pas à être représentée pour le reste de l'éternité. Attrapant la bouteille. Alors ça, avec plaisir! La servant à nouveau, se servant à nouveau. Si je m'endors sous tes mains, tu ne m'en voudras pas, j'espère.

Oui parce que c'était un risque. Entre les soins et l'alcool... La mafieuse pouvait parfaitement rendre les armes de cette façon.

© ZUGZANG




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Gabrielle Caplan
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Soirée de Merde
Noa & Eva

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« Je lui ai fait une commande. Je lui ai demandé de me représenter “La Féminité”. » Fourbe défi c’est vrai. La féminité, la beauté, le féminin, autant de motifs picturaux qui inspirent depuis que l’Homme peint des fresques murales. Étudié, visité, imité, réchauffé. Il est difficile d’en tirer une émotion quand on sait. Le dernier frisson d’Eva date. Koustodiev l’avait émue adolescente. « Je lui ai laissé le choix de son support. Je connais son travail. J’ai vu ses triptyques. » Lampeduza est de la famille des Rodin. Il lui faut une Muse pour parachever sa créativité. Autant espérer que le bélâbre soit dans un élan amoureux. Même si Castelli ne s’attend pas à ce qu’il réussisse. « S’il réussit je lui fait une exposition spéciale. » Rit-elle moqueuse. Sans prendre de risque du tout.
Ceci dit la vision d’un De Santis qui fait la cour à des pimprenelles. Voilà qui a de quoi amuser la trafiquante. Il est vrai qu’elle le connaît en homme posé. Tout comme il la voit en féline patiente. Mais Eva serait mal avisée de juger une jeunesse libertaire. Ses vingt ans vécu dans des tourbillons de passions. A butiner de fleurs en fleurs. A la recherche d’une saveur rare. Un parfum enivrant. De quoi faire vibrer une âme au-delà de toute raison. Alors ses yeux cyans s’attardent, une seconde, sur la Médicis.
« Et toi ? » Lui demande-t-elle. L’expression maligne et diabolique. « Beaucoup de cœurs chavirés ? Une période Casanova ? » Elles ne parlent pas des autres. Ou bien seulement si cela les protège. Eva sait que la beauté et le pouvoir d’une femme pareille attire. Si elle n’a pas besoin de savoir pour le présent. Le passé peut être amusant.
Un doux sourire flotte. Castelli entend la voix de son aïeule. Les conseils de la voix éraillée par le temps. Une femme forte, un modèle, l’une des personne sans qui Eva n’aurait pas franchi le cap. « Tu lui aurait plu. » L’avis aurait plus compté que celui de sa mère. Non qu’il faille une légitimité ou une approbation bourgeoise. Ces deux femmes se seraient simplement plu.
Eva sourit. Bien entendu que la panthère ne veut rien d’éternel. Rien qui soit dans sa nature. Pourtant cela aurait été beau. « Et inspirer toutes les femmes après toi ! » A commencer par celles qui sont de sa lignée. Leliana et toutes ces douces créatures méditerranéennes. Eva rit doucement. Puis elle se penche pour déposer un baiser sur son mollet. Elle adoucie ainsi les provocations de l’esprit. « Je peine déjà pour avoir une photo de toi. » Souffle-t-elle avec une oeillade joueuse. Elle sait que De Santis n’aime pas ça. Il n’existe aucune preuve tangible de leur relation intime. Le romantisme n’est pas dans le tempérament de la trafiquante. Ce n’est pas là que se place les choses. Beaucoup prosaïque. L’absence d’un être désiré entretien le fantasme. Et une représentation de cet “objet” de désir peut avoir encore plus de poids. Eva s’arrête pour tendre son verre. Elle regarde le remplissage avant de s’abreuver un peu plus.
« Dors. » S’amuse la blonde. Elle reprend tranquillement le massage. « Je saurais bien te réveiller. » Fait-elle d’un ton parfaitement innocent. Que son sourire dément. Les doigts malaxent dans un paisible silence. Longuement. Une fois la crème absorbée Eva se lève pour aller rincer ses mains.
A son retour, ses yeux s’attardent sur Noa détendue. Attendrie elle vient se penchée au-dessus d’elle. Dépose un baiser dans le creux de gorge. Un autre léger le long de la carotide. « La chambre ? » Tout autre soir ces deux mots auraient été d’une toute autre voix. Eva tend une main à la blessée. Patiente et amusée. Lentement, elle aide pour se rendre dans l’espace de repos. Pas après pas. Jusqu’à trouver le lit de Noa. « Je t’aide. » Naturellement Eva se penche, au-dessus de son épaule, pour trouver la fermeture de la robe. Elle défait et hôte. « Attends… une seconde. » Elle trouve rapidement la tenue de nuit accrochée derrière la porte. Elle la dépose avant de libérer la poitrine de la panthère. Caresse la peau du dos marquée. « Je t'aurais quand même déshabillée ce soir. » D'une voix complice. Eva est une femme gourmande. Concernant le corps de cette femme là plus encore. Elle lui offre un sourire aux mille et un sens. Dépose un baiser sur sa nuque. Avant de lui faire passer le tissu. Ses doigts s’attardent ensuite sur le menton volontaire. Que de mots de séduction lui viennent aux lèvres. « Reposes-toi. Je m’occupe du reste. » Sa bouche vient trouver la sienne. Un baiser de “sage-passion”. La trafiquante s’éclipse pour aller ranger le salon. Elle revient ensuite dans la chambre à coucher. Elle referme doucement la porte. Furtive pour ne pas la déranger. Dans la semie-obscurité la voilà qui se dénude. Habits en tas sur le sol.
Castelli se glisse sous les draps de De Santis. Ses pieds prudents pour ne pas toucher la belle. Mais le reste aimanté contre la chaleur humaine. Un bras protecteur enlace la taille sicilienne. Eva embrasse l’épaule à sa porté. Murmure « Réveille-moi si tu as besoin de quelque-chose. » Voilà sur un lit beaucoup plus paisible que celui de la Tamise.

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23.07.20 18:21
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Gabrielle Caplan

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Noa riait légèrement au défi lancé par Eva au peintre. En effet, "La Féminité" pouvait être représentée de plein de façon. Mais elles savaient toutes les deux, comment les hommes pouvaient la percevoir et la représenter. C'était en général des clichés vu de milles façons. Mais peut-être que Vito sortirai du lot. Il savait être plus intelligent et fin qu'il ne le démontrait parfois. C'était un homme talentueux, elle lui laissait ça volontiers. Ce qui attisait sa curiosité de voir ce dont il serait bien capable.

- J'espère que tu me partageras sa vision, ça me rend curieuse. Hochant de la tête. Il risque d'en faire un thème central. Amusée. Oh, le défi est de taille, pour une exposition, je suis certaine qu'il fera chauffer ses pinceaux de la meilleure des façons. Après que ça te plaise, ou pas, tu en seras la seule juge.

C'était une pression. Le sicilien n'allait pas se laisser démonter mais serait-il à la hauteur... là était toute la question et pour le coup, Noa ne connaissait pas la réponse. Voilà pourquoi elle voulait voir, tout en connaissant l'avis de son amante, une fois qu'elle l'aurait eu. Bref, une histoire à suivre, qui ne mettait rien de vital en jeu, en tous les cas, la concernant elle, ce qui n'était pas mal aussi.

- Non, je n'avais pas le temps pour ça.

De Santis et les affaires de coeur, de cul, ce n'était clairement pas compatible. Elle avait toujours détesté perdre son temps avec cela. Elle préférait de loin les affaires, les vraies, celles qui demandaient de convaincre l'autre, en parlant. De faire de l'argent. Jeune, elle avait une carrière à mener, elle n'avait pas la tête à autre chose, sinon, elle n'en serait pas là aujourd'hui. Et maintenant qu'elle pouvait être un peu plus posée, les choses ne changeaient pas. Eva était bien la seule personne réellement dans son entourage, qui pouvait se permettre de dire qu'elle était aussi intime avec la cheffe de famille. Les autres n'étaient que passager, le temps de quelques minutes. Simplement pour se détendre.

- Et ça continuera. Avec un petit sourire, presque désolée.

En effet, elle n'aimait pas être représentée, être prise en photo. Pour passer le plus souvent sous les radars, il fallait les éviter. Les appareils photos, les caméras, quand elle en voyait, hop, elle disparaissait du cadre, sans se faire voir. On pouvait prendre cela pour de la pudeur, c'était plus une question de sécurité à ses yeux. Même si les photos ne sortaient pas du cadre personnel. Elle n'aimait pas ça, c'était comme ça.

- Bien.

Noa n'avait pas besoin qu'on lui dise deux fois les choses, que la belle italienne qui s'occupait d'elle accepte de la voir sombrer, lui convenait parfaitement. Elle se laissait aller à l'appréciation de ce massage si agréable. A la question, elle hocha de la tête. Se leva lentement, termina son verre, pour rejoindre la chambre, accepta l'aide de mettre ses habits de nuit, pas pudique pour un sous. Après tout, Castelli l'avait déjà vue dans son plus simple appareil, puis s'installer dans ses draps, non sans un petit soupire de plaisir, qui voulait dire, enfin. Parce que oui, s'étendre finalement, après une journée pareille, était agréable.

- Je n'allais quand même pas te laisser sur ta faim. Lâcha-t-elle sur un ton taquin, avant de répondre à son baiser, lui caressant doucement la joue.

Quant la trafiquante s'éclipsa, la Dona, quant à elle, s'endormait déjà. Les effets de l'alcool faisaient finalement effet. Elle accepter le corps chaud contre le sien, un bras s'ouvrant qu'elle puisse venir au plus proche, un fin sourire au coin des lèvres, alors qu'elle était déjà sur le chemin de Morphée.

- Mmmm... mm... fût la dernière réponse qu'offrit Noa à sa belle, avant de partir dans le pays du sommeil, pour une nuit calme et paisible.

Finalement, même si la soirée avait débutée comme un film catastrophe, la fin était heureuse et ce n'était pas si mal, surtout quand on connaissait le monde dans lequel ces femmes évoluaient.

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