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[CLOS] [/!\] Retour au Port FT Apophis
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis
Après plus d'un mois en mer, te voilà à nouveau sur le plancher des vaches. Et tu n'avais eu qu'une hâte depuis que tu avais vu les hautes tours de Londres : Revoir Maël et Apophis. A peine débarqué, tu étais passé par les bureaux pour régler la paperasse, une fois n'est pas coutume, tu ramenais quelque chose de légal. Puis tu prends la direction de tes quartiers au cœur de Londres pour rejoindre ton fils. Entre temps, tu envoies un SMS à Apophis pour lui signifier que tu es rentré.

Après avoir passé l'aprés midi avec Maël, tu te changes. Oui, tu te fais beau pour Apophis. Rasé de frais, tu enfiles un jeans slim noir huilé, une chemise blanche en coton dont les manches, légèrement bouffantes, se resserre aux poignets, possède un col officier et se termine par un laçage découvrant ton torse selon ton envie. Tu passes tes bottes et ton long manteau de cuir. Tu sais qu'Apophis n'aime pas quand tu es trop excentrique dans ta façon de t'habiller quand vous êtes à l'extérieur. Alors tu fais un effort. Un léger noir aux yeux, tes boucles d'oreilles, ton collier et tes bagues. Ta seule réelle fantaisie ce soir réside dans l'épée enserrée dans son fourreau attaché au baudrier que tu portes en ceinture.

Ton manteau permet d'en cacher une grande partie alors tu ne t'inquiètes pas. Et puis on te prend souvent pour un excentrique, un doux dingue trop riche qui ne sait pas quoi faire de son argent... Tu passes récupérer ta commande pour le repas de ce soir avec Apophis et tu rentres dans ta « garçonnière » au dessus de tes bureaux, au cœur des docks de la Tamise. Un mois sans personne dans l'appartement, ça méritait amplement une aération et un coup de balais que tu fais rapidement. Ca ne te prend pas longtemps. L'appartement n'est pas très grand. 50 mètres carré à tout casser... Une chambre de taille correcte, une salle de bain et une pièce à vivre ouverte sur la cuisine. Tu te mets la popote en attendant qu'Apophis ne pointe le bout de son nez.


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04.04.20 0:01
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Retour au port

Rackham et Apophis

Every traveler has a home of his own,
and he learns to appreciate it
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Repos
Avril 2025.
Appartement de Rackham.

Tu sais qu’il est rentré, Maël t’a tenu au courant comme toujours. Tu n’as même pas besoin de demander. T’as fait des missions, t’as même eu pas mal de taf ces derniers temps. Un mercenaire n’est jamais de trop à Londres et tu finis par avoir des contacts qui apprécient ta façon de faire. Chacun son truc après tout, t’es loin de la baba yaga qui semble être dans le coin aussi car tes méthodes sont plus expéditives mais vous avez tous les deux pas mal de boulot. A part le souci que t’as eu avec le contrat qui concernait le jeune étudiant tu t’en sors plutôt bien. Souci en cours de résolution d’ailleurs et t’as passé la journée sur une demande qu’on t’a fait personnellement pour une personne à qui tu veux bien rendre un service. Oui c’est rare mais c’est une situation particulière qui vient d’apparaitre.

Tu te diriges donc vers l’appart’ de Rack, tu sais déjà ce qu’il fait, il doit être en train de préparer à manger, sachant très bien que tu manges que des plats à apporter ou directement dans les restos que t’apprécies. T’es du genre à manger toujours la même chose. Habitude. Jamais de surprise, ce que tu préfères. Tu sais aussi qu’il va s’inquiéter de ton état même si Mael le fait déjà pour deux et soigne les blessures que tu prends. Tu t’arranges pour ne pas te servir de lui à chaque fois mais de toute façon il fait toujours une vérification en plus. Tu te demandes finalement qui est le pire entre les deux : le père ou le fils. Au moins ils peuvent pas dire qu’ils ne sont pas de la même famille. D’ailleurs t’as remarqué le petit mec qui rode près du port depuis quelques temps, tu vas garder un œil dessus.

Cet appart tu le connais par cœur, t’en as même les clefs aussi tu rentres sans t’annoncer, posant ton cuir qui a bien trop vécu à l’entrée. T’affiches un jean, une chemise qui ne cache pas vraiment la dernière balle que t’as pris près de la clavicule mais qui semble avoir été soignée et tes multiples colliers sur ton torse. T’as pas posé le couteau que tu as toujours sur toi, glissé dans la manche droite de ta chemise. Habitude. Tu mets toujours un peu de temps à relâcher ton attention, même avec Rackham. T’as été silencieux, tu l’es toujours, c’est ta principale qualité et ce qui fait de toi un tueur redoutable aussi tu le regardes de dos en train de faire la bouffe, un petit sourire sur les lèvres en le matant. Homme aux fourneaux… « T’es sur le menu ? » Parce que ça fait un bout de temps après tout que vous ne vous êtes pas vus. Tu te décolles du chambranle de porte pour venir vers lui, te posant aucune question sur le fait qu’il veuille ou pas t’embrasser et captures ses lèvres entre les tiennes.
(c) DΛNDELION
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05.04.20 22:34
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis
Maël t'as tenu au courant des missions d'Apophis et de l'état dans lequel il rentrait. Oh pas dans les détails sinon tu faisais demi tour fissa. Mais assez pour savoir si les blessures étaient grave ou pas. Tu sais qu'il a été touché à l'épaule mais que ton fils chéri l'a soigné. Souvent tu te demandes si Maël n'a pas pris le chemin médical à cause de vous deux. Tu secoues la tête et tu te remets aux fourneaux... Enfin « fourneaux » c'est vite dit...

Tu ne fais que réchauffer des plats tous faits qui viennent d'un des restaurants préférés d'Apophis. Tu ne sais que très moyennement cuisiner alors tu vas pas faire de miracle... Quoi que tu as encore rien cramé. C'est déjà pas mal non ? T'entends la clé dans la serrure. Tu t'inquiètes pas plus que cela. Tu sais que c'est lui. D'ailleurs c'est le seul bruit que tu entends. Ton Homme est un chat. Un vrai chat de gouttière à l'instinct de chasseur supra développé. Il se déplace sans bruit et quand il en fait c'est intentionnel...

Quand tu entends sa voix, t'as le sourire qui monte. Tu coupes le feu sous la poêle et tu te retournes vers l'Homme de tes pensées. T'as même pas le temps de dire quoi qu'est-ce que tu te retrouves bâillonné de la meilleure des manières qui soit. Tu te laisses faire, avide de retrouver cet oxygène qui t'a tant manqué. T'es comme un assoiffé devant une fontaine de rhum. Tu t'arrêteras pas de toi même. Tes mains viennent se poser sur ses hanches pour le garder un peu plus longtemps contre toi.

Dieu que son odeur t'avait manqué. T'as le sourire jusqu'aux oreilles quand il se recule assez pour que tu puisses parler. «  Quand c'est toi le client ? Toujours.  » Tu passes ta main sur sa joue. Puis tu prends le temps de le regarder... «  Ton épaule ? T'as faim ? Je t'ai pris un de tes plats préférés. Faudra que je te fasse un check up complet... » Bah quoi... On est jamais trop prudent avec Apophis... Comme il sentait pas la douleur, il ne se rendait pas forcément compte quand il était blessé ou pas.


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06.04.20 0:15
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Retour au port

Rackham et Apophis

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Repos
Avril 2025.
Appartement de Rackham.

Tu n’es pas particulièrement doux, ne te rendant pas toujours compte de la façon trop brutale que tu as de le mordre en l’embrassant ou bien de le serrer contre toi. Tu sens la pression mais pas la douleur de celle-ci aussi tu oublies ce que ça peut faire. On est le miroir des autres et pour ce sentiment là le miroir est brisé de ton côté, ce qui te fait oublier ce que la douleur peut faire. Il sait te le faire sentir si jamais tu y vas trop fort même si tu as remarqué que finalement ça ne dérange pas forcément tant que ça. Après un long mois tout seul et même si tu n’es pas le genre d’homme à être très porté sur le relationnel tu es quand même heureux de le retrouver. Rackham et toi c’est une longue relation désormais, tu connais sa famille, son business et surtout lui sur le bout des doigts. C’est un pirate tu es un mercenaire et vous êtes un peu l’attache dans chaque port que vous avez pris l’habitude de toujours retrouver après vos missions. Une attache que tu ne réalises pas, ne te posant pas forcément de questions.

Un petit sourire nait au coin de tes lèvres à sa réponse et tu observes sa chemise, défaisant le laçage en le laissant parler pourtant. La remarque sur ta blessure te fait lever les yeux au ciel. « Maël a déjà vérifié trois fois que je n’allais pas mourir. » Et c’est un vieux truc, ça met du temps à cicatriser car tu n’es pas du genre à prendre du repos après ce genre de blessure mais c’est bon. T’as été soigné par un copain du petit mec que t’avais en contrat et t’as été soigné de nouveau par Maël ensuite donc tu es loin de la mort. Tu sais que tu n’échapperas pas vraiment à l’inspection mais là franchement t’as une tout autre idée et tu viens l’embrasser de nouveau.

« Tais-toi » T’ordonnes en le faisant reculer jusqu’au premier mur sans quitter ses lèvres, défaisant sa chemise pour avoir accès à sa peau et l’aidant à retirer la tienne pour la jeter plus loin. Au moins il peut voir que ta blessure ne te gène pas et tu viens mordre son cou avec envie en le caressant au travers du tissu de son pantalon, aimant retrouver le gout de sa peau et ses soupirs. Toi qui as si peu de sentiments humains tu te sens jamais plus vivant qu’en désirant quelqu’un et sentir ton corps se réveiller pour un homme comme Rackham ravive le peu de vie que tu as encore. T’es pas un grand causant, tu montres plutôt ce que tu ressens par tes actions et là tu te trahis sur ton manque de contact humain. Quel qu’en soit la raison car tu te poses rarement de questions… Tu finis par te détacher de lui en le regardant les yeux sombres d’envie et t’attaquant à son pantalon pour avoir accès a toute sa peau.
(c) DΛNDELION
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25.04.20 1:17
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis Sacré Maël. Tu n'es pas peu fier de ton fils. Tu sais qu'il magouille, tu l'entraînes à ça depuis tout petit. Mais tu lui as aussi appris qu'il faut avoir une solide couverture légale pour pouvoir magouiller en paix. Et puis ses études de Médecine tu sais très bien que ce n'est pas pour être médecin, mais plutôt pour soigner ton grand nigaud de chéri et toi même. Faut dire que vous n'allez pas toquer aux portes des Hôpitaux. C'est pas le genre de la maison. Mais bon tu n'es pas Maël. Tu as besoin de vérifier par toi même. Tu n'as pas l'esprit tranquille autrement. Tu l'aimes un peu trop pour le perdre à cause d'une blessure conne qui serait mal soignée.

Mais bon après ton inspection peut se faire en batifolant avec ton mercenaire vu que c'est ce qu'il a l'air d'avoir en tête... Et oui tu parles trop, pour deux dans ce cas précis. Faut dire qu'il a jamais été très causant Apophis mais ça n'a jamais été un problème. Ni le fait qu'il soit très directif. Ca t'éclate même de le contredire de temps en temps. Mais te voilà déjà embarqué dans les tumultes d'une étreinte que tu rêves depuis quelques semaines déjà. Bondiou que c'est long un mois. Paraît que les marins ont une femme dans chaque port. Si c'était ton cas avant Apophis, ça ne l'est plus depuis... deux ou trois ans? Vous n'avez jamais parlé d'exclusivité ni de couple ni rien mais ça vient de toi. Tu n'as jamais plus éprouver de quelconque attirance pour un autre homme depuis qu'il s'est solidement ancré dans ta vie.

Oh tu ne lui demanderas jamais la pareille. Tu le ferais fuir. Et tu aimes bien trop votre fonctionnement pour y changer quoi que ce soit. Et puis tu perds de vue tes idées et tes pensées. Tout ton être se focalise sur Apophis. Sur ce qu'il fait, ses gestes, sa peau, ses mains, ses lèvres... Ses yeux. Par Neptune, qu'il t'a manqué ce regard. Tu sens ses doigts s'afférer sur ta chemise et tu fais pareil sur la sienne. Pris au piège, dos au mur, tu n'as pas envie de t'enfuir. Tu te mets volontiers à sa merci. Parce qu'il est aussi à la tienne. Otages mutuels d'une attraction, d'une envie. T'as à peine le temps de couper le feu sous la poêle, que tu te retrouves sans chemise. Tu te fais grignoter le cou et ça te plait. Plaisir que tu exprimes à coup de soupir associés à la balade de tes doigts sur les boutons de sa chemise pour lui enlever. Elle vole loin, tu vois la blessure. Tu vois les soins. Ça te rassure.

Alors quand il s'éloigne pour s'attaquer à ton pantalon, c'est toi qui revient à la charge. Tu attrapes sa nuque de ta main, décolles ton dos du mur et viens écraser ton torse sur le sien, écraser tes lèvres sur les siennes. Il t'a manqué et tu as besoin de son contact comme de l'air pour respirer. Rapidement, tu joues de tes doigts sur son pantalon pour qu'il tombe. Tu deviens un peu maladroit quand il s'agit de te débarrasser du tien, rendu impatient d'un peau à peau par le jeu de ses doigts sur toi. Tu le repousses, le guides vers l'arrière, allant taper la table qui grince et chouine sous le choc. Les verres tremblent et tintent leur mécontentement d'être ainsi bousculer mais tu n'en as cure. Tes mains partent à la découverte, la redécouverte, de son dos, de ses épaules. Le tout taillé à la serpe comme sa mâchoire que tu prends soin de mordiller. Il t'a manqué. Un peu trop vu comment ton corps réagit... Mais le sien n'est pas en reste alors tu as le sourire.


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26.04.20 15:19
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Retour au port

Rackham et Apophis

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Avril 2025.
Appartement de Rackham.

T’as jamais pensé à la notion de couple ou bien d’exclusivité. Tu vis au jour le jour, c’est ce qui t’empêche de penser à ça. Pas que tu aies envie de quelqu’un d’autre que Rackham. Parfois ça t’arrive, c’est très exceptionnel et c’est parce que l’occasion se présente mais tu n’as jamais été homme très porté sur cela, tu apprécies juste la chaleur d’une peau humaine car cela te donne l’impression de te sentir vivre de nouveau et c’est quelque chose que tu peux aussi oublier. Comme ton humanité... Mais quand le pirate est là c’est autre chose car il vient lui-même chercher cette chaleur, il te rappelle que tu peux la trouver à chaque instant contre lui aussi tu te surprends à en être demandeur alors que tu ne l’étais pas forcément au début. Là t’as vu sa silhouette, sentis sa peau en te collant à lui et il n’en a pas fallu plus pour que t’aies envie de lui, surtout que les derniers jours ont été complexes et qu’après autant de missions t’as besoin d’évacuer la pression.

Tes lèvres et tes dents trouvent le chemin de sa peau alors qu’il vire tes affaires avec autant d’empressement que toi, repoussant ta chemise, faisant tomber ton pantalon. Tu l’aides à retirer les siennes, te sentant coincer contre la table comme il te repousse mais tu te contentes de l’embrasser encore, tes lèvres n’ayant pas quitté les siennes depuis plusieurs minutes désormais. Putain c’est long un mois et tu le soulèves dans tes bras en allant, à l’aveugle, vers le lit. Tu connais cet appart’ par cœur, pas besoin de regarder le chemin et tu t’allonges sur lui sur le lit, allant embrasser son cou pendant qu’une de tes mains vient le caresser avec envie, essayant d’être doux comme tu sais que ton insensibilité à la douleur fausse ton jugement parfois et n’ayant pas envie de lui faire du mal, le préparant doucement à toi.

« C’est trop long… » Un mois… Ouais tu le dis… C’est rare… Tu remontes ses cuisses le long des tiennes et t’immisces lentement en lui dans un soupir. Beaucoup trop long et tu viens l’embrasser de nouveau le bloquant en allant et venant passionnément, une main contre ses fesses pour le serrer contre toi, trahissant ton plaisir à lui faire l’amour ainsi. C’est dans ce genre de moment que tu trahis aussi que tu es terriblement possessif, ayant besoin qu’il t’appartienne et qu’il gémisse pour toi et rien que pour toi. Tes gestes montrent le manque de son corps et de sa peau contre la tienne. Tu te redresses pour pouvoir le regarder, tes médailles battant contre ton torse au rythme de tes reins et tu le couves d’un regard intense avant de revenir le caresser pour lui donner autant de plaisir que tu en prends.
(c) DΛNDELION
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10.05.20 23:30
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis T'es bien. Pour la première fois depuis un mois, t'es bien. 31 jours loin de lui. Ça t'avait jamais fait ça avant. Mais faut dire que tu avais jamais rencontré quelqu'un comme Apophis. Tu t'es attaché. Comme un boulet à son pied... Non pas un boulet. Comme une attache, une raison de revenir. C'est ça. Vous êtes votre propre raison de rentrer au port. Tu te fais peut-être trop vieux, trop sentimental. Ou c'est lui qui te rend peut-être plus enclin à s'attacher.

Il t'aide à te débarrasser tes affaires, maladroit comme t'es. Faudrait peut-être que tu songes à des choses plus faciles à enlever quand il est là. Les baisers que vous échangez sont passionnés. C'est là que tu sens vraiment que tu lui as manqué. Il te porte avec une telle facilité. Tu t'accroches à lui sans cesser de l'embrasser. T'as besoin de ta dose d'oxygène pur dans tout ce smog. Ta peau contre la sienne te fait toujours un effet boeuf.

T'atterrir en souplesse dans le lit. T'y restes pas seul longtemps. Il arrive sur toi. Propriétaire, attentif. Tu soupires sous ses mains. Les tiennes s'accrochent dans son dos que tu caresses. Il t'a manqué, tu lui as manqué. Il te le dit. T'apprécies qu'il prenne son temps. Qu'il soit pas brusque. Tu laisses tes doigts découvrirent, redécouvrirent son corps comme il découvre le tien. Tes cuisses s'enroulent autour de sa taille. T'as eu légère crispation qui s'envole vite. Tu te détends et tu soupires le bien qu'il te procure. Tu t'en caches pas. Jamais.

Quand il se redresse et te regardes comme ça... Bon dieu que tu l'aimes quand il a ce regard là. Tu as perdre une main sur son visage que tu caresses. Tu sais qu'il ressent pas la douleur. Mais t'espères bien qu'il ressente l'amour que t'as pour lui en ce moment, la tendresse que tu lui donnes, le plaisir qu'il te donne aussi. Tu poses une main propriétaire sur son cou et tu l'attires à toi. " Tu m'as manqué. " Voilà ce que tu soupires à son oreille alors que tes mains le parcours et que tu murmures son nom au creux de son oreille. T'aimerais qu'il reste, qu'il arrête de prendre des contrats aussi loin. Mais tu ne lui imposeras jamais rien tant qu'il revient vers toi.
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11.05.20 1:17
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Rackham et Apophis

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Repos
Avril 2025.
Appartement de Rackham.

Ses soupirs t’électrisent et tu viens l’embrasser de nouveau avec passion quand il t’attire contre lui en te disant que tu lui as manqué. Lui aussi à vrai dire même si tu ne sais pas le dire. Tu es plus du genre à le montrer, ce que tu fais en ce moment en soupirant contre ses lèvres avant de gronder de plaisir quand il soupire ton prénom. T’adores quand il fait cela et tu le serres plus contre toi comme si tu pouvais te fondre en lui en mordant son cou, essayant d’être doux, ce qui tu rates parfois mais t’es si bien contre lui. Cet instant te plait, un rare moment humain dans ce monde dont tu sembles décrocher de plus en plus.

Le plaisir te fauche alors que tu es serré contre lui, le caressant avec envie, espérant pouvoir l’emporter en même temps que toi. Tu viens l’embrasser de nouveau longuement, passant la main dans ses cheveux, restant contre son corps chaud, repoussant la douche pour après. Le repas aussi. T’es bien de toute façon là donc autant en profiter de ce moment. « Ça a été les livraisons ? » Tu ne lui as pas vraiment laissé le temps de parler ou bien de te raconter quoique ce soit jusqu’à présent, ayant bien trop envie de rattraper le mois loin l’un de l’autre mais maintenant que tu es plus apaisé, vous pouvez reprendre votre conversation même si tu ne comptes pas parler de ta blessure. C’est toujours quelque chose que tu mets de côté.

Tu l’embrasses de nouveau avant de le libérer de ton emprise, te laissant tomber sur le côté sur le dos, l’attirant contre ton torse en caressant sa peau. Tu ne touches aucune peau à part pour tuer lors de tes missions, alors c’est étrange de sentir son épiderme sous tes doigts mais agréable à retrouver. Tes gestes sont mécaniques au début avant de retrouver plus de naturel. « C’est quand la prochaine ? » Quand il est dans le coin t’essaies de voir ce que tu peux avoir comme missions pour ne pas partir à l’autre bout du pays même si tu le dis pas forcément. Et puis cela dépend aussi ce que ça paie et des services que tu as à rendre ou bien à prendre. Parfois pour avoir un contact tu ne dis pas non même si ça t’éloigne. De toute façon aucun de vous deux ne demandent à l’autre d’arrêter, vous vous êtes connus ainsi, cela ne changera pas.
(c) DΛNDELION
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16.05.20 23:11
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Qu'est ce que tu es bien dans ses bras. Tu t'accroches à lui, tu l'enlaces. T'aimes l'entendre gronder comme ça, quand il se fait sauvage. Des fois t'as mal, des fois tu as des marques. Mais c'est rien comparé au plaisir qu'il te donne à chaque fois. T'aimes peut-être avoir un peu mal quand c'est lui. T'en sais rien, tu n'y as jamais pensé, jamais réfléchit. Mais là, t'es pas du tout en train de réfléchir. Là t'es en train de prendre du plaisir avec l'homme que tu aimes. Sans retenue aucune, ça fait trop longtemps que tu ne l'avais pas eu entre tes bras. T'exploses comme lui, inattendu, puissant. Ça te fait un peu tourner la tête et t'es content qu'il te garde contre lui.

Tu y prends tes aises, tu veux plus sortir du lit. Tu l'embrasses longuement. Tu ronronnes dans son cou alors qu'il caresse tes cheveux. Par Neptune, tu resterais bien là toute ta vie. Qu'importe les sirènes du large et leur chant quand tu tiens ton Dieu de la Mort dans tes bras. Tu vas t'allonger sur son torse, l'embrassant doucement. "Disons que oui. Banshee a déclenché une bagarre au pub où on descend d'habitude à Montréal mais c'est pas grave on a juste changé de point de descente. Pour le reste, sans soucis. J'ai ramené du sirop d'érable au top. J'en ai gardé quelques fioles. "

Tu caresses son corps alors qu'il fait la même chose avec le tien. " Je sais pas. Pas tout de suite. Je veux rester un peu. Je pense reprendre la mer dans deux mois. Tu sais le temps de regarder les comptes, faire le tour de la clientèle, prendre les grosses commandes... Voir Maël... Il grandit tellement vite... C'est un homme maintenant et je ne sais même pas comment ça se passe pour lui en dehors de la gestion. " Tu soupires. T'as pas forcément été un père très présent une fois qu'il a su se débrouiller seul. Et encore plus maintenant qu'il est grand et que tu as Apophis. "Et toi? Tes contrats vont te mener loin ou tu as un peu de travail à domicile?" T'aimes bien quand il est près de toi. Quand tu peux le voir quelques soirs voire tous les soirs de la semaine. Lui faire -commander- des bons petits plats, lui faire des massages...
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23.05.20 22:16
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Rackham et Apophis

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Avril 2025.
Appartement de Rackham.

Tu caresses avec douceur son dos. Quand tu es ainsi tu es content de ne pas avoir perdu toutes tes sensations. Ton asymbolie te tuera un jour mais au moins tu peux profiter de ces moments de douceur car tu as gardé le sens du toucher, ton cerveau ne veut juste plus reconnaître les stimulis de la douleur. Cela te fait faire des erreurs, lui fait mal sans le vouloir car tu ne te souviens plus de ce que la douleur est mais tu comptes sur lui pour te le dire. Comme pour Maël. Tu ne désires pas leur faire du mal mais de longues années sans ressentir la douleur te rendent un peu spectateur de ce genre de sentiments et tu t’y perds. Cela change aussi ta façon de tuer au fil des années. Tu en deviens plus sanguinaire, plus lent, voulant essayer de te souvenir ainsi de ce que la douleur peut créer. Tu ne penses pas que tu arrêteras ce travail, ce sera certainement plus lui qui t’arrêtera un jour mais tu n’y penses pas.

Banshee… Comme toujours. Tu ne te réponds rien à cela. Tant que cela n’a pas posé de soucis à Rackham véritablement et surtout qu’il n’a pas été blessé à cause de cela, tu laisses passer... Le sirop d’érable tu n’en as pas mangé depuis pas mal de temps. Cela fait une éternité que tu n’as pas été au canada faut dire et tu seras content de pouvoir goûter de nouveau. Toi qui ne manges pas grand-chose de nouveau tu changes toujours un peu de régime quand Rackham est là comme il aime la nourriture plus diversifiée que toi. Tu te doutes qu’il va rester un peu comme il a ses comptes à faire et envie de retrouver son fils mais d’avoir une estimation te permet d’organiser aussi tes contrats. Même si tu as beaucoup de choses qui tombent du jour au lendemain, ça t’arrive d’en avoir plus sur le long terme.

« Il a bien géré » Maël gère très bien les affaires de Rackham. Pour le reste tu sais exactement avec qui il traine parce que tu gardes toujours un œil sur lui même s’il ne te voit pas. T’as remarqué aussi la petite fouine qui rode autour de lui, tu l’as déjà vu à plusieurs endroits et gardes un œil dessus, toujours assez protecteur quand il s’agit d’eux deux. « J’ai du boulot en ce moment sur Londres » Tu as eu pas mal de contrats depuis que tu es de retour dont celui qui t’as valu la balle que tu as pris dans la clavicule. « Il y a pas mal de choses qui bougent dans l’ombre. Je ne sais pas quoi mais je ne pense pas manquer de travail » Quelque chose s’étend et tu n’arrives pas encore à mettre la main dessus mais ça viendra. Tu passes la main dans ses cheveux et l’attires contre tes lèvres pour l’embrasser avec envie. « J’bougerais plus tard. » Quand il bougera aussi. « Dis a tes gars de rester sur leur garde » Intuition…
(c) DΛNDELION
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26.05.20 23:14
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis

T’es vraiment bien dans les bras d'Apophis. Tu aimes quand vous avez le temps de vous poser, qu’il te câline. Tu lui racontes ton voyage au Canada. Tu lui expliques la bagarre déclenchée par Banshee. Non pas en mal, Banshee était dans son droit. Et puis, tu sais que tous tes gars sont bagarreurs comme toi, comme ton fils, comme Apophis. Et tu les as pris avec toi pour ça. Et puis leur loyauté ne dépend pas de quelques billets de plus. C'est la famille. Tu t'occupes d'eux et des leurs comme les tiens. Et au final c'est tout ce qu'ils demandent. T'as acheté la partie du port et le quartier où ils ont leur maison. Autant dire que t'es un proprio des plus cool.

T'es content de savoir que ton fils se débrouille mais aussi qu'Apophis veille sur lui. Ca t'enlève toujours un poids énorme quand tu pars. Oh bien sûr Maël a toujours ses grands parents dans la maison de maître mais ils ne sont plus tous jeunes. Et même si tu le sais bien entouré, menant son petit business... Tu peux pas t'empêcher de te dire que fricoter avec un petit noble et une fouine ce n'est pas safe... Et toutes ces choses tu les sais parce que ton homme veille au grain. Et tu ne l'en aimes que d'avantage. Tu lui caresses la joue. Amoureux que tu es de sa peau.

" Je suis content que tu restes à Londres. Je pourrais profiter de toi. " Tu l'embrasses avec la même passion qu'il te donne. Te voilà sur son torse, sa main dans tes cheveux, à l'entendre s'inquiéter. Il ne te le dit jamais, qu'il tient à toi, qu'il t'aime ou qu'il a peur. Mais tu le sais, tu l'entends, tu le comprends quand il reste dans le coin, arrange son planning pour coller au tien, quand il prend soin de Maël même de loin et quand il te dit d'être prudent... "Je vais le dire à Banshee et aux gars. Je vais prendre Will avec moi quand je me déplacerais en dehors des docks. Tu sais qu'il est doué au corps à corps... Pas autant que toi mais suffisamment. " Tu viens embrasser ses lèvres avec délicatesse.

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21.06.20 0:17
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Retour au port

Rackham et Apophis

Every traveler has a home of his own,
and he learns to appreciate it
the more from his wandering

Repos
Avril 2025.
Appartement de Rackham.

« Je vais devoir bosser. » Tu précises quand même. Rackham a tout autant de travail que toi avec son business mais tu sais aussi que tu es faible quand il te demande de rester un peu plus longtemps avec lui et tu as quand même des missions à effectuer, ayant du mal à rester inactif. Tu n’as pas besoin d’argent, tu vis de peu de choses et le pirate n’a pas besoin d’argent vu son travail et ses a-côtés mais tu apprécies qu’on te doive des services un peu partout car y’a certaines choses que l’argent ne peut pas payer. C'est toujours pratique que les différents clans de la ville aient une dette envers toi, cela permet de pouvoir se protéger voir protéger quelqu’un qui en aura besoin à un moment. Vu les gens sur lesquels tu veilles, c’est toujours utile.

Tu es protecteur aussi tu ne peux pas t’empêcher de dire à Rack qu’il faut qu’il se protège, ses gars et lui. Tu penses surtout à lui mais tu sais que c’est sa famille et que si un crève il en sera malheureux aussi tu donnes un conseil même si a part lui et Maël, rien ne te touche réellement. « C’est bien. » Tu ne demandes pas a Will d’être un tueur comme toi mais il saura intervenir s’il y a besoin et c’est le plus important. En ce moment la hargne contre les irlandais est trop importante pour ne pas prendre de précaution et on ne peut pas dire que ton pirate est l’être le plus discret de ce bas monde. Tu acceptes sa façon d’être mais te méfies que cela lui dessine une jolie cible sur le dos.

« Tu voulais pas manger ? » Demandes-tu quand il vient t’embrasser de nouveau, l’attirant sur toi et te redressant pour que vos torses se touchent. Ça pourrait être même une bonne idée mais tu le laisses choisir, embrassant sa clavicule avec douceur. « J’ai déplacé mon QG. » Tu continues d’embrasser sa peau. Tu n’as pas besoin de définir ce que c’est, Rack sait que tu t’installes toujours dans un bar ou un pub ou autre où on peut te contacter facilement si on a besoin de toi. Généralement tu monnaies la discrétion de la personne et tes messages contre une protection donc tu t’arranges pour te mettre en dehors de familles mafieuses de Londres. « Un bar légal, le Four Birds » Comme ça il sait où il peut envoyer ses contacts si on a besoin de toi et surtout sur quel bar tu veilles. C’est rare que tu trouves un bar totalement clean en plus. Ça finit par être très exceptionnel à Londres.
(c) DΛNDELION
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01.07.20 0:45
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"Retour au Port"«Le mal que font les hommes leur survit, le bien est souvent enterré avec leurs os.» William Shakespeare.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Apophis

Tu sais qu’il va devoir travailler. Toi aussi. T’es à terre mais c’est pas pour autant que tu vas te la couler douce. Apophis c’est tes vacances, ta bouffée d’oxygène, ton moment de paradis dans tout ce merdier qu’est la vie. Ton fils aussi. Ta petite merveille qui a tellement grandi. Un beau jeune homme maintenant. A l’esprit vif et aiguisé. Qui s’en sort plus que bien à gérer tes affaires quand tu es pas là avec le comptable. Et tu connais la bande sur laquelle il s’appuie. Leurs parents travaillent pour toi depuis longtemps. Tu sais qu’ils sont sûrs. Et tu es resté trop longtemps en mer parce qu’Apophis avait des angoisses. Donc tu vas être débordé. « Je te demande juste d’être là le soir. Qu’on soit un peu ensemble. Juste... un... petit... peu. » Que tu lui dis en l’embrassant.

Tu ne prends jamais à la légère ce que te dit Apophis. Il a rarement tord. Voir jamais. Et puis tu n’es pas sans protection. Tu n’as pas que l’obéissance de tes hommes, tu as aussi leur affection. Et ça, rien ne l’achète. Est ce que tu voulais manger? Tu souris. « Oui... Je veux te manger maissss... tu as besoin de reprendre des forces. Alors on va manger un vrai repas. On va barboter un peu dans la baignoire et après je te mangerais tout cru. » T’as un sourire jusqu’aux oreilles. T’aimes bien l’embêter un peu. Le taquiner. Tu aimes ton mercenaire. Tu n’as pas honte de le dire. Tu fais juste en sorte de ne pas l’embarrasser avec ton amour.

Avant de te lever tu l’écoutes t’expliquer qu’il a bougé d’endroit. Et comment bouger d’ailleurs quand il laisse ses mains traîner sur toi comme ça ? Impossible... C’est un crève cœur pour toi que de te forcer à te lever, à t’éloigner... Mais tu le fais pour lui. Parce que tu sais qu’il ne se nourrit jamais correctement. Et en plus il a été blessé, il doit refaire le plein. « Je connais de nom. Maël y va. Conrad m’a fait un rapport sur l’endroit et Hypnos a checké la sécurité. Ils ont vraiment l’air clean et en dehors des familles. C’est bien. Aller. Viens manger. » Vous aurez tout le week end pour vous câliner mais là il fallait vous nourrir d'un peu plus que d'amour et d'eau fraîche.

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02.07.20 18:56
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