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"Welcome home Honey"
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Je me demande s'il va rentrer aujourd'hui. Je n'en sais rien et je m'en moque. Je croise les bras, au milieu du salon avant de secouer la tête. N'y pense pas. Je me dirige vers la table ou sont entassés pelle-mêle toutes les illustrations que j'ai réalisé ce week end en vue de la réalisation lundi. Quarante-huit prothèses à faire poser sur 16 acteurs, dont trois véritables divas qu'il allait être bien difficile de convaincre de bien vouloir se faire mouler les parties du corps concernées. Ils avaient signé, mais aucune date n'avait été fixée. J'allais devoir leur courir après. Cette commande était importante, c'était sans doute la plus importante que j'avais eu depuis que j'étais arrivé ici. Elle provenait du Royal Opéra House, et c'est sans doute beaucoup trop de travail pour un seul homme. C'est pour ca que je ne serais pas seul sur ce projet. Le cachet que j'ai touché, je l'ai divisé en quatre parts égales, et demain, trois personnes de plus envahiront mon atelier. Entendez par là ma vie, mon espace vitale, tout ce qui fait de moi ce que je suis... et ho, j'exagère sans doute un peu. Ils vont entrer dans mon atelier, que je loue une vraie fortune, et bien sûr se serait bien que d'autres personnes y mettent les pieds mais je suis SI réticent... Et puis il y a le Business aussi juste à l'arrière, ainsi que le magasin ou je fais des heures supplémentaires et que je compte acquérir en viager. Les faux papiers se vendent comme des petits pains, qui l'aurait cru ? Ca m'a d'ailleurs bien sauvé la mise. Cela fait six mois environ que je vis ici. J'en ai vu de toutes les couleurs...

Je pensais à comment il avait été difficile de trouver ce logement. A tout ce qui s'en était suivit. L'appartement dans lesquels je louais une chambre en colocation était parti en fumée, ainsi que les maigres possessions matérielles que j'avais emmené avec moi a peine un mois après mon arrivée. Ne subsistait qu'une photo et le cellulaire. Le reste avait soit brûlé soit était si imprégné par la suie et la fumée, moitiés fondus, que tout était bon à jeter. L'appartement ressemblait à une scène de crime. Quelque chose d'horrible et de puant avait prit tout l'espace, quelque chose de noir, d'incroyablement salissant et tenace. L'odeur de brûlé flottait jusqu'au hall d'entrée.
Mes collègues de travail du théâtre avaient été très accueillants et je gagnais suffisament d'argent pour séjourner à l'hotel le temps de trouver autre chose. Une chambre de la taille d'un cagibi, un grenier en fait, juste sous les toits avait fait l'affaire pendant un temps. Et puis l'un de mes contacts de mon autre vie m'avait parlé de sa recherche d'appartement. On avait convenu de louer cet endroit ensemble sans jamais s'être vus. Il était loin de connaître mes antécédents et j'étais loin de connaître tout les siens. Pourtant nous parlions ensemble depuis des années. Il savait que je savais qu'il savait que nous étions tout deux des truands et qu'il n'est pas du tout raisonnable en général, dans aucun domaine ou presque. Et que j'aimais passionnément les nouilles japonaises instantanées et même que j'ai déjà essayé d'en faire pour de vrai plusieurs fois. Nous emménagions ensemble il y a deux mois de cela.

Banshee est un truand, pas de doute. Tout, de ses fringues à son attitude le clament. Et puis c'est un coureur bien sûr. Il aurait tort de s'en priver avec une plastique pareille. Il fait tourner la tête de tout le monde, la mienne y compris. Et il le sait parfaitement. Il en joue d'ailleurs. Ca me met les nerfs en boule rien que d'y penser. La tension érotique a été présente dès le départ entre nous. Quand nous nous sommes dit bonjour, dans l'entrée du logement. Sa façon de retenir ma main dans la mienne et puis son regard. Et c'est toujours comme ca, avec tout le monde je crois bien. Un tombeur. Surement est il allé tenter un autre. Moi au départ je m'en fichais. J'aime être avec Sully. Il m'a sauvé la vie. Il m'a aidé par la suite. Je lui suis très reconnaissant. J'aime le corps de Sully. Beaucoup. Et puis son courage, et... J'ai rembarré Banshee et sa plastique de rêve. Aussi parce que je le connais depuis longtemps, sans le connaitre et puis coucher avec son colocataire ca ressemble bien à une mauvaise idée. C'était mon ami d'internet. J'ai du mal avec l'idée que ce soit ce mec. J'ai du mal a coller le type que je onnais derrière l'écran et ce gars. Pourtant ils sont pareil... Non ? L'un a disparu de ma vie quand l'autre à débarqué. Et mon pote sur les réseaux me manque drôlement.

La tension entre nous n'a fait que monter. C'est ce que je pense, je suis pas bien sûr. Un soir, on a eu une discussion anodine qui a viré à la dispute presque, il m'a empoigné, et il m'a embrassé. J'en pouvais plus de le regarder à la dérobée et j'ai... Un peu participé. On était à moitié nus à se carresser quand je me suis carrément enfuit comme un lâche. Le lendemain, il n'était plus là. Et il est toujou... J'entends distinctement le déclic de la clé dans la serrure.
J'étais en train d'y penser, juste maintenant. Je fais comme si. Je m'en fiche. Je reprends mon travail, bien décidé à l'ignorer avec toute la superbe dont je suis capable.
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20.06.20 0:21
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BANSHEE
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FACE IDENTITY : Vinnie Woolston
IDENTITE : Leroy McDougall
GROUPE : Fuck the Law
RANG : Second du Capitaine
AGE : 29 ans
ETAT CIVIL : Célibataire
PROFESSION : Marin / Hackeur Faussaire
ETAT DE SANTE : Quelques contusions
LIENS : Rackham : Son Boss
Apophis : Son Modèle
Dorian : Son Passe Temps
Arthur : Son Amoureux



Aujourd'hui tu rentres au port. Trois semaines en mer. Deux semaines que t'en pouvais plus d'être loin de lui. Tu commençais à comprendre le patron quand il te disait que c'était long. Tu ne pensais pas que ça te ferait ça un jour. La sensation de manque. T'en avais jamais eu. Même pas avec D'an. Et pourtant Dieu sait que t'aimais bien son petit cul.

Non là c'est différent. Y a un truc que tu n'arrives pas à définir. Quelque chose de magnétique chez Arthur. Un truc qui te ramenait toujours vers lui même quand il jouait au con avec toi, quand il t'allumait, qu'il te repoussait après. Mais tu le connais depuis très longtemps. Tu sais plus depuis combien de temps, tu chattais avec ton américain, bien avant qu'il se retrouve sur le bateau de Jack...

Bien avant que tu vois son petit cul se dandiner devant toi sur le pont, bien avant que tu ne vois sa petite bouille et ses airs de renardo. Au final tu connaissais pas grand chose de lui mais quand son logement avait pris feu, t'avais sauté sur l'occasion pour le faire emménager avec toi. Tu lui avais fait croire que tu avais besoin d'un colloc mais en vrai pas du tout. Tu payais pas de loyer sur le port, juste les diverses taxes, comme tous les employés de Rackham. Le port était à lui. Enfin cette partie du port et la petite cité adjacente. Ca fait deux mois maintenant. Et t'en avais pratiquement passé un en mer.

Purée, tu comprends pas pourquoi il veut pas de toi. Pourquoi il te repousse après t'avoir allumé. T'es pourtant le même gars que celui qui entretenait une correspondance avec lui sur le darkweb. Pourtant t'es persuadé que tu lui plais... Alors pourquoi il fait sa tête de mule? Tu te souviens encore du soir où vous aviez vrillé. Tu vous revois, à moitié nus sur le lit, en train de vous embrasser, de vous caresser... Vous étiez bien. Tu t'en souviens encore. Et rien que ça, ça te donne envie de rentrer plus vite...

Même si au final il s'était enfui et que tu étais allé passer ta frustration avec D'an. Tu faisais la gueule. Tu l'as pas revu avant de partir, vous vous étiez pas expliqué par sms non plus. Parce qu'en mer t'es en mer. Tu pouvais pas te permettre un faux pas parce que tu pensais à lui. Même si un soir tu t'es bagarré dans un bar en Norvège parce que t'en pouvais plus de la tension qui s'était accumulée depuis. Tu le regrettais un peu parce que les gars ont sorti une arme et le patron a été touché. Même s'il t'assure que c'était inévitable, t'as quand même bien dérouillé le mec qui avait tiré. Tu sais pas... Il était peut être même mort de ses blessures... En même temps on touche pas au boss.

" Arthur? Je suis rentré! " En tout cas tu kiffes à donf l'accueille glacial... T'as bien fait de rentrer dis donc... Truc de ouf. Aller on quand le sourire. Tu te diriges vers lui, installé à son bureau, en train de faire semblant que t'existe pas. Tu poses un sac de sport devant lui en l'embrassant sur le crâne. " Tiens... Cadeau. J'ai pensé que ça te ferait plaisir. " Une façon de te faire pardonner d'être parti sans rien dire... Dedans il trouvera un kit de MPU D80 est un polyuréthane, des pastilles de GEL 25, des pâtes Nose et du silicone à prise rapide. Des trucs qui coûtent généralement une blinde...


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21.06.20 21:47
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Je n'ai pas tourné les yeux dans sa direction. Je caresse mes favoris du bout des doigts, un peu agacé par le sac qui s'est abattu sur mes dessins. Je reste immobile, puis comme les secondes passent, je me décide à regarder à l'intérieur.

"..." Il y a beaucoup de matériel. Du matériel qui coute cher. De quoi fabriquer des prothèses très convaicantes une fois peintes. Comment et ou s'est il fourni ca ? Sur internet ? C'est bizzare non ? Est-ce qu'il achète de quoi programmer à Banshee ? Est-ce que c'est sensé être comme un bouquet de fleur ?

"...T'essaies de m'acheter la ?" Pause dramatique. "... J'dois dire que ca marche." Je lève un sourcil en l'air en le regardant. Juste une seconde. Puis je détourne les yeux, revenant au sac. "T'as braqué qui ?"

"Braqué? Pourquoi j’aurais braqué quelqu’un ?"

Arthur n'aurait pas posé de questions. Il aurait dit merci et il serait passé à autre chose. Mais dans cet appartement, j'ai pas besoin d'être quelqu'un d'autre. J'ai pas besoin d'avoir l'air plus con que ce que je le suis. Le mystère autour de Banshee est aussi épais que la pollution de la tamise. J'aime pas ca. Avec ses allures de crocodile a nager comme ca en eau trouble, il n'a rien de rassurant. Et j'sais pas mais... J'me méfie. C'est comme une seconde nature. "J'sais pas ya l'équivalent d'un salaire dans le sac... Et t'as les phalanges abîmées. On peut savoir où t'étais passé ? Moi et moi aimerions le savoir à titre... informatif."

"J’étais en Mer. Je te l’ai dit. Je suis marin... On avait un contrat en Norvège. Import export... c’est là que j’ai trouvé ça à pas cher... Je me suis battu dans un bar. Un type avait mis en joue le capitaine... mais depuis quand ça t’intéresse?"
Oui c'est vrai, il m'avait dit qu'il était marin. Mais pas qu'il devait partir et j'avais déjà emménagé depuis un petit moment ici. Et je pensais qu'il se passait quelque chose. Je ne le regarde pas dans les yeux parce que je déteste qu'on puisse y lire ce que je pense. Je repousse le sac et reviens à mon travail.

"Tu as raison ! Je m'en moque !"

Je l'entends soupirer et j'ai une envie farouche de me saisir d'une de ses emplettes pour la lui tirer en pleine tête.

"T’es con..."
Je tourne de nouveau le visage, tout prêt à l'envoyer ballader, piqué au vif et... Il grimace en se tenant les côtes avant de s'en aller. Il ferme mal la porte de sa chambre. Je n'ai rien raté de la scène et regarde dans la direction où il est parti, inquiet. "...." C'est pas tes affaires Ollie, laisse le se débrouiller d'abord... OH et puis zut. Je finis par me lever et je vais jusqu'à la porte entrebaillée sur la pointe des pieds pour espionner. Il est en train d'ôter son haut. Sous le t-shirt un bandage franchement mal fait apparait. Je me penche un peu trop. La porte n'était pas vraiment fermée. Elle couine quand je m'appuie un peu sur le battant pour mieux voir.

"Heu haha."

C'est son tour de hausser un sourcil.
"La curiosité est un défaut tu sais?" Et le fait d'être un petit con bagarreur, un coureur et un imbécile même pas foutu de dire ou il est parti on en parle ? Même pas un seul texto, rien. T'étais même pas en ligne sur les réseaux. Bien sur, je dis rien de tout ca. Je dis rien du tout. Je m'en moque. "Tu peux m’aider? J’arrive pas à enlever le noeud dans le dos."

"Oui" Oui bien sur allons y. "Ce bandage est nul." Je m'approche et passe dans son dos. OK. OK c'était pas une bonne idée. J'crois que j'ai une absence ou bien j'ai bugué, je suis clairement en train de le mater la. Je défais le bandage délicatement et grimace en avisant l'état de mon coloc. Je siffle.

"He beh..."
"Ah bah ça rigole pas un viking... il avait des poings comme ma tête... mais j’ai gagné..." Voilà le genre d'information qui me dépasse. Je déteste la violence. J''observe le tatouage qui court sur ses côtes, un tribal qui disparaît dans son pantalon. Tu l'as déjà vu, il promène régulièrement torse-nu. Et il... enlève son jean.
GASP.

Il est presque tout nu. J'ai bien du mal à en détacher les yeux, je suis le tribal qui descend le long de sa cuisse... alors que je recule en direction de la porte. Je m'arrête sur le pas, la main sur la poignée.

"C'était quoi l'objet de la bagarre ?"

Il se débarrasse de son boxer non sans peine. Je me dis que je l'aurais bien aidé. "La vie du capitaine. Je supporte pas qu’on menace le boss d’une arme à feu parce qu’on a perdu aux fléchettes"

"Tu traînes vraiment dans de drôles... hem." J'avale ma salive. Ok là ca va pas le faire. Mon corps est un sale traître. "Bonne douche." Je referme un peu brusquement la porte le cœur battant à toute allure. Je erre dans l'appartement, complètement perturbé... Et je termine ma route la tête sous le jet d'eau de l'évier. Couché Olliver. "Fallait me le dire que tu voulais prendre une douche... je t’aurais laissé la place... ou on l’aurait pris à deux" Je fais un bond et je me cogne l'arrière du crâne sous le robinet. "AIE !" Je me retourne vivement, ma main massant l'endroit de l'impact. L'eau ruisselle de ses cheveux sur ses épaules et dans son dos "Tu es... Tout nu" Je papillonne des yeux plusieurs fois.

"Tain t'es maladroit... Fais voir si tu t'es pas ouvert..." Il attrape mes épaules à deux mains pour regarder mon crâne. Mon nez frôle sa carotide. "Non ca va... Ça change pas trop de d'habitude quand je suis la.. je suis souvent en boxer... Ça te gêne? Fin la c'est surtout que j'allais prendre une douche tu vois ?"

J'essaie bien de reculer mais l'évier est juste derrière lui. Je me retrouve dans une situation qui franchement me dépasse. Ouais je l'ai vu une ou deux fois en boxer mais pas tout nu non plus. Et là je peux pas vraiment expliquer ce que je fichais avec ma tête sous l'évier. Je suis sûr qu'il va finir par se rendre compte que je respire plus ou presque ou alors entendre les battements précipités de mon cœur. J'inspire un peu fort. "Non non bien sûr c'est courant je veux dire... Sur les plages nudistes bien sur. Des endroits horribles. Pas que les gens tout nus soient horribles, tu es loin d'être horrible et olala qu'est ce que je raconte tu... Tu devrais y aller alors. A la douche" Mon débit de parole s'est emballé à cause du stress que me cause la situation la tout de suite.

Il me dévisage avec intérêt avant d'hausser un sourcil. "Je sais pas si je dois te dire merci pour le dire que je suis pas horrible a regarder ou si je dois t'embrasser pour faire cesser le débit de parole... Aller option deux" "Non atten.." Il prends ma tête entre tes mains et il m'embrasse sur la bouche. Ses lèvres se pressent doucement sur les miennes. Mes bonnes résolutions fondent comme neige au soleil. Les mains en l'air, j'ai les yeux tout écarquillés d'abord. QU'ESTCEKEJEFAIIIIS ? Mes mains se posent lentement sur ses épaules alors qu'il recule le visage. Je suis rouge, mais alors bien rouge c'est sur, mes joues sont en feu. "On est juste amis OK ?" J'attends pas vraiment de réponse avant de revenir l'embrasser, un peu moins doucement, mes bras s'enroulant autour de son cou. Je l'embrasse comme je n'ai embrassé personne depuis longtemps. Parce que j'en ai envie, en fait. Je m'en rends bien compte maintenant. J'ai eu le temps de m'en rendre compte, tout le temps. Pourtant... Ca peut pas aller trop loin. C'est pas possible. Pourtant ses mains passent autour de mon dos. Pourtant je me rapproche un peu plus. Il n'y a plus que le tissu de mes vêtements entre ma peau et la sienne. Par endroits, la ou la chemise est mouillée, je sens un peu plus la chaleur de son corps.
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09.07.20 0:03
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BANSHEE
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LIENS : Rackham : Son Boss
Apophis : Son Modèle
Dorian : Son Passe Temps
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Tu soupires parce qu'il est du genre bien chiant avec ses questions. Ca t'apprendra à vouloir lui faire plaisir en prenant sur ta solde pour lui payer un truc dans la légalité. La prochaine fois tu les lui piqueras comme ça il pourra râler pour quelque chose... Attends pourquoi tu dis la prochaine fois?? Woowoowoo On va put être pas chercher à lui faire plaisir à nouveau si c'est pour être reçu comme un criminel à chaque fois hein... Bon ok t'en es un mais c'est pas une raison compris??

Non mais sérieux. Il est vraiment con. Tu veux lui faire plaisir et lui... Il te fait du mal. Oh pas physiquement, il ferait pas le poids. Quoique... Là avec tes côtes abîmées il pourrait... Tu hausses les épaules parce qu'il veut rien comprendre à rien. Il doit bien se douter qu'en mer le téléphone ça passe pas??? Qu'il faut un téléphone spécial que seul le capitaine possède... Non? Bah tant pis. Du coup tu lui lâches un "t'es con" et tu files dans ta piaule pour te déshabiller. T'as besoin d'une douche. D'eau chaude sur ton corps meurtri par un géant des glaces.

Tu t'attendais pas à ce qu'il te suive en loosdé ni qu'il se viande avec la discrétion... Il vient t'aider à enlever tes bandages. Ouais tu sais que c'est pas fait de façon terrible mais t'ira voir le doc demain. C'est tout. Là c'est fait de bandages de fortune avec le kit de premier soin... Apparemment t'es pas mal côté bleu vu le sifflement... Ca a du tourner violet depuis deux jours... Tu sens d'ailleurs ses yeux sur toi. Son regard glisser sur ton corps qui se dévoile, à moitié nu pui entièrement nu, à ses yeux.
Il sort tellement vite en se cognant partout que tu te demandes s'il va bien et que tu le suis. Tu le vois se foutre la tête sous l'évier et tu décides de l'emmerder. mais ce con se claque le crâne sur le robinet. Tain il est vraiment pas doué... Tu lui dis qu'il est pas doué. Que s'il voulait prendre une douche tu l'aurais volontiers pris avec lui. C'est une douche à l'italienne c'est assez grand pour deux... Mais il parle et bafouille tellement que tu trouves rien de mieux que de l'embrasser pour endiguer le flot de paroles.

Tu t'attendais à ce qu'il s'enfuit... Mais non... Il ne le fait pas... Il est tout rouge, c'est mignon. Ca t'attendrit... Mon dieu qu'il est beau à être si timide. T'as pas le temps de répondre à sa question qu'il t'embrasse à nouveau de lui même. Le baiser qu'il te donne c'est pas un truc doux et platonique. Non. Ca te prend les tripes, ça te les tord, les retourne... Bon sang... Ca c'était un baiser bourré d'envie et de frustration. Ca te malmène les lèvres mais que c'est bon. Ca fait 5 mois, plus ? Moins? que tu attends qu'il t'embrasse comme ça. Qu'il te colle, te touche. Qu'il se colle comme ça, contre toi... Bien sûr que ça te fait réagir, la fraîcheur de sa chemise contre ton corps en ébullition. Tu glisses tes mains sur ses fesses, les palpes, les caresses... Tu les abandonnes pour venir déboutonner sa chemise. Les gestes sont un peu maladroit parce que tes côtes te tirent mais t'en as rien à foutre. T'attends ce moment depuis trop longtemps. T'es trop au taquet, impatient... Si tu arrives pas à enlever les boutons tu lui arracheras sa chemise... Et c'est pas le seul vêtements que t'es capable de lui arracher.


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21.07.20 21:27
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Ses mains voltigent littéralement de mes fesses au col de ma chemise. Je recule à peine, je manques d'air. Il a les doigts qui tremblent. Le premier bouton cède. Je respires un peu mieux.

Il y a 9 boutons à ma chemise. Ses doigts glissent sur mon cou à la recherche du second. C'est étrange comme nous sommes figés tout les deux, lui très concentré sur sa tâche, moi concentré à analyser ce qui est en train de se passer. J'ai bugué.

Deuxième bouton. Ca fait 6 mois que tu vis à Londres. Il fallait que tu partes. Mais partir ou ? Dans quel pays ? Il valait mieux partir loin, assez loin pour qu'on ne te retrouve pas si facilement. Quitter le continent. Tes copains t'ont suggéré l'Europe. Banshee était à Londres. Leroy. C'était ton meilleur pote, et pourtant le seul que t'avais pas rencontré. Tu l'as jamais appelé par son prénom, pour toi, c'est Banshee. Il t'appelle Arthur depuis qu'il t'a rencontré en chair et en os. Tu l'appelles toujours Banshee. Bref tout ca pour dire que c'est ce qui a motivé ton choix au final. Ca et un travail dans une boutique de farce et attrapes en tant que vendeur en cdi. Il fallait bien recommencer quelque part...

Troisième bouton. Tu as changé de nom et vieillit de 4 ans, gagné quelques poils au menton et des favoris, une moustache que t'aurais jamais toléré avant et quelques kilos de plus venus s'inviter à la fête. Quand tu te croises dans le miroir au réveil tu vois un inconnu. Tu l'habilles, tu le coiffes, tu l'arranges, tu le modifie. Petit à petit Arthur apparaît devant toi. Avant, tu portais rarement des chemises, et quand tu en portais c'était pour faire le bg sur la plage, pieds nus en jean et chemise ouverte sur tes abdos naissants. A l'époque tu avais un avenir, tu faisais des études et tu était promis à un brillant avenir. Tu te fais l'impression d'être vieux. Tu fais du sport pourtant. Ici ça consiste à te réveiller en vrac sur ton travail de la veille, courir des docks ou tu vis désormais jusqu'à ton magasin récemment acheté à prix coûtant à l'ancien propriétaire pour servir tes clients au Royal Opera House afin de livrer tes commandes, pour repartir à la boutique, gagner l'arrière salle, servir tes autres clients puis retourner aux docks pour vérifier que la petite mamie du rez de chaussée va bien, puis repartir à la boutique.

Quatrième bouton. En vérité, tu ne fais plus d'exercice. Arthur est plus taciturne que toi, plus casanier. Il ne sort pas. Il n'a pas d'amis. Il fait du cosplay, mais les dates de convention sont dans longtemps, et même si tu maîtrise le sujet et que tu en as déjà fait une ou deux, cette perspective t'enchante très moyennement. T'as quand même fabriqué deux costumes en prévision. Ta couverture doit être irréprochable et plus tôt Arthur aura un réseau de proches qui pourront plaider pour lui en cas de problème plus tôt cela vaudra pour toi. Tu sais pas si t'as vraiment envie d'être Arthur. Tu t'es surpris a t'interroger sérieusement sur son avenir, a t'en vouloir de mentir à Sully en lui dépeignant une vie que tu n'as pas menée. Cet Arthur était une porte de sortie, t'as pas forcément réfléchit assez à tout les aspects de sa vie. Ca devait te ressembler le moins possible sans être inaccessible non plus. Résultat, tu ne sais plus qui tu es. Tu n'aimes pas cette situation. Est-ce que c'est Arthur qui lui plait ou Olliver ? Et lui ? Est-ce que tu sais qui il est ? Tu crois que oui. Est-ce que tu peux sérieusement envisager de coucher avec lui ? Tu ne sais rien, sauf de ce dont tu as envie, maintenant.

Il commence à s'agacer et se saisit brutalement du tissu qui me couvre toujours. J'attrape ses mains au vol, le plus fermement dont je suis capable. Je le regarde. A ce moment précis je ne pense qu'à lui et moi. A ce qui nous lie, à tout ce que j'ignore, a la façon qu'il a de me dévorer des yeux comme s'il n'avait pas mangé depuis des mois. J'ai du mal à concevoir que ce soit moi qu'il regarde comme ca. J'ai l'impression de vivre un rêve étrange depuis que je suis ici, et je ne souhaite pas qu'il s'arrête si tôt. "Je vais l'enlever d'accord ?" Ne la déchire pas. Arthur s'habille avec des chemises, et les chemises coûtent cher. J'ai pas envie d'être Arthur Dent. J'ai envie qu'il m'arrache ma chemise. Pourtant il me colle à la peau. Je retire les favoris qui ne sont jamais que des postiches très réalistes. Je suis un peu plus Olliver. J'ai l'impression qu'il ne reste rien de moi. A part lui. J'attrape les pans froissés pour faire passer par dessus ma tête la chemise d'Arthur. Elle termine sa route sur le sol. "A ton tour"
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21.07.20 23:03
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BANSHEE
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T’as mal mais tu t’en fous. La tout de suite tu veux bien subir toutes les tortures du monde. Tu attends ça depuis six mois... Six mois... Une demi année. C’est long... Tellement de temps perdu... Tellement d’occasions ratées... Alors même si t’as mal... T’as pas assez mal pour le lâcher maintenant. Même si tes mains tremblent sur les boutons. Bordel pourquoi y a autant de boutons?? T’es tellement concentré, bouton après bouton... T’en viens à te dire que tu irais plus vite à lui arracher sa chemise à la mode cromagnon parce que tu trembles trop. Alors tu sais pas si c’est l’adrénaline, l’envie, la douleur ou un mélange subtile des trois mais tu galères sévère à enlever quatre pauvres boutons.

Tu finis par en avoir royalement ta claque des boutons. Tant peu plus des boutons. Tu veux plus le voir avec une de ses putains de chemises. Tu vas les arracher de sa penderie, les taillader, les rouler en boule, les foutre dans un tonneau en métal et y verser de l’essence... Et après tu pourras craquer une putain d’allumette au dessus et regarder flamber ces merdes en tissus. Tu t’énerves dessus et tu finis par brutalement saisir les pans du tissus et t’es prêt à l’arracher quand il se saisit de mes mains. Je m’arrête aussitôt et plonge mon regard dans le sien.

Tu aimais déjà Arthur bien avant de le voir. Enfin Arthur ou Oliver... Qu’importe. Ce n’est qu’un nom... Les noms ne signifient rien. Ils sont changeants et trompeurs. Mais les yeux... Ses yeux... Ils ne savent pas mentir. Ils ne savent pas TE mentir. Sa bouche ment, son attitude ment. Mais pas ses yeux. Et tu sais qu’il te regarde quand il pense que tu ne le vois pas. Tu sais que ses crises de colère cachent souvent beaucoup d’inquiétude pour toi. Alors tu aimes l’asticoter et l’entendre râler. S’il râle c’est qu’il fait attention à toi...

La chemise s’envole, il n’a rien d’autre en dessous. Il dit que c’est ton tour mais tu n’as plus rien à enlever. Alors tu t’approches de lui pour l’embrasser, tes mains prenant son visage en coupe. Puis tu laisses descendre tes mains sur son torse alors que tu viens embrasser son cou. Tu lui mordilles le lobe de l’oreille alors que tu défais sa ceinture, plus assuré. Il peut voir l’effet qu’il te fait sans grand effort. Une fois la ceinture défaite tu murmures à son oreille avant d’accrocher son regard. « Il va falloir que tu m’aides... » Parce que t’as beau avoir envie de lui faire l’amour jusqu’à l’épuisement, la baston t’as laissé quelques cadeaux qui handicapent tes mouvements dès qu’il s’agit de te pencher...


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15.08.20 0:41
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J’ai chaud. J’ai de plus en plus chaud, je vois bien que le feu sous la marmite s’intensifie, mais je suis une bonne petite grenouille et plutôt que de quitter la marmite j’y patauge allègrement. Et si ca changeait tout ? Je le regarde, je le regarde vraiment, sans doute comme je me suis interdit de le faire depuis un petit moment déjà, parce qu’on est amis bien sûr et rien de plus. Comment on pourrait être plus ? Se serait vraiment compliqué et… Et il est déjà très prés d’un coup, c’est moi qui lui ai dit de venir et il est là. J’ai des palpitations. Ses mains autour de mon visage et sa bouche sur mes lèvres, juste ca et l’anticipation, son corps nu très proche du mon qui l’est tout autant, je sais pas, je comprends plus, pourquoi ca pétille derrière mes paupières closes, pourquoi ca voltige dans mon estomac, pourquoi je suis tendu comme ca, rien qu'à cause de ce simple contact.

Partout ou il me touche naît une flamme. Qu’est-ce que je vais faire ? J’ai levé les bras comme pour les passer autour de lui et j’ai bugué. Il ne sait rien enfin je crois et à la foi il en sait beaucoup TROP alors quoi coucher avec et disparaître dans la nature ? Non, je peux pas faire ca, il vaudrait mieux... Ses mains sur mon torse, puis son visage dans le creux de mon cou, puis ses lèvres sur ma peau. Ma respiration s'affole aussitôt. J’ai chaud, vraiment chaud, je crois bien que je m’enflamme ou c’est que j’ai mangé trop épicé… MAIS QU’EST-CE QUE JE RACONTE J’AI MÊME PAS DINÊ ENCORE !
“Hii !” C’est moi qui vient de pousser ce petit cri stupide là, je crois bien mais qu’est-ce que ses dents FONT sur mon oreille hein ? ET POURQUOI J’AI TOUJOURS LES BRAS EN L’AIR HEIN ?

Ma ceinture glisse autour de ma taille et termine un peu plus loin sur le sol. Il recule un peu. J’ai froid. Je brûle partout ou il m’a touché et je gèle. « Il va falloir que tu m’aides... » Qu’il dit, et ca semble évident, mais bien sûr que c’est évident, et si simple dans ses yeux. C’est simple non ? Mes bras retrouvent leur fonction initiale a savoir être le prolongement de ma pensée, et je suis d’accord pour dire que le pantalon n’a rien à faire dans ce débat alors je m’en débarrasse et avec lui le boxer file aussi vite s'écraser contre un mur. Je vois ce que je vois en face de moi, j’aurais du mal à rater son état, et il faudrait sans doute que je détourne les yeux de cet endroit précis mais à ce stade, c’est déjà bien assez d’avancer maladroitement jusqu’à lui.

“T’es sur ?”
c’est moche de demander ca, parce que je suis sur qu’il est sur, c’est moi qui hésite encore, enfin c’est que dans ma tête vu que dans les actes mes mains trouvent toutes seules ce qu’elles veulent, à savoir lui tout entier, en partant des épaules, puis dans son dos, sur son ventre, évitant les zones accidentées mais véloces, j’en suis tout surpris, émoustillé, déraisonnable à outrance, vraiment. En tout cas c’est ce que le me dis quand mes doigts glissent sur ses fesses nues et que je me mord la lèvre d’anticipation. Ok, ok, je peux admettre maintenant. Je crevais d’envie de faire ca. Ca se sent un peu je crois, quand je le rapproche significativement et sans doute un peu fort.

Quand il est loin j’ai froid. Maintenant je brûle. Et je gèle. C’est affreux et je ne voudrais échanger ce supplice contre rien au monde.
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03.11.20 0:57
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