[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ça y est ! Ma famille était repartie à Detroit hier matin. J’avais adoré les voir débarquer la semaine dernière après un an sans pouvoir les tenir dans mes bras. Ils avaient su me réconforter après ce que nous venions de vivre. La famille de Nathan les avait accueillis pour la semaine, nous avions aménagé les pièces en dortoirs pour que chacun ait un endroit pour se reposer. Seul la chambre de Nathan avait été épargnée, pour qu’il puisse se reposer et se remettre de ses blessures. Autant dire que j’avais squatté son lit non-stop, comme depuis sa sortie de l’hôpital en fait. Je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir être à son côté le plus souvent possible, comme si la peur de le perdre que j’avais ressenti lors de la chasse ne me quittait plus. J’étais déjà plus fusionnelle que la normale avec mon Latino, mais maintenant j’avais l’impression d’être devenue une vraie glu. Rien ne pourrait me séparer de lui.
Dès notre rencontre à l’hôpital, j’avais été accueilli par les parents de Nathan comme leur propre fille. Sa mère avait tout de suite pris ma défense auprès du personnel médical, sans me connaitre, lorsque j’avais décidé de rester dans la chambre d’hôpital de son fils 24h/24h. Ils m’avaient considéré tout de suite comme leur propre fille et avaient refusé que ma famille prenne des chambres d’hôtel pendant leur séjour en Angleterre. Nos familles respectives s’étaient tout de suite bien entendu, ils avaient la même manière de voir la vie. Des latins qui se retrouvent quoi ! Nos mères avaient dirigé de mains de maitre la maisonnée, distribuant les taches à chacun d’entre nous, pour que vivre à plus de quinze personnes pendant une semaine se passe sans heurt. Les repas étaient gargantuesques et se finissait souvent en discussion animé sur notre avenir. Dans leurs esprits nous étions déjà mariés, ce n’étais qu’une question de temps pour eux pour que cela devienne officiel. Nous avions été chouchoutés, aimé, câliné sous surveillance constante. Autant dire que nous n’avions pas eu de temps à deux au calme, il y avait toujours quelqu’un pour venir voir si nous allions bien ou si nous avions besoin de quelque chose. Je ne pouvais pas leurs en vouloir, ils avaient tous tellement eu peur de nous perdre qu’ils avaient besoin de se rassurer et de nous savoir en bonne santé.
Nathan avait fait beaucoup de progrès ces derniers jours. L’infirmière qui passait tous les jours pour vérifier sa cicatrice et refaire son pansement l’avait aidé à se lever la semaine dernière et le kiné passait, depuis ce jour-là, 3 fois par semaine pour l’aider dans sa rééducation. Il avait encore beaucoup de travail à faire, mais il arrivait à marcher quelques mètres avec de l’aide. On avait donc annoncé qu’on allait repartir pour quelques jours dans au hangar dans mon appartement. Plutôt, notre appartement maintenant que Nathan avait accepté d’y poser ses affaires. On avait eu le droit à une séance de râlage bon enfant, pour nous convaincre de rester encore un peu, mais contre notre promesse de revenir les voir rapidement, ils avaient cédé. J’avais donc demandé à Izaline d’aller aérer l’appartement car il était resté fermé depuis presque 1 mois. J’avais commandé un taxi et après des embrassades sans fin, nous nous voilà en router pour le hangar et un moment à deux si longtemps attendu.
FACE IDENTITY : Diego Barrueco IDENTITE : Nathan Selva GROUPE : London People AGE : 25 ans ETAT CIVIL : En couple PROFESSION : Serveur Four Birds ETAT DE SANTE : En convalescence LIENS : Angus, Sully, Swan, Rosie,...
T’es assis dans le taxi, ton bras passé autour des épaules de ta latina en appréciant de voir autre chose que les murs de la maison familiale. Tu les aimes mais alors autant de temps avec ta famille et belle famille t’as cru que t'allais finir par en manger un. T'as pris sur toi parce que vu ton état tu comprenais leur inquiétude et surtout t’étais pas capable de courir assez vite en cas de contrariété de la madre mais t’es heureux de te retrouver seul avec ta chérie. Elle a supporté ça en silence bien plus facilement que toi même si tu sais qu’elle bouillait parfois intérieurement de tout cela. C’est pas parce qu’on aime sa famille et qu’on fera tout pour elle qu’on est capable de tout supporter et deux familles latines dans un même espace… Tu es même surpris qu’ils ne vous aient pas marié sans vous demander votre avis…
Tu as encore du mal à comprendre comment vous en êtes arrivés là, à cette chasse à l’homme, à cette… folie… Tu es comme Rosie tu ne te souviens pas de grand-chose à part la piqûre dans le cou et ton réveil dans une cage avant d’être transféré au milieu de la foret pour une course pour votre vie. T'as eu plus de chance que d’autre de ton groupe même si t'es tombé dans un piège, ne mourant pas parce que t'avais un mec surentraîné avec toi. Tu ne sais pas qui il est mais tu lui dois clairement la vie et t’es pas prêt de l’oublier. Après tout est devenu flou jusqu’à retrouver ta chérie blessée aussi et te faire traîner d’opérations en opérations pour recoudre ton ventre et ton aine. Retourner chez toi était une bonne chose, aller chez « vous » l’est tout autant. Tu as accepté de vivre avec elle mais de toute façon vous êtes toujours ensemble alors est ce que ça change quelque chose vraiment ?
Le taxi s’arrête alors que t'es dans tes pensées et tu descends tout doucement. Tu marches désormais. Doucement mais tu marches. Tu la laisses prendre ton sac, prenant juste sa main et respirant un peu l’odeur. C’est Londres, ça n’a rien de parfait mais au moins c’est dehors. « Ça fait du bien de sortir. Ce silence… » Oui le bruit des voitures et des déchargements de bateaux est moins bruyant que les vôtres… T'en souris un peu en la regardant, lui volant un baiser avant d’entrer dans le hangar. Tu salues Cam’ qui vient vous voir et jauger votre état clairement avant d’entrer dans l’appartement. T'avances doucement avant de t’asseoir dans le canapé, l’attirant contre toi pour l’embrasser de nouveau longuement, passant la main dans ses cheveux. Enfin seuls… Juste elle et toi et ça t’en rêve depuis quelques temps déjà. « Comment vas-tu ? » Parce que c’est ça l’important et tu sens bien qu’elle prend sur elle pour prendre soin de toi mais là y’a que vous et t’as aussi envie de prendre soin d’elle.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je te laisse sortir seul du taxi, je sais que tu fais tout pour retrouver ton autonomie rapidement et je n’aimerais pas qu’on me materne si j’étais dans ton cas. Et c’est beau de te voir marcher seul, tu as fait des progrès incroyables ces derniers temps. Mais malgré tout je ne peux pas te laisser porter ton sac, c’est encore trop tôt. «Je n’ai jamais autant apprécié le bruit ambiant de Londres» J’adore être en famille, mais il était temps qu’on retrouve un peu de calme. Et paradoxalement les bruits courants de la ville me semblent agréables à entendre. «Il me tarde d’entendre à nouveau le bruit du moteur de ma moto.» . Ton sac sur l’épaule, je prends la main que tu me tend pour traverser le hangar. Je m’arrête juste un instant devant Cameron pour lui faire un câlin express, car je me doute qu’il n’aime pas des masses ça. Il ne le sait pas mais je suis rassuré de le savoir là, je vais pouvoir dormir sur mes deux oreilles, personne ne rentrera dans le hangar sans autorisation s'il est là.
L’appartement sens bon le frais en rentrant et le frigo est rempli de boisson et de plat préparés. On aura juste à les réchauffer quand nous aurons faim, il faudra que je remercie Izaline pour sa gentillesse elle a même pensé à tes sodas. Sac posé dans la chambre, je me glisse dans tes bras sur le canapé et je pose mes mains sur de ton torse sous ton tee shirt en faisant attention à ne pas te faire mal. Je suis devenue une spécialiste pour te câliner sans te faire souffrir et j’ai toujours ce besoin de sentir ta peau sous mes doigts.. Je soupire sous ton baiser et savoure ce moment de calme et de sérénité enfin à deux. Cela faisait si longtemps que j’attendais ce moment
Je cale mon visage dans ton cou et le picore de baisers «Ça va» C’est une phrase que je répète sans cesse depuis notre sauvetage. Mais elle est de plus en plus difficile à dire. Surtout face à toi, alors que nous sommes à l’abri. Ma voix se brise un peu lorsque j’avoue à mi mot. «Non, ce n'est pas génial, en fait j’en sais rien. Je vis sur les nerfs depuis notre retour.» Les larmes commencent à couler sans bruit le long de mon visage. «J’ai vraiment cru que tu allais mourir, la bas» Je retiens des sanglots qui me bloquent la gorge, je déteste me sentir aussi vulnérable. C’est complètement dingue, je n’avais pas pris la mesure du danger avant de te voir attaché et blessé. Jusqu’à la je n’avais fait que courir sans trop réfléchir. Ta présence m’a fait réaliser que j’avais une bonne raison de me battre pour sortir de cet enfer au plus vite et qu’il fallait qu’on agisse vite.
FACE IDENTITY : Diego Barrueco IDENTITE : Nathan Selva GROUPE : London People AGE : 25 ans ETAT CIVIL : En couple PROFESSION : Serveur Four Birds ETAT DE SANTE : En convalescence LIENS : Angus, Sully, Swan, Rosie,...
Sa première réponse te laisse plus que dubitatif faut bien l’avouer. Si toi tu vas pas des masses bien c’est sûr qu’elle n’a pas la forme non plus et maintenant que vous êtes plus que tous les deux, sans les parents pour veiller sur vous tout le temps et les frangins/frangines pour apparaître quand vous n’en avez pas envie, elle peut bien relâcher un peu la pression. Et tu sens que ça retombe quand ses épaules s’abaissent et que sa voix se brise. Por Dios t’aimes pas cette voix. Tu te souviens vaguement l’avoir entendu dans ton inconscience lorsque vous étiez en Ecosse et ensuite à l’hôpital mais ensuite elle a pris sur elle pour toi, pour vous deux, pour vous parents. Tu passes ton bras autour de son corps, la serrant un peu plus contre toi pour lui faire sentir que tu es là. Tu ne comptes pas partir, c’est mort t’es bien trop love d’elle de toute façon.
« Hey querida… » Tu viens chercher son visage pour qu’elle te regarde, essuyant ses larmes de tes pouces en déposant de légers baisers sur ses lèvres. « Je suis là, ok. Tout va bien et je suis là. Bon je suis pas encore dans ma plus grande forme, vas falloir être patiente pour que je retrouve mon physique d’Apollon et que je puisse te faire l’amour toute la nuit mais j’suis là et j’compte pas bouger. » Tu l’embrasses de nouveau, longuement, l’attirant vers toi pour qu’elle s’installe sur tes cuisses. T’as envie de la sentir complètement contre toi et de lui montrer que tout est ok. Ok t’aurais pu y rester et tu sais pas de quoi demain sera fait -t’es pas du genre à mentir- mais là vous êtes tous les deux et tout va bien. Tu vas t’en remettre tout comme elle et vous allez pouvoir avancer tous les deux et construire… votre vie ? 'Tin c’est chelou de dire ça mais en fait t’as pas envie d’une autre latina qu’elle. T’as juste trouvé ta moitié, tu veux personne d’autre.
« J’ai eu peur pour toi aussi. Je me souvenais qu’on était tous les deux dans le parc, je me suis réveillé sans toi et j’ai du courir, j’ai pas compris mais je me suis raccroché au fait que je te retrouverais. » Même si t’as pris cher en tombant dans ce foutu piège de merde. Tu viens l’embrasser de nouveau. « On a survécu et on est ensemble. C’est tout ce qu’il faut voir ok. Pas se dire qu’on aurait pu y rester tout ça parce que c’est le cas. On est toujours ensemble. Regardes, tu veux que je vienne vivre avec toi, t’es totalement accroc en plus. » Ouais tu la charries, t’as envie de la voir sourire un petit peu quoi, t’es pas le plus doué pour parler de tout ça, tu dis juste ce que tu penses. « Hey… Je t’aime… » Y’a pas vraiment d’autres mots pour décrire ce que tu ressens pour elle après tout et juste… tu l’aimes et voila… C’est bête mais pour toi ça veut tout dire, tu l’aimes et tu seras toujours là.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les larmes coulent toutes seules le long de mes joues sans que je puissent rien faire. Je sais qu’à un moment je devais craquer et évacuer toutes les émotions négatives qui c’étaient entassés en moi. Jusqu’ici, je ne pouvais pas les exprimer, je devais garder la tête haute et avancer pour deux, tu n’étais pas en état jusqu’ici de gérer ta blessure et moi en train de craquer. J’aurais aimé t’épargner cela mais je m’aperçois qu’il n’y a que devant toi que j’accepte de me relâcher la pression.
Je te laisse essuyer mes larmes, tes baisers me rassurent et tu arrives même à me faire sourire avec ta manière très particulière de me rassurer. Je pose mes lèvres sur les tiennes pour un baiser langoureux avant d’acquiescer « Tu es là et je ne te lâche plus » Je retient un rire, tu as vraiment le don de me changer les idées. « Et comment je vais faire pendant ce temps sans mon bel Apollon pour m’amener au septième ciel ? Tu vas devoir rattraper des semaines de frustration quand tu iras mieux. Seras-tu prêt à cela ? » Je sais que tu verras la blague et aucune moquerie de ma part, tu sais que je ne doute pas de toi. Je suis le mouvement que tu me donnes pendant ce nouveau baiser. Je ne me lasserais jamais de t’embrasser, j’ai la aussi du temps à rattraper et je compte bien le faire pendant la fin de ta convalescence. Je fais très attention en me positionnant à califourchon sur toi. De moi-même, je n’aurais pas osé le faire de peur de te faire mal, mais tu te connais bien et je te fais confiance. Je soupire de bonheur de me retrouver contre toi. « Je compte bien te garder longtemps contre moins. Des minutes, des heures, des années.» C’est tellement clair pour moi maintenant. Il a fallu que je risque de te perdre pour m’apercevoir que je m’étais attachée a toi bien plus que je ne voulais me l’avouer. Je vois un avenir avec toi. Une chose que je n’avais jamais envisagée avec qui que ce soit jusqu’à ce jour. Je passe mes bras autour de ton cou et pose ma tête sur ton épaule.
Pour la première fois, j’entends ce que tu as vécu et les angoisses qui t’ont accompagné tout au long de la chasse. Je suis heureuse de te retrouver vivant, blessé, mais en vie. Je parsème ton visage de baiser «Te retrouver a aussi été ma priorité, cela me donner une raison de courir et de ne pas baiser les bras face aux chiens, aux pièges et aux hommes armés. Je t’ai retrouvé, c’est l’essentiel. » Je tape dans ton épaule quand tu me charries, c’est devenu une habitude entre nous, mais cette fois, je fais attention à ne pas frapper fort. «Hey, je ne suis pas accro… Enfin pas vraiment…. Juste un petit peu… Comme ca quoi » Je te montre une toute petite distance entre mon pouce et mon index de ma main droite. Et je craque « Non t’as raison, je suis accroc à tes abdos de dieu Grec, ton humour, ton franc-parler et à toi tout entier..» Je relève la tête à ta déclaration et fond sur tes lèvres pour un baiser passionné qui ne s’arrête que par manque de souffle et impossibilité d’aller plus loin. « Je t’aime Querido. Tellement. Et maintenant que je t’ai retrouvée, je ne te laisserais plus jamais partir. » On a encore tellement à vivre, à découvrir, à faire ensemble. Et tant pis si ma déclaration risque de te faire peur et de te faire fuir, je prends le risque. « On va commencer par installer tes affaires ici. Je te fais dans la place dans la penderie. On va se créer notre cocon ici. » La, je n’ai pas des masses envie de bouger, je reste donc dans tes bras tant que tu peux supporter mon poids sur toi.
FACE IDENTITY : Diego Barrueco IDENTITE : Nathan Selva GROUPE : London People AGE : 25 ans ETAT CIVIL : En couple PROFESSION : Serveur Four Birds ETAT DE SANTE : En convalescence LIENS : Angus, Sully, Swan, Rosie,...
Tu ris à sa réflexion. Bien sur que tu vois la taquinerie, tu sais bien qu’elle n’est pas du genre à te juger ou bien te faire des réflexions désagréables. « J’ai plein d’autres moyens de te donner du plaisir » Tu viens l’embrasser longuement, caressant doucement ses cuisses. Clairement avec les blessures que tu as au niveau des abdos vas te falloir du temps pour que vous puissiez vous retrouver comme avant mais tu ne comptes pas arrêter de prendre soin d’elle, même si tu es loin de ta forme normale. « Oh ne t’inquiètes pas pour ça, j’ai des tonnes d’idées. » Faut dire que la frustration aide à avoir beaucoup d’imagination. En tout cas en ce qui te concerne. Et tout ce que tu désires c’est la faire sourire et t’es bien heureux d’y arriver, tu n’aimes pas entendre cette voix que tu as cru discerner dans l’inconscient des jours après la chasse.
« Et tu me garderas autant que tu veux. Si cette chasse n’a pas réussi à nous séparer, rien ne le pourra. » Vous avez encore certainement des obstacles à traverser mais ce n’est pas grave. Vous avez survécu a l’ex connard, à une chasse à l’homme, à la présentation des familles et la vie au milieu d’eux (et tu ne sais pas lequel est le plus difficile entre la chasse et vos familles) aussi vous n’avez plus rien à craindre de quoique ce soit. C’est juste une évidence pour toi et tu la taquines un peu encore, parce que tu n’as pas peur de dire ce que tu ressens. Tu es bien avec elle, t’as envie d’aucune autre meuf a tes côtés. T’es peut être pas parfait mais elle t’aime comme ça et elle a un putain de caractère mais tu l’aimes comme ça alors ça fera peut être des étincelles parfois mais franchement, tu t’en fous.
Tu ne pensais pas cette réponse aussi franche et t’es un peu pris au dépourvu par le baiser avant d’en sourire et d’y répondre tout aussi passionnément, la serrant un peu plus contre toi d’envie avant que tes douleurs te rappellent que c’est une très mauvaise idée mais tu gardes quand même tes mains sur ses fesses, te remettant bien. T’as un sourire con faut bien le dire quand elle répond qu’elle t’aime aussi, y’a comme un poids sur ton cœur qui disparait parce que, même si tu te l’avoueras jamais, t’avais une petite inquiétude sur le fait qu’elle n’y réponde pas. C’est con mais c’est comme ça. « Ca va être terrible…. » De ne plus jamais pouvoir repartir. D’ailleurs tu l’embrasses de nouveau pour montrer que oh oui ça va être si terrible… Ah la la. « Vraiment ? C’est possible de trouver une place dans tous les cuirs d’Anatoli ? » Et tu les aimes ses cuirs… Comme ses sous vêtements d’ailleurs… « Oui ce sera parfait. Quand je serais en état on pourra finir d’aménager. » Tu sais qu’elle a eu de l’aide de Cam, des gars et de Rylee mais c’est encore bien brut, vous pouvez vous occuper de ça a deux désormais. « Tu réalises qu’on va avoir du squattage de famille assez souvent ? » Parce que tes frères et sœurs sont du genre à s’inviter, vas peut être falloir le dire à Cam’ d’ailleurs. « Tu voudras toujours rester vivre ici ou tu veux qu’on mette de côté pour déménager à un moment ? » La question se pose, après tout c’est chez Rylee mais peut être qu’elles ont un deal toutes les deux, tu sais pas tout.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Assise a califourchon sur ses genoux tu ne voudrais être nulle part ailleurs. Tu fais très attention à ne pas être trop lourde et à ne pas appuyer de trop sur son ventre mais tu profites pleinement de ce moment d’intimité que vous pouvez enfin avoir sans risquer d’être interrompu par la famille. Tu les aimes mais là tu veux profiter de lui et juste de lui. «Je te fais confiance pour l’imagination» Tu embrasses doucement son cou en remontant jusqu’à son oreille pour murmurer «J’ai deux ou trois choses à te faire découvrir, je suis sûr que tu vas adorer» Tu joues avec lui comme tu ne l’as jamais fait avec personne. Tu lui accordes une confiance complète et sans restriction, tu es franche et ne te caches pas. Tu sais qu’il t’accepte comme tu es, avec ton caractère, ton passé.
Tu réponds en riant avant de l’embrasser « Oui, quelle horreur de voir ton sourire charmeur et charmant tous les jours et de me retrouver tous les soirs dans tes bras. Je ne sais pas si je vais arriver à m’y faire. » Mon ton et le baiser que je te donne juste après te démontrer tout le contraire. «Pour toi, je veux bien faire un peu de place dans mes cuirs, je me suis même dit que j’y rajouterai bien un cuir ou deux pour toi. Je te verrais bien dans un pantalon en cuir par exemple, tu ne serais pas contre ? » Oh ! oui, j’adorerais ça, il va falloir que je voie avec Anatoli ce qu’il a me proposer. Je pose ma tête sur ton épaule à l’évocation du squattage de sa famille. «Oui, je le sais. Ils s’inquiètent pour nous et c’est dans leurs gènes, nos gènes, on est comme une tribu. On va devoir prévenir Cam et Rylee surtout sinon elle va nous maudire. Elle aime son calme »
C’est vrai que tu n’avais pas réalisé que maintenant que tu avais Nathan dans ta vie, tu pouvais envisager d’avoir quelque chose à vous plutôt qu’un squattage chez toi. Quand tu avais construit cet appartement, tu l’avais pensé pour toi et ta moto, cela ne t’avait pas effleuré l’esprit que tu trouverais un mec comme Nathan qui viendrait combler ce trou béant dans ta vie. «Ça me plairait bien de prendre un appartement avec toi. On a un peu de temps devant nous, mais on pourrait se trouver un chez nous qui nous correspondent à tous les deux. On est en sécurité ici. Les Irlandais surveillent le hangar » Tu ne lui as jamais caché ce détail «Et Cam, fait très attention aux étrangers qui se pointent ici. Mais je me vois bien m’installer avec toi quelque part. Tu as un rêve, un endroit qui t’attire plus qu’un autre à Londres ? Ou même en banlieue Londonienne. Tu te verrais où ? » Tu n’as pas de lieu de prédilection, tu aimes bien ces coins un peu à l’abandon ou délaisser par les gens, mais tu iras n’importe où du moment qu’il est avec toi, l’endroit ne compte pas.
FACE IDENTITY : Diego Barrueco IDENTITE : Nathan Selva GROUPE : London People AGE : 25 ans ETAT CIVIL : En couple PROFESSION : Serveur Four Birds ETAT DE SANTE : En convalescence LIENS : Angus, Sully, Swan, Rosie,...
« Hum j’ai hâte de voir ça ! » Très très hâte ! Surtout que vous êtes de nouveau tous les deux donc vous allez pouvoir vous balader comme vous désirez, manger ce que vous désirez, faire TOUT ce que vous désirez. Por Dios le bonheur !!! Tu en soupires de bien être rien que d’y penser et tu l’embrasses longuement, tellement bien depuis qu’elle est à tes côtés. Ca t’ôte un poids du cœur quand elle répond à ta déclaration d’ailleurs. T’aurais remballé tes sentiments en essayant de jouer le mec fier mais tu préfères largement qu’elle te dise qu’elle t’aime aussi, surtout de la façon dont elle te le dit. T’as pas du tout envie d’une autre meuf qu’elle alors savoir que vous êtes encore sur la même longueur d’onde ça te soignerait presque complètement. Après tout quand l’esprit va bien le reste suit normalement. Non ? « Et si tu savais le nombre d’heures que tu vas avoir en moins de sommeil. » Terrible… Car tu comptes bien profiter de chaque secondes. Vantard ? Jamais… Juste totalement réaliste sur l’effet que vous vous faites.
« Faut tester. Je dis pas non. » Après le cuir c’est pas le truc le plus confortable au monde, tu sais pas trop comment Cam’ supporte ça toute la journée, t’es plutôt jean et baggy mais t’es pas contre tester. De toute façon si ça te plait pas tu lui diras, t’es pas du genre à cacher quelque chose, tu ne sais pas le faire. Tout a une fâcheuse tendance à se lire sur ta tronche très rapidement. « Dès que je vais mieux je viens avec toi s’tu veux. » Parce que sans le modèle ça va être complexe et là vu tous les bandages que tu as tu n’as pas du tout envie de te glisser dans un truc complexe à mettre puis à retirer, tu veux juste vivre en sarouel et tee-shirt. Et vous allez attendre un peu avant de parler de tout ça à la famille sinon ça va être le débarquement tout de suite et tu doutes que cela fasse vraiment plaisir aux gens qui se trouvent dans ce hangar. Rylee n’a pas l’air d’être la meuf la plus fun du monde même si tu la respectes et l’apprécies pour veiller sur ta latina.
Tu réfléchis à cet endroit qu’il faudrait aménager pour qu’il soit vraiment cool mais faut bien vous poser une question importante : rester ici ou bouger à un moment ? Si vraiment vous avez envie de faire votre vie ensemble, est ce que vous avez envie de construire dans ce hangar même s’il est hyper cool pour la femme de ta Querida ? « Peut être une maison plutôt non ? Histoire que tu aies une place pour ta meuf. » Tu montres la moto d’un signe de la tête. « Et puis si on veut une famille… » Ahhhh c’est sorti tout seul çaaaaaaa. « OUAIS enfin je parlais pas pour tout de suite hein. Bien entendu… Tu sais bien… » Magnifique… « Mais je me dis que si à un moment -quand tu voudras- on a des enfants, ce serait cool d’avoir plutôt une maison en banlieue histoire d’avoir un jardin tout ça quoi… Enfin je demandais surtout ça pour savoir si on mettait de l’argent dans le hangar en déco, arrangement et tout ça ou s’il fallait mieux mettre de côté pour un futur chez nous. » Voila voila… Tu finis par rire de toi-même en passant la main sur ton visage. « Et toi tu verrais quoi ? » Voir si t’es le seul à te noyer dans cette conversation comme un grand ou si vous êtes deux…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Heureuse ! Voilà le mot qui te qualifie le mieux en ce moment. Tu es dans les bras de celui que tu aimes, en bonne santé ou presque et enfin seul avec lui. Tu as aimé être entourée par sa famille et la tienne les premiers jours mais la, tu veux profiter de sa présence et ne faire que ce qui vous fera envie. La vie à deux, tu n’en as pas obligatoirement un super souvenir, mais tu sais qu’avec lui cela sera complètement diffèrent. Vous avez passé des épreuves que peu de gens auraient supporté et vous êtes encore ensemble, cela prouve bien votre attachement et votre amour l’un envers l’autre. Vous n’êtes pas des grands romantiques, mais dans vos gestes, vos mots, vous exprimé tout l’amour que vous vous portez. Savoir qu’il t’aime et envisage de vivre avec toi te comble. «Jer n’ai pas besoin de dormir, j’ai juste besoin de toi. Alors tu pourras occuper toutes mes nuits et j’en serais ravie » Oh oui, vous en aurez des heures a rattraper. Des caresses et des mots d’amour a partager. Chaque chose en son temps. Même si tu attends son rétablissement avec impatience, tu sais que cela sera pour mieux savourer ce moment. Tu aimes sentir son corps contre le tien, ne faire qu’un avec lui alors pour une fois tu seras patiente.
« Il n’y a aucune obligation Querido, tu testes et si ca te plaît on te prend un vêtement. En cuir ou nu, tu me feras toujours autant fantasmer » Ouais ca y est, c’est officiel, tu es en manque pour sortir des bêtises pareilles, mais tant pis, tu es franche. « Et si rien ne te tente, tu m’aideras à choisir mon prochain achat. Anatoli fait aussi de magnifiques sous vêtement en dentelle. Je suis sûr que tu ne regretteras pas cette sortie shopping. Tu es même prête à défiler pour lui, si cela lui fait plaisir.
Un nouvel endroit pour vous deux, tu n’es pas contre loin de là. Vous êtes bien installé au hangar, mais cela reste le domaine de Rylee et vous ne pourrais pas y vivre éternellement. Tu réfléchis rapidement à sa proposition de maison, il est tellement chou de penser à ton bébé. Il te connaît tellement bien. «Une maison, oui, c’est pas mal comme idée même si on n'est pas le couple de banlieusards idéal, on risque de déteindre……..» Tu ne finis pas ta phrase, car tu bloques sur le mot Famille, puis enfant. Putain, tu ne l’attendais pas celle-là et cela dois se voir sur ton visage. Tu ne sais pas quoi répondre et surtout comment y répondre alors ton cerveau se met en pause pour ne pas exploser. Tu ne peux pas rester comme ca les yeux éberlués et dans le vide, tu dois réagir, alors tu lâches tout sans réfléchir, sûrement dans le désordre, mais tu t’en fous, tu ne veux pas le faire flipper par ton mutisme. « Famille, bébés avec toi ? Mais oui, qu’est-ce que t’e conne des fois pas avec le pape. « Mais oui, bien sûr. Carrément, que je m’y vois. Enfin si toi, tu t’y vois. Enfin, tu sais, pas maintenant, mais un jour ….. Ou maintenant si tu préfères. Ah merde, je suis nulle ! » Tu n’as jamais été douée avec l’expression de tes sentiments et ce gars la te fais sortir des sentiers battus. Les gestes sont plus forts non ? Tu te penches sans réfléchir et sans faire plus attention vers son visage pour le prendre entre tes mains et l’embrasser avec passion « Oui a tout et dans l’ordre qui te convient et comme tu le sens. Maison, enfant même un chien ou un poisson rouge plutôt je suis pas douée avec les animaux. » Tu ne sais pas si tu l’es avec les gamins, mais tu verras bien dans le temps. Encore une chance que cette conversation se passe au hangar, si vos parents vous entendaient en ce moment, ils seraient déjà en train d’envoyer les cartons d’invitation de votre mariage. Famille, je vous aime, mais tu les préfères loin de toi quand tu ouvres ton cœur à celui avec qui tu veux partager ta vie.
FACE IDENTITY : Diego Barrueco IDENTITE : Nathan Selva GROUPE : London People AGE : 25 ans ETAT CIVIL : En couple PROFESSION : Serveur Four Birds ETAT DE SANTE : En convalescence LIENS : Angus, Sully, Swan, Rosie,...
Tu souris à sa réflexion. Elle est en manque ta femme, ça se sent et surtout ça s’entend et cela t’amuse. Tu viens l’embrasser de nouveau avant de descendre dans son cou. « Ce soir t’es tout à moi. » Pas de frangins, frangines pour rentrer dans la chambre sans avoir demandé, pas de parents pour être à l’affut du moindre geste pour vous marier dans la seconde. Tu vas pouvoir prendre soin d’elle et combler ce manque que tu ressens tout autant. Tu n’es pas dans la meilleure des formes mais t’es tout à fait capable de prendre soin d’elle quand même. Après tout il y a de multiples façons de l’aimer. « Por Dios… Vivement que j’aille mieux. » T’as déjà envie de la voir en sous vêtements en dentelle pour pouvoir profiter de tout cela. « J’aurais le droit à un défilé privé ? » Ce que tu préfères et de loin. Surtout qu’elle t’a souvent bien attisé par sms quand tu bossais alors si tu peux te faire chouchouter en profitant de nouveau tu vas pas te plaindre.
Tu apprécies ce hangar, tu t’entends bien avec les personnes qui y vivent mais ta mère t’a appris à penser utile et tu trouves ça bête de mettre des sous dans cet endroit si c’est pour bouger ensuite, quand vous en aurez envie. Peut être faire roots pendant quelques temps pour mettre de côté et ensuite pouvoir vous payer un truc sympa en banlieue. C’est pour ça que tu embrayes sur sa femme et un peu trop vite pour les gamins par contre. Tu sais pas pourquoi c’est juste… Juste sorti tout seul et vu sa tête tu te dis que t’as fait une connerie. Tu te fous une claque mentale. Comment faire fuir une meuf en six secondes quoi… Quoique Rosie est du genre couillu, elle va juste te dire franchement ce qu’elle pense si tu dis de la merde. Tiens oui d’ailleurs… Pourquoi elle ne te dit pas juste ce qu’elle pense ?
« Euh bah ouais… » Forcément ouais. Elle et toi quoi, tu vois pas trop qui d’autres. Tu reste un peu con avant de te marrer en l’écoutant se rater autant que toi, répondant juste passionnément à son baiser avant de grimacer parce qu’elle s’est avancée et appuies un peu sur tes bandages. Tu déposes encore pas mal de petits baisers sur ses lèvres. « T’es pas nulle, on est juste pas trop doués pour parler de tout ça » Tu l’embrasses de nouveau. « Je suis bien avec toi je veux tout ce qui nous fera plaisir : maison, famille et tout… Pas maintenant, ça sert à rien de tout faire en courant mais déjà je vais me remettre et ensuite on peut commencer par regarder les maisons si tu veux ? J’ai un peu d’argent de côté. Pas grand-chose mais si ça peut aider. Au pire on s’endettera sur 50 ans, je m’en fous tant que je suis avec toi. » T’es raide dingue amoureux c’est terrible. « Et après on verra pour le reste quoi… On s’entrainera beaucoup avant histoire d’être au point. » T’en souris contre ses lèvres en l’embrassant encore. « Tu me connais je suis perfectionniste. » Pas du tout…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Et pas que ce soir Querido» Tu veux rester dans ses bras ce soir et tous les suivants. Juste toi et lui, tu n’as pas besoin de plus. Tu cherches sa chaleur, la douceur de sa peau contre la tienne. Tu ne peux plus t’en passer. Tu n’es pas avec lui que pour les moments intimes, tu aimes savoir que tu vas le retrouver après le travail, tu aimes l’attendre le soir quand il finit plus tard. Tu ne peux pas dire pourquoi, mais ces petits instants de la vie quotidienne avec lui te plaisent autant que vos étreintes passionnées qui te manquent tant en ce moment. Tu fais tout pour qu’il se rétablisse rapidement, qu’il retrouve sa forme d’avant. Mais ces moments te manquent. Tu sais que vous venez de franchir une nouvelle étape dans son rétablissement, il va assez mieux pour venir s’installer au hangar. Encore un peu de patience ma belle et tu pourras redécouvrir son corps avec tes doigts et ta bouche sans que cela le vous frustre comme cela peut arriver en ce moment. « Tu auras plusieurs défilés privés, ce sera dommage que tu découvres tout en même temps. Tu pourras prendre le temps de détailler chaque pièce de dentelle » Ta voix se fait suave à son oreille, tu sais que tu joues avec le feu, mais tu ne peux pas t’en empêcher, tu l’aimes vraiment trop.
Puis tu t’embrouilles en lui répondant, tu perds la tête devant sa demande et tu souffles quand tu vois que tu ne lui as pas fait peur et qu’il comprend ce que tu voulais lui dire. Faut dire que t’étais pas claire que tu t’es mélangé les pinceaux et tes phrases n’avaient aucun sens. Enfin, c’est ce qui te semblait, car lui a compris ce que tu voulais lui dire, ce que tu pensais de ses demandes. De cette future vie à deux ou a plus. C’est une évidence, avec lui, tu veux tout ca et plus. Tu l’embrasses avec passion, en passant tes mains sous son tee-shirt pour allait caresser son torse avec douceur. « On prendra le temps qu’il nous faut On va faire des économies et trouver l’endroit parfait où s’installer. Un cocon pour nous et notre future famille. On n’est pas pressé. Tu sais ce qu’on dit. Plus c’est long, plus c’est bon» Tu ris de ta blague éculée et reprend sur le ton de la plaisanterie. « Et pour les entraînements, je suis toujours partante, j’aime ton coté perfectionniste. Surtout dans ce domaine. » Pour le moment, tu te colles pour l’embrasser avec passion à lui et continuer tes caresses. Tu vas trouver un moyen de lui montrer ton amour de manière différente, sans lui faire mal. Plus rien n’importe pour le reste de la soirée que vous deux et ce programme te convient bien.
