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Bad Trip / Sio
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Zac Sanders
UNIVERS ALTERNATIF
Zac a accepté de divorcer... Il n'a pas la garde de Matt. Il vit seul dans un petit appart. Il a réussi à cacher ses prises de drogues. Il entretient une relation diletente avec Siobhann depuis quelques mois.



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Bad Trip
SIOBHAN OSWELL & ZAC SANDERS

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Pour ne pas perdre de temps inutile Sanders prend ses raccourcis. Le code de la route aux oubliettes dans l’espoir de grappiller quelques minutes de retard. A force de traquer le bandit dans cette ville, il en connaît tous les coins. Il sait même quels sont les secteurs à éviter.
Résultat, il n’a que 30 minutes de retard quand il pose un pied sur le béton.Ca va, Sio a attendu beaucoup plus avec lui. Elle ne râlera pas trop. Il coupe le moteur, vire le casque et met les clés dans la poche intérieure droite.

Une sonnerie. Rien. Ce n’est pas le genre d’Owell. Une deuxième tentative, encore un peu d’attente, et puis la porte d’entrée est déverrouillée. Zac entre en marche arrière, poussant la porte de son dos. Les deux mains dans les poches, il reproduit la technique pour entrer dans la cage d’escaliers de l’immeuble.
Une goulée d’air et puis, l’homme fait l'ascension, à une bonne cadence. Le sevrage lui a fait perdre de l’endurance, du muscle, de la forme. Putain, faut vraiment qu’il songe à dormir à un moment donné. Il a le corps en vrac total. Mais bon, dormir, c’est un doux rêve…

L’homme bondit sur le palier, attiré par la lumière du couloir. Il passe le seuil du nid en sortant les mains de ses poches. Ses yeux gris fondent sur la jeune Irlandaise. Puisqu’ils la connaissent si bien, ils repèrent un petit dysfonctionnement. Un changement diffus et encore innommable.
Il l’attrape par la nuque et plaque un baiser sur le coin de sa bouche. Limite. Ils sont limites tous les deux.

-“ Sorry. Ça y est, je suis là. ” S’excuse-t-il par habitude. Il veut croiser le regard de l’étudiante. Mais, elle est trop vive pour se détourner. Sans vouloir être suspicieux, Junior a tout de même l’impression qu’elle se dérobe. “ … Ça va ? ” Demande donc l’enquêteur au dos de sa complice.

Il suit, prend le pas, tout en étudiant l’endroit. Sanders est un scrutateur né. Son regard embrase l'environnement pour détecter les modifications, depuis sa dernière visite. Il remarque de nouveaux objets. Tout en ôtant sa veste, il espionne surtout sa comparse du chaos.

-“ Bon, je vais m’y mettre, allez....” Il pose le sac de sport sur la table du séjour. Il ouvre prestement la fermeture et commence à sortir les outils de base pour monter un meuble.
Le tout sans montrer aucun signe particulier, de curiosité, d’inquiétude, ou de suspicion, extérieur. Mais en lui c’est un autre tempo.
Il observe la façon dont Sio se déplace et il voit bien.

-“ J’aurais le droit à un câlin en échange ? ” En lançant un regard taquin par-dessus son épaule. Oui, bon, la blague est mauvaise, mais ça aussi elle a l’habitude. De toute façon, il n’a jamais caché qu’il aime bien cette partie de leur relation.





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Zac Sanders
Zac Sanders
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25.02.21 11:29
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Siobhan Oswell
Zac
et d'un coup tout change
pwet

      Une goutte de sueur roule le long des joues rosies, le souffle court, irrégulier. Le courant d'air passant par la fenêtre fait hérisser les poils des bras. Une main essuyant cette perle transparente, tandis que le cœur pèse lourd contre les viscères, le double dans le miroir se délecte à observer, à juger silencieusement, l'état dans lequel tu t'enfonces lentement, dangereusement. Plus fort, plus brutal que d'ordinaire. Il se voit dans tes yeux vides, pourtant si joliment dessiné de ton maquillage noir. Il se voit dans la peau qui s'est creusé de maigreur, mais que tu as tenté d'embellir. Il se sent dans les mains trop blanches, tremblotantes.
Ça fait longtemps que tu es la, dans cette pièce humide, à t'observer. Comme si le reflet pouvait te donner une réponse qui ne viendrait jamais. Ancré dans une solitude. T'as pas vu Avalon depuis neuf jours, pas un seul message échangé. Vous vous êtes pris la tête et tu le connais assez pour savoir qu'il ne reviendra pas le premier. Tu le connais assez pour savoir qu'il a la rancœur facile. Tu le connais pour savoir qui est en tort. Deux doigts plongés dans la poudre du fond de teint, t'étale celui-ci délicatement sur le bleu au niveau de ton flanc. Tu veux simplement oublier quelques heures la tâche sur ta peau de porcelaine. L'effacer et croire que celle-ci n'a jamais vu le jour sous la colère.

Mais tu bagarres avec cette main faible, cette main qui tremble sournoisement. Venant la coller contre ton cœur pour la calmer, pour inspirer, expirer le mal être qui te ronge. Mais ce n'est que le début d'un manque plus grand, plus ardent. Ça va faire effet, que tu murmures, ça va aller, que tu te rassures. Eau froide finalement jeté sur le visage, tu le sens là tout au fond que la tourmente s'apaise. Que les petites pilules blanches s'activent à faire leur travail. À affaiblir la pression qui plane sur tes épaules…

*


Depuis combien de temps t'es là ? Depuis combien de temps t'observes-tu ? Planté dans cette pièce humide, le regard a l'ouest. La lenteur dans les mouvements. Des millièmes de secondes se sont écoulés et tu n'as pas flanché. Tu t'es laissé emporter par le flot. Noyé par un faux sentiment de bonheur. Tu vis en cet instant. Enfin. Tu es toi.
L'alarme de la porte fait sursauter tes méninges. Perdu un instant par le vacarme qui résulte. Il te faut un temps infiniment long pour comprendre, te souvenir qu'on attend aujourd'hui. Tu l'entends une deuxièmes fois résonner à l'autre bout de l'appartement avec un peu plus d'insistance. Tes yeux sont un peu plus ouverts, mais ton esprit rame. Il te faut faire un effort surhumain pour trouver de la force, pour obtenir un peu de contenance dans ce corps moue qui est le tien. Un pas après l'autre tu quittes cette pièce pour rejoindre l'entrer. T'inspire, une fois, deux fois et ouvre grandement la porte.

« Hey »

Pas d'excuses, tu en as pas. Tu n'en veux pas.
Un pas de côté pour le laisser entrer. Un pas reculé pour le laisser t'attirer. Faible petite chose qui se retient de rougir. Tu tournes les talons pour t'enfoncer dans l'espace restreint néanmoins confortable de ton chez toi. Plus tu avances, plus le sourire semble revenir avec facilité. Oui, ça va, mieux même. Mais tu le gardes pour toi. Hochant simplement la tête.

« Je t'en prie. Tout est là. »

Tu désignes le carton gentiment installé dans le salon et qui n'attend que d'être monté. C'est un meuble télé. Rien de bien méchant, mais tu as vu la catastrophe que c’était que de monter une petite étagère. Alors, cette fois tu prends des précautions. Tu demandes à quelqu'un de faire le sale boulot à ta place et de s'acharner sur la manière, le sens, de ses planches suédoises. Facile a construire, tu parles.
Un petit sourire s'agrandit sur le coin de tes lèvres. Difficile de refuser une telle proposition qui résonne aux oreilles. Néanmoins, tu ne te laisses pas si bien faire.

« Seulement si le travail est bien fait. Sinon vous pourrez vous asseoir dessus monsieur Sanders. Tu réponds d'une voix tout aussi taquine. Tu veux une bière ? »

Ton corps se mouve délicatement jusqu'à la cuisine, tes mains qui ont retrouvé forces et faible couleur tire la porte du frigo et sort deux bières anglaises. L'avantage, c'est qu'Avalon sait où les trouver et t'en laisse quelques-unes lors de ses passages. Mais tu ralentis dans l'élan, tu sens un coup de mou qui t'envahie et qui te laisse immobile quelques instants. Puis, tout te semble lent, affreusement lent. T'en décapsule une sans vraiment savoir comment, laisse l'autre fermé. Mordant durement l'intérieur de tes joues pour reprendre vaguement un contrôle sur ta chair molle. Un petit coup de fouet, minime, qui fait son effet. Qui te permet de repartir.
Tu ne l'obliges pas à t'accompagner s'il préfère un café, mais tu l'apportes quand même jusqu'au salon. La dépose sur la table au cas où. Il n'y a pas d'heure pour un rafraichissement.

« Vas-y, je fais l'assistante qui te regarde, mais ne touche à rien. »

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Siobhan Oswell
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26.02.21 23:22
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Zac Sanders

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Bad Trip
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Le rapide coup de téléphone préalable a permis que Sanders sache ce qui l’attend ici. Il se souvient d’avoir monté ce genre de meubles pour l’installation d’Izaline. Une commode lui avait mis à bout ses nerfs. Un marteau avait volé dans la pièce ou presque. Il n’aime pas faire ça. Ça n'a jamais été dans ses hobbies. Megara se retrouvait à faire le montage en râlant, cela va de soi.
Pourtant quand Sio le lui a demandé, il lui a dit oui. Quelle idée d’être aussi bonne patte. Mais quelle idée!

-“ Mh. On va vous faire ça comme il faut Miss Oswell. ” La technique de la carotte. Un grand classique pour mettre un homme au travail. Zac lorgne donc le grand carton. Un air de défi luit dans ses yeux gris. Il va lui régler son compte en moins de deux.
Une question d’honneur et de plaisir.

-“ Ouais. Merci. ” Répond-t-il pour la bière. Il renifle un bon coup. Le dos de la main essuie une poudre imaginaire sous le nez. Les tics viennent vite. Plus vite qu’on ne le pense.

Il soulève le carton pour le déplacer et mettre le bon côté au-dessus. Sa main libre plonge dans la poche arrière gauche du jeans. Il sort l’opinel et dévérouille la lame pour couper le chatterton. C’est comme pour les livraisons qu’ils chopent chez les trafiquants.
Une fois le carton au sol, il l’ouvre entièrement et cherche la notice.

-“ Ah non. Tu crois pas que tu vas t’en tirer chérie.” Lui dit-il narquois. Alors, il lui tend la fameuse notice. Elle se trouve sur la page d’inventaire. “ Ca tu peux le faire. ” Zac profite d’être prés d’elle pour récupérer la bière. Il la décapsule avec l’opinel. Il n’a pas soif. Mais il a envie de boire. Une lampée, puis deux, avant que la sensation naisse sur sa langue.

L’épaule se cale contre celle de la rouquine.
Il y aurait des activités bien plus intéressantes que de faire du tetris avec Ikea. Junior ne peut pas retenir ses yeux. Ses yeux qui cherchent les formes délicates de l’Irlandaise. Il fait courir son regard sur elle. Il repense aux interdits. Il a envie de se faire une ligne sur son ventre. Avant que les pensées aillent plus loin Zac se racle la gorge. Il repose la bière à moitié vide et retourne au front.

-“ Tu nous met un peu de musique ?” Lance-t-il en s’écartant d’elle entre remords et regrets. Siobhan est en couple. Elle couche avec un russe. Ce n’est pas bien de provoquer les égarements, pas bien du tout. Mais c’est tellement bon aussi.
Junior se saisit de ses outils, il les étale sur le sol. Maintenant, commencer par emboîter les parties les unes aux autres, en restant concentré. Concentré.





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Zac Sanders
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02.03.21 23:23
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Siobhan Oswell
Zac
et d'un coup tout change
Février 7

      C'est un rôle qui te convient bien. Observer, mais ne pas prendre part. En particulier parce que tu ne souhaites pas enfoncer un cloue au mauvais endroit, ou pire encore, dans son pied. C'est peut-être extrême, mais tu as une certaine maladresse en bricolage et tout est bon pour laisser un homme faire le travail à ta place. Malheureusement, pour toi, il semblerait que les avis ne soient pas les mêmes. Tandis que tu portes la bière à tes lèvres, tu le vois s'avancer en ta direction, main tendue avec la notice qu'il te faut si gentiment étudier. Ton plan de simplement le regarder faire tomber littéralement à l'eau. Tu grognes légèrement pour manifester ton mécontentement, mais accepte tout de même ton sort.

« Mmh... d'accord... alors qu'est-ce qu'on a là... »

Des lignes et des lignes d'explications, des images compréhensibles pour une majorité et presque farfelu pour d'autres. Est-ce que le dessin n°4 se superpose sur le n°5 ou s'emboîte ? Difficile de réellement comprendre la différence entre les deux, l'explication elle-même n'est pas vraiment claire et tes méninges peine à assembler les informations de décryptage convenablement. Plus encore alors que sa présence si proche de toi te perturbe. Bien que tu donnes l'impression d'être concentré sur cette page, ton corps commence à irradier de l'intérieur. Tu sens monter en toi la chaleur à mesure que cette proximité s'étend. Tu as l'impression qu'il te regarde sans être pleinement certaine. Des illusions, de l'imagination que te joue des tours provenant d'une envie qui s'éveille.

Un moment qui se termine rapidement quand tu l'entends ce racler la gorge, s'éloigner à nouveau pour se mettre au boulot. Un instant de lucidité à te dire que c'est mal. Que tu ne peux pas fantasmer ainsi sur un autre homme alors que tu en aimes déjà un. Vous vous prenez le bec comme tous les couples sur cette terre, mais bordel tu tiens à lui. Mais, est-ce réellement suffisant pour ne pas avoir envie d'un autre ? Pour ne pas avoir envie de quelqu'un qui te fait chavirer, qui te fait sentir plus que bien, important aux yeux ?
Tu secoues la tête pour faire disparaitre ça, une grande gorgé de bière avalée, tu vas lancer ta petite enceinte de l'autre côté de la pièce, dos à ton ami. Tu cherches quelques chansons qui pourraient être agréable à entendre. Mais de nouveaux, tu sens tes doigts qui s'engourdissent, tes mouvements qui ralentissent. Tu planes sur plusieurs secondes, les doigts appuies malencontreusement sur une chanson de « Green Day », mais tu te laisses emporter par le rythme que tu entends. T'es pas le genre à écouter la musique d'aujourd'hui, ou très peu. De préférences, t'apprécies les vieux groupes des années 2000, ceux qui donnaient réellement envie de danser dessus ou qui avait des paroles avec du sens. Les insultes ce n'est pas ton genre. Là ce sont des valeurs sûres. À un tel point que ton corps se dandine légèrement. Tes doigts fond sauter un, puis deux boutons de ton chemisier, la naissance plus remarquée du haut de ton décolleté. Conscience de ce que tu fais. Et t'essaie de reprendre un peu le dessus sur ton état. De ne pas paraître si ralentit. De ne pas ressembler à une fille camée.

Tu fais volte-face, reprend une grande gorgée de boisson avant de la laisser sur la table et de venir t'agenouiller en face de lui. La notice en main et de nouveau la concentration sur le visage. Tu te penches un peu en avant, tu cherches, tu attises, pour attraper les vices et les séparer du reste. Ça reste toujours aussi mal.

« Ok. Alors, 'doit y avoir une grande planche qui sera tout en bas. C'est la base de tout. Une main passant dans les cheveux, tu les ramènes tous en arrière, une vue plus dégagée. Ensuite, toutes les autres se place en quinconce jusqu'à la dernière. M'ok... On a trois types de vis différence et des fixations en plastique pour certaine au milieu... normal. Bon ... ce n'est pas trop compliqué. »

La logique d'Ikea de faire des constructions qui n'ont que très rarement de logique.

« Tu devrais t'en sortir sans trop de difficultés et de distractions. »


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06.03.21 19:19
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Zac Sanders

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Bad Trip
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La voix particulière du chanteur résonne à l’oreille du flic. Voilà un groupe typique de sa jeunesse passée. Le fond musical des soirées entre potes. Il a une image claire d’un sous-sol de baraque, un canapé défoncé, et de la bonne beuh qui passe de bouche en bouche. Il se souvient encore du nom de l’étudiant qui lui refilait l’herbe. Le mec a fini par clamsé, retrouvé dans un caniveau y a déjà une dizaine d’années de ça.
Ils viennent d’un monde en déperdition. Il y en a pas beaucoup qui s’en sorte. Sanders c’est le boulot qui l’a empêché de devenir un “vrai” criminel. Mais qu’est-ce que ça peut vouloir dire ? Seulement, qu’il ne s’est jamais fait pincer par ses collègues.

Il pense à tout ça en commençant à enchevêtrer les morceaux de bois.
Lorsqu’il lève les yeux pour chercher la notice, Zac tombe sur la danse de la rouquine. Il en oublie ce qu’il fait. Il la regarde faire. Il admire cette étrange sensualité que peut amener un lâcher prise. Il comprend que Sio est totalement défoncée. En lui naissent deux émotions opposées. Il est contrarié qu’elle en prenne en plein jour, comme ça, alors qu’il vient. Il a aussi envie de planer avec elle. Pourtant, c’est elle qui a dit qu’ils ne doivent plus faire ce genre de truc ensemble. Qu’ils doivent être sérieux. Pour le bien de son couple avec l’autre con de Ruscof.

Quand elle vient là, se pencher, sous son nez, avec une vue sur sa gorge, sur la dentelle de son sous-vêtement, Zac sent ses sens s’échauffer. Il n’est pas spécialement en manque de sexe. Les putes sont là pour lui apporter la dose nécessaire à son équilibre. Sasha sait exactement ce qu’il aime. C’est parce que c’est Oswell, là, qu’il en a envie.
Il la suit des yeux, pendant qu’elle déplace ses cheveux roux. Elle lui donne envie d’aller les caresser, les malaxer, de poser sa bouche contre sa gorge. Alors, il est trop distrait pour écouter l’inventaire à la con. Il écoute seulement cette voix et imagine qu’elle lui dit d’autres mots.

-“ Ouais...” Marmonne-t-il en reposant l’outil sur le sol. Le regard acier est focalisé sur elle. D’un seul coup, Zac approche, il prend son bras, pour la tirer contre lui. Il plonge une main dans ses cheveux qu’il malaxe. L’autre attire son visage pour l’embrasser. Sa bouche prend la sienne, cherche son goût. Il recommence une autre fois, soufflant d’une voix teintée de désir. Ce n’est pas un secret qu’elle lui plaît. Ni un secret qu’il la désir. “ T’as pas dit qu’on devait arrêter ça ? ” Lui demande-t-il en descendant la main pour caresser un sein, le masser avec envie, jouer du pouce sur le mamelon. Parce que lui n’a aucune volonté à résister à l’appel charnel qui les unis.

Il plonge son nez contre sa gorge pour sentir son odeur si particulière. Un courant électrique allume ses reins. Un minimum de respect pour le couple de Sio le retient de l’étendre sur le plancher. Il inspire avec force. -“ Si tu veux pas de moi, je vais y aller maintenant. ” Parce qu’il sait bien qu’il n’a pas assez de volonté. De toute façon, il n’est pas un Saint et il ne le sera jamais.







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Zac Sanders
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09.03.21 11:21
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Siobhan Oswell
Zac
et d'un coup tout change
Février 7

      Il devrait, oui. Cependant, tu sais pertinemment qu'en cet instant tu ne l'aides pas. Tu es même en train de tout faire pour que la concentration soit difficile. Tu te laisses aller à un petit jeu vilain, malsain qui reviendra à t'en mordre les doigts. La musique en fond donne le ton à l'ambiance et, bien que personne n'en parle ouvertement, tu le sens cette électricité dans l'air qui vous entourent. Ce champ magnétique qui vous pousse inexorablement l'un vers l'autre. Avec ou sans tes manigances.
Et d'un coup, tu te fais emporter. Tu te fais happer par ce plongeon dans le néant et y répond sans hésitation. Ses lèvres qui s'écrasent contre les tiennes, son corps qui se collent, tu chauffes, tu brûles en un rien de temps. Tu l'as cherché, tu ne peux pas le nier, te laissant te corrompre entre ce contact houleux. À cette main dégradante qui glisse sur la plante de ton sein, qui te fait rêver d'autre dessein. Tout te semble si décuplé avec ce que tu as pris, tout est renvoyé aux centuples sans aucune envie que cela s'arrête. Le cœur qui palpite si vite que tu pourrais en perdre haleine.

« Si… »

Un murmure presque inaudible dans un soupire de plaisir. Oui tu l'as dit, tu t'en souviens. Tu te devais même de respecter ce choix, pour le bien d'un couple que tu essaies de préserver. Que tu souhaites voir fleurir. Tu tiens à Avalon, réellement, dans toute sa bonté et cruauté. Mais Zac... Zac c'est autre chose. C'est particulier. C'est plus. Ce n'est pas qu'un ami, mais ce n'est pas qu'un amant. C'est un tout compliqué qu'il t'ait difficile de qualifier. Ou plutôt, si tu le peux, tu le sais, mais tu préfères le nier. Tu préfères te dire que ce n'est et, ne sera jamais « ça ». Pour son bien, pour le tien, pour le mal que cela causerait. Tu ne peux pas te mettre de ressentir autre chose, de désirer autre chose. Ce ne serait que destructeur. Et en même temps... Qu'est-ce que tu meurs d'envie du reste. Du surplus. De cet échange interdit. Est-ce si mal que ça ? Ses mains qui passent sur ton corps, des décharges électriques qui t'hypnotisent, qui t'envoûte, qui appel à la tentation du diable. Cette bouche, fiévreuse, baladeuse qui te donne l'impression qu'il t'implore.

Tu frissonnes à la sensation de son souffle chaud. Tu restes sagement immobile aux dernières paroles qui résonnent. Caché derrière les paupières, elle tourne en boucle. Le voir partir est bien la dernière chose à laquelle tu aspires. Une fraction de lucidité tout de même à y penser, à peser le pour et le contre. Pourquoi ? Pourquoi ta conscience décide-t-elle de revenir en cet instant, de faire irruption alors que tu voudrais simplement oublier, profiter. Néanmoins, c'est avec une violence inouïe que tu t'éloignes, que tu lui glisses entre les mains. Que tu prends une distance, marchant jusqu'à la table où la bière t'attend. Une gorgée si longue qu'elle te donne presque la sensation de pouvoir réfléchir plus calmement.

Tu chasses tous les petits désagréments. Tu abandonnes la conscience, ce qui est bien et mal. N'écoutant que ce dont tu as envie en cet instant. Ce que tu as besoin. Ce que tu veux vraiment. Comme si c'était plus facile de prendre une décision avec un esprit aéré.
Déposant cette boisson à moitié vide, tu lui fais face à nouveau. De la détermination dans le regard, les mains glissent suavement sur ton chemisier, ne le quittant pas d'un regard qui traduit un profond désir brulant.

« Tu restes ici... Zac. Dis-tu en dégrafant un premier bouton. Tu restes, pour ce meuble que tu dois monter. Que t'ajoute en passant aux suivant. Pour l'aide que tu m'as promis. Tu continues à faire sauter les boutons, lentement, trop lentement. Mais tu t'arrêtes sur le dernier, sur celui qui maintient encore un minimum la corde rouge. Tu restes, pour moi. »

La seule chose pour laquelle tu voulais réellement qu'il vienne ; pour toi. Toi et, uniquement pour toi. Le reste n'était que des raisons suffisamment crédibles pour se déplacer.

« Mais si tu passes cette porte... »

Tu as envie de lui dire « ne revient pas », mais ce n’est pas ton genre. Ce serait bien trop cruel, même pour toi. Tu sais pertinemment que tu ne tiendrais pas. Pourtant, tu lui laisse la balle dans son camp, tu lui laisses le choix sur la façon dont ces prochaines secondes doivent se terminer.



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Zac Sanders

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La lumière du soleil transperce dans le salon. Elle éclate en tâches sur le sol. Elle se reflète aussi dans les cheveux roux de Sio. Ces cheveux qui ont attiré les yeux de Junior en premier. Il se dit chaque fois, qu’ils sont beaux et qu’il veut les caresser.
Mais, lentement, difficilement, il freine son désir. Conscient que la jeune femme cherche à préserver son affaire avec le petit russe. Zac l’a croisé une ou deux fois. Il ne lui trouve rien de spécial. Mais, en amour, les goûts et les couleurs ça ne se discute pas vraiment. C’est bien pour ça qu’il tente d’être le mec responsable dans cette situation.

Comment être un homme sage devant une beauté qui vous joue le jeu de la séduction ? Sanders est un homme simple. Il ne complique pas les choses. Quand il veut être avec quelqu’un il le dit. Cette fille, cela fait des mois qu'il lui fait comprendre qu'elle lui plait. Que c’est à elle qu’il pense quand il est sous sa douche.
Alors, bien sûr qu’il la suit des yeux.

-“... Là c’est pas du meuble que je veux m’occuper... ” Lui confirme-t-il alors qu’il sent son épiderme picoter.

Exit le plan du meuble à monter. Ils ont quelque-chose de plus intéressant à faire tous les deux.





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Zac Sanders

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Siobhan Oswell
Zac
et d'un coup tout change
pwet

      

Il est une obsession, une drogue dure plus gouteuse et savoureuse que les consommations que tu as pu gouter. Il est marqué dans tes veines. Tu en oublies jusqu'à même ton nom.

Tu as les yeux tendres, amoureuse, glissent vers son visage. Un sourire qui se dessine sur les lèvres.

« C'est comme ça qu'on installe un meuble chez vous monsieur Sanders ? »

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13.04.21 22:43
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Il a le cœur qui est enrobé dans un drapeau irlandais. -“ Je peux m’occuper de tous tes meubles comme ça. “ Plaisante-t-il avec la belle. Il passe sa main sur sa joue, descend sur l’épaule. La bouche sur la clavicule coeuille une perle de sueur lubrique. La langue y prend goût et suit les courbes les lignes. -“ Je vais aller la monter… ta bibliothèque. “ Mais d’abord, il finit par une petite gourmandise autour du nombril qu’il mordille. Il pourrait s’en repaître encore de cette chair rose et délicate.

Il y aurait certainement des choses à dire. Mais Zac aime souvent se taire. Les mots sont des assommoirs. Une fois qu’ils ont frappé, on ne peut pas nier la blessure. Il ne veut pas l’entendre lui dire que sur le coup d’une frénésie elle a parlé. Mais qu’elle regrette. Comme les femmes regrettent -trop souvent- les élans de leurs passions.
Il pose donc le baiser de la paix sur le ventre de la rousse.

-“ Booooarrrf. “ Il fera des pauses se dit-il. Oui, il va faire pas mal de pauses. Assez pour que la nuit tombe et qu’il soit invité à rester plus longtemps. Une tactique qui sonne bien à ses oreilles qui bourdonnent encore de la musique faite à deux.

Dans effort, s’écarte de la chaleur charnelle de la jeune femme. Il perd les effluves d’une peau détendue. La bulle se dilue pour éclater.
Les bruits du jour reviennent envahir son ouïe. Que déjà les soupirs exatiques de la belle lui manque. Voilà une musique autrement plus agréable. Mais il ne peut pas décevoir la dame. Ce serait répéter les erreurs de son passé. Il faut bien qu’il fasse mieux que les autres fois. S’il veut avoir une chance de lui plaire. Ailleurs que dans un moment d’abandon.

Cheveux en pétard, buste brillant, le flic tourne et retourne sur lui-même pour voir où est son caleçon. Il fouille et finalement le trouve. Il L'enfile à la va vite. Mais il a encore trop chaud pour enfiler quoique ce soit d’autre. Attifé comme un dominicain paresseux, il sourit à son hôtesse.

-“ Je ramène ta bière au lit madame ? “ La taquine-t-il dans un ricanement de mec détendu. Il passe une main sur son crâne pour plaquer ses cheveux humides. La main essuie sur le torse nu. Il attrape ses affaires pour en faire un tas centralisé dans la chambre. Il lance un sourire à la demoiselle. -“... Punaise qu’est-ce que t’es.. “ Voilà que le loup abdique et revient sur la couche qu’il vient de jurer de quitter. Il revient embrasser la jeune femme et l’attire dans une roulade débonnaire au coeur des draps de l’interdit. Il va en falloir de la motivation pour aller faire le travail.






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16.04.21 23:33
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